Mes chers ! JE SUIS L’ARCHANGE MICHAEL !
Aujourd’hui est un jour spécial, c’est le jour de notre portail 11/11. C’est aussi la journée préparatoire à la grande réunion de demain. Notre réunion d’aujourd’hui aura lieu à l’heure habituelle, à 20 h 30. Rien de spécial. Vous n’avez pas besoin d’une quelconque préparation. Je veux juste renforcer ce qui a été dit hier par Sananda et il semble que beaucoup n’ont pas compris ou ont apaisé leur ego, apaisé leur mécontentement et ont oublié ce qui a été dit.
Mes frères, nous sommes à la dernière minute, il n’y a pas moyen de changer beaucoup de choses. Beaucoup d’entre vous sont restés à l’écart sans prendre le moindre soin d’observer tout ce qui a été dit, et maintenant vous arrivez en vous plaignant que rien ne s’est passé comme vous le souhaitiez. Je vais donc répéter ce que Sananda a dit hier : ce n’est pas l’énergie que nous voulons vous faire vibrer.
Rien n’arrive par hasard, je peux vous l’assurer. Si quelque chose s’est produit contrairement à ce que vous attendiez, à un moment donné de votre parcours, vous avez émané quelque chose qui en est la cause. Vous apprenez tous beaucoup. Alors ne jetez pas votre colère, votre mécontentement sur les autres. Si quelque chose ne s’est pas déroulé comme vous l’aviez prévu, regardez en arrière et voyez où, à quel moment, vous l’avez provoqué. Oui, parce que rien de ce qui se passe ne tombe du ciel ; tout est une réponse à quelque chose qui émane de quelque part en cours de route.
Donc aujourd’hui, vibrer des sentiments négatifs, vibrer le mécontentement, ne servira à rien. Ne soyez pas un enfant colérique qui, lorsqu’il n’obtient pas le jouet qu’il veut, tape du pied et fait une grimace. Réaliser que quelque chose ne va pas depuis longtemps, mais que vous ne vous en êtes pas rendu compte. Maintenant, vous vous êtes éveillé. Je vais donc répéter ici ce que Sananda a dit hier : ne jetons pas les problèmes sur tout le monde. Personne n’a rien à voir avec ce que vous n’avez pas fait ou avez mal fait.
Ne jetez pas au groupe votre mécontentement, votre problème. En fait, c’est un point dont nous avons toujours parlé ici. Quand on a un problème, on ne le met pas à la télévision parce qu’on n’y a pas accès, sinon on le mettrait à la télévision. Vous aimez répandre votre mécontentement, votre colère, pour que tout le monde puisse voir : « Vous voyez, regardez ce qu’ils m’ont fait ! L’ego, c’est l’ego. Rien de ce qui arrive à chacun d’entre vous n’arrive parce que nous le voulons ; tout est le résultat de vos propres actions.
Alors, vous voulez vous plaindre ? Plaignez-vous à l’extérieur, pas au sein du groupe. Apprenez à assumer vos défauts, vos erreurs, sans avoir besoin de mettre à la télévision ce qui ne va pas chez vous. Mais je voudrais sincèrement, et cela a été demandé par Sananda hier, que l’on ne se plaigne plus, que l’on ne critique plus. Ça n’a pas eu lieu ? Ce n’est pas arrivé. Une fois la réunion terminée, vous allez vraiment faire le tri dans les critères de votre propre monde. Ce n’est plus le moment de se plaindre, de porter plainte, pour quelque chose qui n’est pas sorti correctement.
Tout le monde peut faire des erreurs. « Ah, mais juste avec moi ? » Exactement, c’est le but. Et pourquoi était-ce avec vous ? Parce que vous l’avez en quelque sorte provoqué. Comprenez. Il ne vous arrive rien au cours de chaque année qui n’ait été émané à un moment donné. Tout vous revient. Alors, soyez attentifs à ce que nous vous demandons. Ne remplissez pas le groupe de messages négatifs de plainte. C’est un temps pour l’union, un temps pour la joie. Si vous êtes en colère, si vous n’êtes pas satisfait, regardez dans le miroir et jetez tout sur vous, pas sur les autres.
« Ah, mais ils se sont trompés ! » Oui, ils l’ont fait. Et qu’allez-vous faire à ce sujet ? Allez-vous crucifier l’autre ? Vous n’avez jamais fait d’erreur… et je vais le répéter : Si vous vivez cela, à un moment donné, vous avez émané quelque chose qui a provoqué cela. Et ne pensez pas que je défends ceux qui sont de ce côté, car ils savent qu’ils ont également commis de nombreuses erreurs. Tout le monde a déjà cette conscience. Cela a également été dit hier par Sananda. Avoir un grand cœur, vouloir tout faire pour le bien de tous, impliquer de nombreuses personnes est complexe, il faut qu’il y ait beaucoup de personnes impliquées, pour ne pas en surcharger une ou deux.
Donc, le groupe ici a aussi appris sa leçon. Si vous avez fait une erreur, c’est terminé, c’est fait. Qu’allez-vous faire à ce sujet ? Émaner de la colère, émaner de la haine envers les personnes que vous avez réunies ? Ou regardez votre propre parcours et voyez dans quelle mesure vous n’êtes pas responsable de ce qui se passe ?
Je pense donc que nous ne vous en demandons pas trop ; nous vous demandons d’arrêter de vous plaindre, surtout auprès des autres. Si vous voulez vous plaindre, faites-le directement. Maintenant, peut-être que rien ne changera, car il ne reste que quelques heures jusqu’à demain. Je ne dis pas ici que tout est correct ; non, ce n’est pas le cas, mais nous voyons l’engagement qui a été pris, nous voyons le cœur qui a été mis, et si nous mettons tout cela sur la balance, elle penchera très positivement.
Changeons donc la fréquence, concentrons-nous sur la résolution du problème ? Parce que se plaindre jusqu’à demain ne vous fera pas sortir de votre place. Cherchez donc la solution, cherchez à trouver une nouvelle façon de répondre à votre besoin. Et puis, après, vous pourrez vous battre, crier, vous plaindre tant que vous voudrez, mais pas aujourd’hui. Gardons nos cœurs joyeux. « Ah, mais je ne peux pas le faire. Je m’ennuie ! Très bien. Si vous voulez continuer à vous ennuyer, continuez, c’est votre choix, je ne peux rien y faire.
Maintenant, je vais donner un ordre ici : C’est fini. Rien de plus ne sera fait. Vous pouvez envoyer un millier de messages et aucun ne sera lu. C’est fini. Je mets fin aux plaintes. C’est fini. Et cela vaut pour les deux parties : pour vous qui voulez vous plaindre et pour vous qui pensez que vous devrez résoudre le problème. Non, ça ne résoudra plus rien. C’est fini. Vous pouvez envoyer des millions de messages. Aucun d’entre eux ne sera lu. Je vis et je vous dis que c’est fini. Ça ne s’est pas passé comme vous le vouliez ? Patience. Trouvez la solution.
Une fois qu’elle est passée, alors oui, vous pouvez vous plaindre, vous pouvez réclamer vos droits, faire ce que vous voulez, mais plus maintenant. C’est fini. J’espère que je suis très clair, et vous pouvez dire que je vous rabroue, qu’il en soit ainsi. Ce que nous ne pouvons plus faire, c’est de voir comment vous vous comportez de manière totalement différente de ce que nous demandons. Nous devons donc agir de manière plus énergique. C’est tout. Pas à votre goût ? Trouvez votre propre solution. C’est mon commandement, car celui qui est de ce côté doit avoir l’esprit clair.
Aujourd’hui vous avez un portail, demain vous aurez un rituel entier. Et c’est tout. Les messages reçus ne seront pas lus. Vous comprenez ? Je l’espère. Je vous donne un ordre ici. C’est fini. Ensuite, vous essayerez de comprendre ce qui s’est passé. Maintenant, faites une analyse de la raison pour laquelle vous avez provoqué tout cela. La grande majorité n’était pas une erreur, c’était une omission ; parce que nous le voyons de l’extérieur. Donc maintenant, quelques minutes avant que vous ne vouliez faire valoir vos droits. Donc, je donne l’ordre.
J’espère que vous avez tous compris et qu’à partir de maintenant nous pourrons garder l’égrégore de la réunion vivant et éclairé. C’est ce que je demande, rien de plus, car rien de plus ne sera fait. Vous comprenez ? Je l’espère. Je l’espère. Laissez la contrariété et la colère pour après la réunion. Et j’espère que demain, personne ne voudra défiler avec un chapelet de plaintes, personnellement. J’espère que non. Gardons l’énergie vivante et élevée. C’est ce que nous espérons, ou comme je l’ai dit : vous vous mordrez la langue.
J’espère que tout le monde peut comprendre ce que sera la réunion de demain. Il ne s’agit pas d’une simple réunion pour que chacun se remplisse la panse. Cette réunion sera importante pour vous, pour votre pays et pour la planète. Alors, sachez y prendre part, sachez garder l’énergie. C’est tout ce que je vous demande aujourd’hui.
Canalisé par Vania Rodrigues
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