Canalisé par Sylvain Didelot
Enfants de la Terre, enfants de France, je vous salue. Je suis Marie, votre Mère.
Je suis présente aujourd’hui pour vous demander de prier, pour vous demander d’affaiblir les forces d’opposition de votre monde.
Parfois, vous nous dites : « Une seule parole de vous devrait suffire à cela. Une seule parole de vous, Mère, devrait changer ce monde. » Comprenez ceci :
Le monde dans lequel vous êtes, il est accepté par Dieu mais il n’est pas fait par Dieu.
Ce monde dans lequel vous êtes, il est fait de vos pensées qui sont acceptées par Dieu. Il est fait de vos émotions qui sont acceptées par Dieu.
Alors, quand je vous demande de prier, c’est comme faire le ménage dans sa maison quand il y a trop de poussière, c’est qu’en se rapprochant de la vibration de l’Éternel, en se rapprochant de la vibration de mon fils, de votre frère, en se rapprochant de cette vibration, vous permettez au monde de voir la Lumière derrière les nuages. Vous demandez aux ténèbres de continuer leur route en dehors des circonstances de votre existence. Non que ce que vous avez créé jusqu’à présent qui est discordant disparaisse complètement, cela va apparaître dans un monde parallèle, dans un monde différent. Cela va disparaître de votre perception à vous du monde dans cette ligne-là, dans cette ligne de la prière, dans cette ligne des gens qui sont réunis pour la Paix, pour la Gloire du Ciel.
C’est quoi la Gloire du Ciel ? Ce n’est pas ma gloire à moi. Ce n’est pas la gloire des saints et des saintes. Elle est déjà prononcée, ici, cette gloire. La gloire, c’est celle de l’humanité, d’une humanité qui commencerait à être Consciente de son immortalité de sa réalité en Dieu.
Quand je vous demande de prier, c’est un peu comme si je vous disais :
Faites le ménage dans vos cœurs, faites le ménage dans vos esprits.
Libérez-vous de ces pensées toxiques du bien et du mal.
Permettez au Divin, en dehors de ces notions de bien et de mal, de vous montrer sa Présence.
Bien sûr, dans votre définition pour la plupart d’entre vous, Dieu montrera dans ce cas le bien, la Paix, la Joie, l’Amour, la compassion, la conversion des peuples dans une unité plus grande, plus fraternelle, bien entendu.
Bien entendu, vous jugerez cela comme étant bien, et pourtant, avant que cela n’arrive je vous le redis, débarrassez-vous de vos jugements. Débarrassez-vous du bien et du mal.
Permettez à l’œuvre de s’accomplir à travers vous, dans une vision spirituelle, qui — oui, je le sais, je ne suis pas dupe, ne vous inquiétez pas — humainement, cette vision continuera à s’accomplir en fonction de ce que vous pensez encore une fois être juste ou injuste. Cependant, débarrassez-vous au maximum de vos anciens jugements. Débarrassez-vous des coupables, des responsables, des ignorants, des imbéciles. Ce que je veux dire par là, ce n’est pas de se débarrasser de ces gens-là physiquement, mais de se débarrasser du jugement que vous avez sur eux.
Temporairement, laissez Dieu agir. Dieu s’en occupe, si je puis dire. Dieu s’en occupe quand vous cessez de vous en occuper.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas défendre une position. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas défendre un comportement salutaire juste. Bien sûr, vous êtes invités à agir plutôt qu’à réagir, comme toujours. Ce que cela signifie, c’est permettez une évolution, permettez un changement, permettez une prise de Conscience de part et d’autre.
Vous savez, il n’y a pas de paix quand quelqu’un pense avoir perdu la guerre. La paix, quand quelqu’un pense avoir perdu la guerre, est fausse. Elle est temporaire. C’est tout juste une pause dans un combat qui va reprendre dès que possible.
Vous êtes pareils humainement. Quand vous posez le pardon, vous dites : « Je te pardonne », toutefois, vous êtes prêts à reprendre les mêmes mots, les mêmes paroles, le même langage à la prochaine occasion qui se représente et qui ressemble à ces circonstances où vous avez pardonné. Vous n’avez pas pardonné, vous avez juste fait une pause dans le combat.
Le véritable pardon autorise encore le même acte.
C’est un peu le sens de cette phrase ignoré de mon fils — quand je dis ignoré, c’est ignoré dans sa signification — « si quelqu’un frappe ta joue droite, tends-lui la joue gauche ». C’est très symbolique, évidemment que le Seigneur, ici, ne souhaitait pas que vous soyez battus.
Ce qu’il disait, c’est que quand quelqu’un vous a frappé la joue droite, pardonnez-lui de l’avoir fait en sachant que cela peut revenir, néanmoins, en autorisant que cela puisse revenir. Cela ne veut pas dire en souhaitant que cela revienne, cela veut dire que la circonstance sera nouvelle. Ce ne sera plus la joue droite, ce sera la joue gauche. Cela viendra différemment, et même si le choc semble être identique, en vérité, il y aura une autre nuance de pardon à apporter, une autre nuance d’Amour à apporter.
Continuer à imaginer que les circonstances rendent toujours pareil « oh, je l’ai laissé me frapper la joue droite, il va me refrapper la joue droite », non. Quand Jésus dit « si quelqu’un te frappe la joue droite, tendez la joue gauche », cela signifie : peut-être que cela reviendra, en l’occurrence, ceci vous donnera encore une occasion de pardonner qui sera différente. Ne vous en voulez pas d’avoir pardonné, car c’est là le message même de Dieu à travers vous.
Pardonnez, mes enfants, pardonnez.
Autorisez-vous une autre vision. Autorisez-vous une autre perception.
Peut-être que cela recommencera, peut-être que cela reviendra, peut-être que vous aurez l’impression que votre pardon n’a servi à rien, c’est juste une impression. Ce n’est pas la réalité.
En autorisant autre chose à vous traverser, en autorisant des circonstances différentes à apparaître auprès de vous, mes enfants, vous aurez laissé la main de Dieu vous toucher. Vous aurez laissé votre Essence divine prendre corps en vous et permettre une autre réalité, peut-être dans d’autres circonstances. Car, quand le pardon est effectué, quand ce changement de vision sur les circonstances est effectué en vous, vous autorisez l’Esprit-Saint à travers vous à vous montrer un nouveau chemin, à vous montrer une nouvelle voie.
Si votre pardon n’est pas réel, s’il n’est qu’une pause, vous resterez sur la même voie. Vous resterez effectivement sur le même chemin. Finalement, vous-même, vous aurez créé les circonstances pour être encore frappé sur la joue droite et non sur la joue gauche. Alors que si vous tendez la joue gauche, vous êtes déjà en train d’affirmer que ce n’est pas la droite qui va être frappée, puisque vous avez changé. Vous avez pardonné.
Vous comprenez mieux peut-être cette image de « si quelqu’un te frappe sur la joue droite, tends-lui la joue gauche », il y a tout cet écart entre les deux. Pardonne-lui, et alors, oui, les circonstances seront déjà différentes. Tu seras déjà sur un autre plan. Tu seras déjà dans une autre perception des choses qui peuvent être différentes, une sensibilité différente, une énergie différente. De la sorte, même quand les circonstances réapparaîtront, elles seront, encore une fois, une occasion unique de percevoir de manière différente.
Enfant de la Lumière, ton chemin est un chemin de Lumière et d’Amour. Quand je te demande de prier, c’est le moyen que tu nous laisses, cette place que tu nous laisses en toi pour faire ce ménage à ta place.
Si vous étiez capables, tous, de libérer les ombres, les obstacles autour de vous, vous n’auriez pas besoin de prier. Vous auriez juste besoin de dire :
Père, à travers Toi, je vois, j’entends.
Dans ce cas, tout serait accompli dans l’instant.
Quand vous priez, même si c’est pour prononcer un « Je vous salue, Marie », cet appel à ma Présence où vous me demandez de prier pour vous, pauvres pécheurs, alors, je prie pour vous. Alors, moi, je la fais cette prière. Alors, moi, je prononce ces mots :
Père, libère-les de la présence de l’ombre.
Libère-les, montre-leur Ta Lumière.
Je prie pour vous. C’est votre demande, et dans la prière j’intercède, car je sais ce que vous ne savez pas. Je sais votre Lumière. Je sais votre beauté. Moi, je n’en doute pas. Priez mes enfants.
Quand j’ai demandé aux êtres de cette Terre de prier le chapelet, c’est-à-dire de répéter très souvent cette demande me demandant à moi de prier, c’est parce que je ne peux le faire sans votre autorisation. C’est parce que je ne peux agir sur votre chemin que si vous me demandez de vous aider, et je le fais comme une mère pour chacun de mes enfants, pour chaque personne qui le demande. J’opère ce dégagement. J’opère cette libération dans la prière. Pour le monde entier, si c’est votre intention dans la prière, je le fais.
Priez mes enfants, car, dans le temps où vous êtes, l’ombre est si visible qu’il m’est plus facile de la retirer.
L’ombre, ce chemin de non-lumière qui s’insinue par vos actes malveillants individuels et collectifs, par vos erreurs d’interprétation de la Lumière, c’est un peu comme une épine qui est enfoncée dans le doigt plus ou moins profondément. Là, nous sommes dans ce moment où il faut très peu d’efforts, l’épine se voit, l’épine est grande. Donc je peux retirer cette épine de votre doigt et je peux vous soulager. Nous pouvons vous soulager, nous, Êtres de Lumière ; et vous aussi, Êtres de Lumière. Je le répète, à celui qui connaît Dieu, il n’a pas besoin de nous prier, il a juste besoin de se rappeler qui il ou elle est dans l’Esprit-Saint. Sinon, demandez-moi. Priez-moi. Priez mon fils. Continuez, continuez encore. C’est le moment ou jamais.
– C’est le moment de la grande récolte.
– C’est le moment de la grande moisson des cœurs et des âmes.
– C’est le moment où tout est plus simple malgré l’apparence.
– C’est le moment où l’arbre qui donne des fruits restera.
– C’est le moment où celui qui ne donne rien sèchera.
– Dans ce moment-là, éveillez-vous à votre Lumière.
– Faites le tri dans votre esprit, dans votre corps.
– Laissez du temps à ce qui est utile, utile pour vous faire connaître votre identité véritable en Dieu, pour vous et par vous.
Enfants de la Terre, enfants de France, ai-je commencé mon discours. J’ai commencé mon discours ainsi, parce que je sais que ce pays sera un des grands représentants de ce changement. La France initiera des mouvements d’énergie importants. La France sera mise à l’épreuve, mais elle saura se relever dans sa Lumière, dans son Amour.
Bien sûr, bien sûr on vous montrera ce qu’il y a de plus nuisible en l’homme. On le laissera faire des dégâts dans vos rues, et l’on prétextera que cela ne peut être ainsi et qu’il faut vous diriger et vous contrôler, vous, pauvres êtres, qui n’êtes que cela. Mais vous saurez montrer une Lumière plus grande encore. Vous saurez braver les interdits. C’est en cela que j’aime ce monde, particulièrement cette vieille Europe-là, cette vieille Europe qui sait se lever, qui sait à un moment dire à son oppresseur à quel point la Lumière n’est pas ici, à quel point vous vous relèverez sans cesse quoi qu’il arrive et quoi qu’il se passe.
Je vous accompagne en cela. Je libère l’ombre. Je libère votre force. Je libère votre nature véritable en enlevant ces couches de non-lumière autour de vous.
Enfants de la Terre, enfants de France, quelques mois et quelques années encore séparent ce monde d’une vision plus idyllique. La Terre, elle-même, commence déjà à se préparer pour vous, avec vous.
Oui, elle fait cette préparation sans vous. Oui, effectivement, la Terre va mettre les pendules à l’heure, comme vous dites. C’est pour mieux vous recevoir ensuite. Le mariage divin va avoir lieu. C’est pourquoi il faut préparer la salle, il faut préparer les invitations, vite. C’est une surprise.
Et c’est vrai que cela va être surprenant dans bien des points. Il y a bien des choses auxquelles vous ne vous attendez absolument pas. Quelle merveille que la démonstration de la Présence divine autour de vous, que la démonstration de votre universalité dans ce monde et dans les mondes !
La Conscience incarnée est la même partout. Les corps peuvent être différents, les esprits aussi, parfois, pour autant, cette volonté à aimer, cette volonté à partager, cette volonté à libérer est universelle.
Réjouissez-vous, enfants de la Lumière, surtout n’oubliez pas, priez, priez. Priez le chapelet, priez le rosaire, priez vos dieux, vos Guides, vos Ancêtres, priez votre propre Lumière.
Faites ce travail, faites ce ménage en vous, autour de vous dans l’énergie. Ainsi, quand le monde nouveau apparaîtra, cette ancienne poussière ne se redéposera pas.
Vous ne recréerez plus pendant extrêmement longtemps les mêmes circonstances qui vous ont menés jusque-là, sous le joug de vos dirigeants.
Enfants de la Terre, votre libération est proche. Laissez-moi vous dire aussi que l’archange Saint Michel est expressément envoyé auprès de chacun, et de ceux et celles qui l’appellent, étant donné que c’est aussi un temps de libération pour chacun et chacune d’entre vous, de toutes les entités, de toutes les énergies qui ne servent le Plan Divin.
Je suis Présente pour le monde et pour vous. Michaël sera Présent pour chaque individu et chaque circonstance qui mérite la Lumière Divine, dirons-nous.
Enfant de la Terre, enfant de France, que ton cœur s’éveille à la Présence divine.
Je t’Aime. Je t’Aime immensément.
Prier pour toi n’est pas un obstacle mais une œuvre magique, une œuvre merveilleuse que je veux réaliser pour chacun et chacune d’entre vous.
Enfants de la Terre, c’est un honneur pour moi de libérer votre Lumière !
Et pour ceux qui savent le faire sans moi, faites-le sans moi. N’hésitez pas à montrer votre Lumière. Ne vous sentez pas petits. Si vous saviez combien je me sens petite. Par ailleurs, j’ai compris que c’est en étant petit que l’Être grand, fort, puissant m’entendait, comprenait.
Mon fils bien-aimé souhaite rassurer chacun d’entre vous, ce qu’il a été, vous le serez. Ce n’est pas une promesse en l’air. Cela vous demande un peu d’actions et beaucoup d’Amour.
Enfants de la Terre, enfants de France, je vous salue.
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Avec tout mon Amour... Bernard