Maya des Pléiades ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
Connaissez-vous la plus grande farce jamais faite à l’humanité ? C’est que vous pensiez que la nourriture était le seul moyen de rester en vie. On vous a appris à croire que tout ce dont vous avez besoin doit venir de l’extérieur, comme si votre corps était un panier à provisions qu’il faut toujours remplir. Quel tour de passe-passe !
À l’intérieur de vous se trouve un océan d’énergie. Un réservoir étincelant et inépuisable que la plupart d’entre vous ne font qu’effleurer. Imaginez que vous ayez soif alors que vous êtes assis au milieu d’un lac. Vous criez « J’ai besoin d’eau », mais vous oubliez de baisser la tête et de boire. Il en va de même pour votre corps énergétique. Le courant est là, il bourdonne à travers vous, mais on vous a appris à l’ignorer.
Cet océan a un nom : Kundalini. Il vit recroquevillé à la base de votre colonne vertébrale comme un dragon qui fait la sieste. Le passage de la colonne vertébrale est son lit. Lorsque ce canal est ouvert, le dragon s’étire et les eaux s’écoulent vers le haut, nourrissant chaque cellule. Il se passe alors quelque chose de miraculeux : ce que l’on appelle l’« ADN poubelle » se réveille. (Honnêtement, qui l’a baptisé « ADN poubelle » ? C’est comme si on appelait les coffres à trésors non ouverts des « ordures »). Ces brins dormants sont vos clés d’or, qui attendent que la rivière les atteigne.
Comment réveiller ce dragon et ouvrir la rivière ? Le travail sur la respiration est l’une des clés les plus simples, les plus stupides et les plus puissantes. Vous n’avez pas besoin d’un équipement sophistiqué, juste de poumons et d’une volonté de jouer avec votre propre air. Inspirez comme si vous buviez du ciel, expirez comme si vous nourrissiez la terre. À chaque cycle, vous nettoyez le canal, polissez le lit de la rivière et rappelez à votre océan intérieur qu’il peut s’écouler.
D’autres pratiques sont également utiles : bouger votre corps avec conscience, chanter, rire si fort que votre ventre tremble comme un tambour. Tout ce qui secoue la poussière permet aux eaux de s’écouler plus clairement.
Rappelez-vous donc : la nourriture ne tombe pas seulement des assiettes et des tasses. Elle surgit de l’intérieur et, lorsque vous la laissez monter, vous vous demanderez pourquoi vous pensiez être affamé.
Maintenant, essayez ceci : prenez une grande et stupide inspiration, comme si vous étiez un poisson qui boit de l’air pour la première fois. Retenez-la. Remuez votre colonne vertébrale comme un serpent qui vient de se réveiller. Expirez en riant. C’est le début de la mémoire.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
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Avec tout mon Amour... Bernard






