Maya ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
Maya parle :
Oh, comme les humains sont drôles ! Vous continuez à tourner en rond en essayant d’être égaux, alors que vous n’avez jamais été censés être les mêmes.
Il était une fois l’amour un peu curieux. Il s’est demandé ce que cela ferait de se rencontrer lui-même. Il s’est donc divisé en deux : une moitié rayonnante et réceptive, l’autre stable et expressive. C’est ainsi que la femme et l’homme sont nés. Mais avant cela, vous étiez un seul être, les deux courants dansant dans le même corps. Hermaphrodite, oui, mais plus que cela : entier.
En Lémurie, vous n’aviez pas besoin d’un autre pour créer. Il suffisait d’aligner son masculin et son féminin intérieurs. La création était un acte de vibration, pas de désir. On concevait par la fréquence. Imaginez un peu ! Un bébé né d’une chanson chantée avec le cœur.
Puis, au fur et à mesure que les brumes de la séparation s’installaient, quelque chose a changé. Vous avez commencé à croire que ce qui était à l’intérieur devait être trouvé à l’extérieur. La femme s’est mise à chercher un ancrage, et l’homme s’est mis à chercher l’esprit. Chaque moitié a oublié que l’autre vivait à l’intérieur.
Aujourd’hui, dans votre comédie moderne, les femmes portent des costumes élégants et essaient de prouver qu’elles peuvent « réussir » comme les hommes, et les hommes courent après la productivité comme si leur valeur pouvait être mesurée en heures. Oh, mes chers humains, c’est comme regarder des oiseaux se disputer pour savoir qui doit nager le plus vite.
La vérité est simple :
Les femmes sont les passerelles entre les mondes. Elles sentent le pouls de l’invisible, elles tissent l’intuition dans la forme, elles se souviennent du langage de la création.
Les hommes sont les ancres des cieux. Ils prennent le chatoiement de l’esprit et lui donnent des contours, une structure et un souffle dans la matière.
Ensemble, vous n’êtes pas des moitiés qui tentent de rivaliser, vous êtes des fréquences destinées à s’harmoniser. L’un chante, l’autre façonne. L’un reçoit, l’autre dirige. Et lorsque vous cessez d’essayer de vous surpasser l’un l’autre, vous vous souvenez du duo divin qui a construit les galaxies.
Alors, riez un peu. Vous jouez à cache-cache avec votre propre complétude. Lorsque l’amour s’est scindé en deux, il ne s’est jamais vraiment divisé, il s’est juste donné la joie de se retrouver.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://www.facebook.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard






