Canalisé par Vania Rodrigues
Chers frères de la planète Terre ! JE SUIS EL MORYA !
Aujourd’hui, nous allons commencer une nouvelle étape, le cinquième tour du Voyage du Pardon. L’objectif a déjà été très bien expliqué, mais il est toujours bon de le rappeler. Certaines règles doivent être respectées. Le voyage a une séquence. Pour ceux d’entre vous qui débutent, vous devez commencer dès le premier tour ; il ne sert à rien de se précipiter ou de désespérer, vous devez faire tout le voyage, vous ne pouvez pas sauter des étapes, vous ne pouvez pas sauter des virages.
Certains se retrouvent encore bloqués au troisième tour, parce qu’ils ne parviennent pas à voir ce qui doit être vu. Vous êtes à l’école, vous devez passer l’année, mais votre note ne le permet pas. Que se passe-t-il ? Vous devrez travailler plus dur l’année prochaine et redoubler l’année, ou comme beaucoup le diraient : « Essayer de convaincre le professeur de vous donner une meilleure note » ; et vous passerez l’année sans avoir accompli ce qu’on vous a demandé de faire.
Il n’y a pas moyen de contourner la spiritualité. Il n’y a rien qui puisse vous faire avancer quand un obstacle se dresse devant vous. Alors, ceux d’entre vous qui persistent à ne pas comprendre pourquoi ils ne passent pas un certain cap, regardez en vous. Tant que votre cœur sera serré, pensant : « les autres marchent et je suis là », vous ne sortirez pas de votre place. Le voyage n’appartient à personne ; le voyage n’appartient qu’à vous.
Donc, si vous devez le répéter 1000 fois pour être capable de voir quelque chose, 1000 fois vous le répéterez, parce que c’est un processus d’apprentissage pour votre conscience. Beaucoup d’entre vous veulent accélérer le processus, vous vous inquiétez de ce qui va se passer. Et je dirais que chaque sentiment de ce type que vous éprouvez ne fait que retarder encore plus le processus. Ne demandez pas l’aide de l’autre, l’aide doit être demandée à nous. Nous menons le voyage. Il ne s’agit donc pas de demander de l’aide à l’autre : « Que dois-je faire pour traverser ce voyage ? »
Qui est le moteur du voyage ? C’est cet être qui doit être déclenché. C’est une conversation franche : « Qu’est-ce qui m’arrive ? Et croyez que la réponse viendra, sinon vous le répéterez mille fois et vous ne sortirez pas de cet endroit. Vous insistez pour ne pas nous demander, vous insistez pour ne pas nous provoquer, alors vous resterez au même endroit. Personne n’a la réponse. Pourquoi ça ?
Parce que la réponse n’est pas une règle, elle ne peut pas convenir à tout le monde. Parce que si quelqu’un vous donne une réponse : « Non, si vous n’avez vu qu’une seule petite lumière, vous pouvez passer » ; cela se répandra et tout le monde passera en voyant une seule petite lumière. Le chemin est individuel, ce qui est bon pour l’un ne l’est pas pour l’autre. Donc, en cas de doute, demandez au maître de ce voyage. « Qu’est-ce qui doit être fait ? »
Si vous demandez avec le cœur, sans irritation, sans contrariété, vous entendrez la réponse. Tout autre sentiment négatif vous laissera au même endroit jusqu’à ce que vous appreniez à faire appel au Maître avec amour, avec cœur, avec humilité ; non pas l’humilité de vous croire inférieur ou inférieure, l’humilité d’admettre que vous avez besoin d’aide. Comprenez-vous maintenant, ou allez-vous continuer à demander aux autres ce qu’il faut faire ? Où est-ce si difficile pour vous de comprendre cela ? Pourquoi est-ce si difficile ? Peur ? De quoi ?
Nous vous punissons, c’est ça ? Nous allons vous donner une bonne réprimande, c’est ça ? Alors sachez que s’il est nécessaire que nous vous donnions une bonne réprimande, nous le ferons, parce que parfois vous avez besoin d’écouter d’une manière plus forte, pour que vous compreniez, pour que vous sortiez de la position des victimes, pour entrer dans la position de ceux qui savent exactement comment vous menez vos chemins.
Vous n’êtes pas victimes de quoi que ce soit. Chacun de vous suit son propre chemin de la manière qu’il pense être la bonne, mais vous n’acceptez pas ce qui vient en retour. Ainsi, c’est à chacun d’entre vous d’analyser : comment faites-vous face à cet obstacle ? Vous êtes en colère, vous vous dites « je ne peux pas le faire » ? Mais je suis sûr que vous ne nous avez pas demandé comment sortir de cet endroit, car si vous l’aviez fait, la réponse serait individuelle, pour vous. Et on pourrait juste dire, « Cligne des yeux 3 fois et tu verras ». Et vous verrez, car c’est la solution pour vous, pas pour l’autre.
Alors arrêtez de dépendre de ce que l’autre a à dire. Que chacun d’entre vous se tourne vers nous pour trouver les réponses, sinon vous resterez bloqués au même endroit. Et alors, deux choses se produiront : soit vous abandonnerez, ce qui sera une honte pour votre âme, soit vous atteindrez le jour où… « Très bien, je vais demander » et vous allez nous demander et vous aurez votre réponse.
Rien ne change. Cette cinquième marche, ce cinquième virage ne sera pas facile pour beaucoup, parce que vous avez encore des croyances limitantes, que vous pensez que tout le monde qui est autour de vous était lié à vous un jour, ils étaient des contrats, ils étaient des accords, tout le monde. Personne ici n’est une nouvelle âme, ce sont toutes d’anciennes âmes qui reviennent d’un point quelconque de votre voyage pour vous tourmenter à nouveau.
Ce n’est pas vraiment comme ça que ça marche, parce que si c’était comme ça, il n’y aurait pas d’évolution de l’âme.
Donc la première étape, peu importe qui est à côté de vous, peu importe qui est venu après, que ce soit une âme du passé ou une âme qui n’a jamais été dans votre passé, cela n’a pas d’importance ; ce qui compte c’est le moment et ce qui va être fait maintenant. Rompre le lien avec une âme qui n’est plus vivante, incarnée… Voici donc un commentaire : la grande majorité de vos ancêtres sont incarnés, ce ne sont pas des âmes qui ont été laissées en liberté dans le temps en attendant que vous les libériez un jour ; la grande majorité est incarnée. Vous ne savez pas qui ils sont, mais ils font partie de votre passé, de votre lignée génétique, pour ainsi dire.
Donc, ce lien existe toujours. Tout ce que cette âme traverse se répercute vers le bas, se répercute vers le haut. Alors, voyez vous comme un point. Au-dessus de vous, deux points : Père et mère. Et Mère et Père deux points au-dessus d’eux. Et vous montez dans cet arbre, à n’importe quel point de cette chaîne, tout ce que chacune de ces âmes traverse se répercute vers le bas et vers le haut, parce que les connexions sont là. Et quel est le plus grand sens de tout cela ? La fierté de l’ascendance ? La fierté de la conquête, du pouvoir ? Ce ne sont pas des sentiments nobles du tout.
Donc, à partir du moment où, en tant qu’âme incarnée, vous brisez vos premiers liens, qui sont vos parents, tout le reste est brisé, ils sont tous brisés. Maintenant, il faut bien comprendre que rompre le lien ne signifie pas cesser d’aimer. Cette âme se souviendra toujours qu’elle a été votre mère, qu’elle a été votre père, mais elle s’en souviendra avec beaucoup d’amour, simplement de l’amour. Si vous êtes ici aujourd’hui en train de souffrir, elle ne le saura plus, car le lien a été rompu. Ah, mais vous avez besoin de leur soutien pour continuer votre souffrance, vous avez besoin de leur soutien pour vous aider, car vous êtes incapable de faire quoi que ce soit.
Donc, je suggère à chacun d’entre vous : Réfléchissez bien, car il ne sert à rien de prendre ce virage et de le regretter ensuite, car il est impossible de revenir en arrière. C’est la libération des liens, où vous serez seul, sans âme au-dessus de vous, peut-être en dessous, peut-être à côté, mais pas au-dessus. Comment vous sentirez-vous, méprisé, sans amour ? Parce que ceux que vous aimez tant, qui étaient vos parents, ne sont plus connectés à vous.
Je vous dirais donc que si vous pensez à eux avec amour, ils ressentiront et vous rendront immédiatement le même amour. C’est tout. Sans se soucier de savoir comment vous êtes ou n’êtes pas ; et vous, sans vous soucier de savoir comment ils sont ou ne sont pas. L’amour ne meurt jamais, les connexions allègent juste la marche de chacun. Réalisez donc que vous allez briser une grande toile ; ce n’est pas une petite toile, c’est une très longue toile et cela n’inclura pas seulement les parents, les frères et sœurs aussi, tous ceux qui sont pris dans cette chaîne vers le haut. Nous ne parlons pas encore des côtés et du bas.
Qu’est-ce que le côté et le bas ? Le côté, ce sont les frères et sœurs vivants, les partenaires de vie, et jusqu’à leurs descendants. Nous traitons maintenant, dans ce cinquième tour, de vos ancêtres. Et vous avez une chose importante à dire : vos parents sont en vie, vos grands-parents sont en vie, et peut-être même d’autres générations. Que va-t-il se passer ? Il sera brisé à partir du dernier point vivant. Vous avez compris ? Donc si votre arrière-grand-mère est encore en vie, ce sera à elle de rompre les liens. Nous ne rompons pas les liens entre les personnes vivantes et incarnées. Nous rompons les liens avec d’autres âmes, qui font partie du passé.
« Ah, mais vous avez dit qu’ils sont incarnés » Font-ils partie de votre famille ? Ils ne le sont pas. Alors ils n’ont plus besoin d’être liés à vous. Il y aura des liens au-dessus, seulement des personnes vivantes. Pour tous ceux qui sont partis, les liens seront rompus. Alors, que ce soit bien clair : les liens seront rompus, au-dessus du dernier représentant vivant que vous connaissez. C’est clair ? A partir de là, plus personne. C’est un sujet assez complexe, je le comprends, mais je reviens à cet exemple : lorsque la mère, (son mari est décédé), et qu’elle n’a pas encore la connaissance, la préparation pour se déconnecter de lui, alors ce lien ne sera pas rompu. Elle sera coupée au-dessus du dernier représentant vivant de la chaîne. « Ah, mais il ne veut pas se déconnecter ». Mais il le fera, il n’aura pas le choix.
C’est un travail que vous ferez et qui sera bénéfique pour tout le monde. Je vais donc essayer de l’expliquer d’une autre manière : Vous – vos parents (1ère génération), vos grands-parents (2ème génération), vos arrière-grands-parents (3ème génération). Vous avez 1 ou 2 arrière-grands-parents vivants, tous les liens de la génération précédente avec vos arrière-grands-parents seront rompus. Non, ils n’auront pas le choix. Nous le faisons par couches. La couche de celui qui est encore en vie restera. J’espère que j’ai été clair.
C’est un processus essentiel pour votre ascension, la rupture de ces liens. Et soyez-en sûr, vous remarquerez la différence. Observez vos propres parents ; vous remarquerez la différence. J’espère donc avoir été clair. Ceux qui souhaitent participer peuvent le faire. Ceux qui ne veulent pas peuvent revenir à tout moment. Je dis simplement : la libération est nécessaire et les connexions avec les personnes vivantes, au bon moment, cela arrivera. Allons-y doucement. Nous ne sommes pas pressés. Allons-y doucement.
Prière pour ce retour :
« Je suis reconnaissant à tous mes ancêtres, pour leur courage, pour leur force, pour les batailles qu’ils ont gagnées, pour tout ce qu’ils ont accompli, qui m’a permis d’être ici aujourd’hui.
Je vous suis reconnaissant pour tout ce que vous avez vécu, car vous avez aidé mon âme à évoluer et à atteindre le point où je suis aujourd’hui. »
Allez-y avec tout mon amour, avec toute ma gratitude.
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