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Elior : Entrevue 1

Bonjour à chacun d’entre vous, chers amis qui me suivez et participez ainsi à l’ouverture de ce canal entre nos différentes perspectives. Habituellement, à chaque pleine lune, je me propose de répondre aux questions que se posent mes lecteurs et mes auditeurs. Mais cette fois-ci, je n’ai reçu aucune question de votre part ! Alors l’idée m’est venue de faire vivre ce question-réponse d’une autre manière. C’est moi qui ferai la poseuse de question dans cette nouvelle formule. Et j’ai la grande joie aujourd’hui de recevoir un invité pour le moins inspirant ! Il s’agit ni plus ni moins d’Elior, qui est, entre autres choses, le fondateur de la cité d’Adikan.

Avant de le recevoir, voici quelques mots d’introduction au sujet de cette ville très particulière. De ce que j’en sais, pour y avoir vécu avant de me rapprocher de vous et de cette densité, il s’agit d’une ville créée pour que puissent y vivre environ six exposant six habitants, ce qui fait un peu moins de cinquante mille habitants. Vous calculerez bien la valeur exacte si ça vous chante. Elle se situe au milieu d’un vaste désert de sable, de roche et de cactus et n’est accessible qu’en train, à plusieurs heures de la ville la plus proche. Cette cité, vous ne la trouverez pas encore à la surface de votre planète, parce qu’elle se situe dans un certain « ailleurs » de la cinquième dimension. Et ne me demandez pas exactement « où », parce que je n’en sais rien moi-même. Peut-être est-ce même une question que nous pourrions poser à notre invité.

Elior, je te souhaite la bienvenue sur mon canal solterien ! J’ai beaucoup d’honneur à t’y accueillir !

Et c’est avec le plus grand des plaisirs, Foelia, comme je te l’ai dit. Je devrais certainement commencer par te remercier d’avoir eu la patience et le courage d’aboutir à la création de ce canal solterien. Grâce à tes efforts, nos mondes trouvent ainsi un nouveau et puissant moyen de se rencontrer. C’est une belle oeuvre et je soutiens totalement ton travail dans cette direction !

Eh bien, si tu es d’accord, peut-être pourrais-tu commencer par te présenter ?

C’est un exercice compliqué de se présenter depuis une autre dimension de l’existence ! Souvent vous vous présentez en citant un nom, un métier ou ce genre de chose. Là où je réside, je n’ai pas de nom propre. Nous n’avons pas besoin de nous désigner par des sons, parce que notre signature vibratoire nous décrit bien mieux que quelques lettres. Aussi, celui que tu m’as trouvé me convient très bien et, si c’est important pour vous, vous pouvez m’appeler Elior. Me présenter, c’est choisir un axe et, qui plus est, un axe qui serait parlant pour vous. Tu m’as présenté comme le fondateur d’Adikan. Il est vrai que j’ai eu l’honneur d’initier sa construction dans ce monde d’où tu viens, toi aussi. Mais il vous faut comprendre qu’Adikan est un projet vaste, parce qu’il est interdimensionnel. Et cela, je ne pouvais en prendre totalement conscience durant mon incarnation sur ce monde-là.

Où se situe ce monde-là, Elior ? Même moi j’aurais envie de te poser cette question. Je suis arrivée ici en changeant de plan de conscience, mais j’ignore encore le parcours de mon âme. J’ignore si on peut placer Adikan sur une planète connue, ou dans un système connu.

Déjà, c’est une question difficile qui nécessiterait mille développements pour seulement approcher une forme de réalité. Oui, Adikan se situe bien sur une planète dont vous pourriez trouver trace dans le vaste système des Pléiades. Cela ne peut être exact, mais sans doute est-ce là la plus juste des localisations dans votre compréhension actuelle.

J’en profite pour vous faire comprendre qu’en chaque monde hébergé par une conscience planétaire, il existe un grand nombre de strates qui coexistent dans des niveaux de subtilité différents. C’est ce que nous appelons d’ordinaire des plans de conscience. Ces strates sont entretenues par différents êtres aux niveaux de conscience multiples. Nous, humains, avons cette capacité de déplacement à travers les plans, ce dont ne disposent pas toutes les créatures. Aussi, tu peux considérer qu’Adikan se trouve dans un monde virtuel, parce que tous ces plans dont je parle sont des projections des êtres conscients qui les font vivre. Vous accosterez petit à petit sur ces nouvelles compréhensions, ne vous inquiétez pas ! Pour beaucoup d’entre vous, ce ne sont que des expériences à ramener à la conscience, parce que bon nombre d’entre vous proviennent de ces mondes. C’est aussi pour ça que cette entrevue a son importance : peut-être réveillera-t-elle en certains l’écho d’une expérience oubliée pour un temps.

Quand tu dis que le projet d’Adikan est interdimensionnel, que cela veut-il dire ?

Plus vous travaillez sur un sujet qui vous passionne, plus vous découvrez que vous aviez le nez dans le guidon, comme vous dites ! Et plus vous êtes invités à reculer, reculer toujours d’un pas vers l’arrière pour contempler ce à quoi vous participez d’un regard plus extérieur. La perspective grandit toujours.

Oui, dans les premiers temps, lorsque je participais à cette création depuis l’oubli nécessaire qui caractérisait ma petite personne incarnée, je pensais seulement fonder une ville. Puis, peu à peu, la perspective s’est élargie : je fondais bien une ville, mais elle venait d’ailleurs et allait ailleurs !

Que veux-tu dire ? D’où venait-elle et où allait-elle ?

Encore aujourd’hui, je n’ai pas tout le panorama, mais il m’est peu à peu apparu comme évident qu’une cité est l’incarnation de ce que vous pouvez appeler un champ archangélique, c’est-à-dire une conscience unifiée incapable de s’incarner dans un seul corps humain sans le faire exploser. Une conscience archangélique s’incarne dans un groupe d’êtres. J’ai donc découvert qu’Adikan était un acte d’incarnation d’une conscience archangélique, si on peut en parler de cette manière. Et Adikan n’est qu’une étape dans la descente de cet archange vers des densités de plus en plus fortes. En réalité, un archange ne s’incarne pas, mais il transmet son rayonnement à un groupe d’êtres volontaires pour leur inspirer de belles réalisations collectives à expérimenter dans la matière.

Toi, Foelia, tu as vécu à Adikan dans un monde où l’oubli de la cinquième dimension est moins cadenassé que sur Solter. Adikan devait d’abord exister sur ce que nous pourrions appeler cette cinquième densité avant de devenir concret sur Solter. Tu y as vécu pour pouvoir venir en témoigner ici-bas, parce que la puissance qui propose de s’incarner dans votre densité aujourd’hui requiert des êtres qui ont déjà une certaine expérience dans ce domaine.

Voilà qui est déjà très « dense » pour des personnes qui n’ont pas l’habitude d’entendre ce genre de choses. À vous qui avez du mal à comprendre, je vous suggère de vous plonger dans les deux livres qui racontent ma vie à Adikan. On n’y parle pas vraiment de ces histoires d’archanges. C’est simplement ma vie, toute simple, qui y est décrite. Moi aussi il m’a fallu un bon moment pour réactiver ces connaissances et ces souvenirs. Et ça n’arrête pas : j’en ai tous les jours un peu plus qui remontent !

Comme je prévois plusieurs entrevues comme celle-ci, nous aurons l’occasion de revenir sur ces concepts. Pour l’heure, Elior, puis-je te soumettre une dernière question ?

Volontiers, Foelia. Je suis là pour ça.

Adikan devrait voir le jour ici, sur Solter ? Si oui, quand ? Et où ?

Oui, qu’elle porte ou non ce nom, Adikan est une cité comme il en naitra un certain nombre à la surface de ce monde dans les deux siècles à venir. Cette possibilité vient de loin. C’est, pourrions-nous dire, une importation cosmique. « Quand ? » n’est jamais une question à laquelle nous pouvons répondre lorsque nous conversons depuis des plans différents. Et « où ? », cela se dessinera peu à peu. Je peux en tout cas vous dire que chaque continent aura sa cité-pilote, où il sera tenté de faire vivre en harmonie les êtres qui la construiront. Ces êtres seront des êtres simples, pionniers de la nouvelle conscience à cinq dimensions retrouvées. Ils oeuvreront dans un état d’esprit volontaire afin qu’une porte soit franchie définitivement, permettant à toute l’humanité solterienne de s’engouffrer dans des modes de vie compatibles avec la conscience multidimensionnelle. C’est en tout cas le projet qui est en route et qui ne s’arrêtera pas. Au mieux pourra-t-il être quelque peu retardé, selon les rebondissements propres à votre réveil collectif et aux actions des forces adverses. Mais dans tous les cas, cette aventure sera joyeuse, puissante et porteuse pour les âmes de chacun de ceux qui s’y investiront. C’est incontournable !

Merci Elior ! Pour ne pas entrer dans un format trop long, je propose que nous en restions là aujourd’hui. Merci pour ta présence à nos côtés !

Chers lecteurs et auditeurs, j’en profite pour vous ouvrir cette possibilité très nette : vous pouvez m’envoyer vos questions via le formulaire de contact de mon site foelia.net. J’en ferai une synthèse et les poserai à Elior lors de notre prochaine entrevue.

D’ici là, portez-vous bien sur ce monde. S’il est si dense, c’est pour nous encourager à faire sortir de terre notre véritable puissance, notre véritable essence. Je suis heureuse d’y contribuer avec vous, mes amis cocréateurs !

À tout bientôt ! À bientôt, Elior !

À bientôt, Foelia. À bientôt à tous ceux qui nous écoutent ! Oui, envoyez vos questions à Foelia. C’est important que ces rencontres vous nourrissent. Profitez-en ! Ce n’est pas anodin d’avoir accès à un canal aussi clair entre différents plans de conscience.

Canalisé par Foelia

Partagé par : https://consciencedivine.com

Source : https://foelia.net

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