Canalisé par Vania Rodrigues
Chers frères et sœurs de la planète Terre ! JE SUIS HILARION !
À ce stade de votre voyage, l’un des points importants que vous devez toujours garder à l’esprit est le respect de vous-mêmes. Sachez dire non. Sachez comprendre le moment présent. Mettez-vous toujours en avant. Ne cherchez pas à plaire aux autres.
Le respect de soi comprend de nombreux facteurs : votre propre confort, votre équilibre, votre volonté et, surtout, le fait de ne pas laisser les autres vous dicter votre chemin. Beaucoup d’entre vous sont extrêmement stricts avec leurs propres règles. À aucun moment vous ne vous permettez d’échouer. À aucun moment, vous n’admettez votre faiblesse. Vous avez toujours besoin d’apparaître comme des êtres merveilleux et forts, alors qu’à l’intérieur vous êtes brisés et faibles. Quelle qu’en soit la raison.
C’est pourquoi je vous dis qu’il s’agit toujours d’ego. Aucun de vous n’a besoin de plaire à l’autre. Il faut toujours respecter l’autre et soi-même, avant tout. Ce que vous ne pouvez pas faire, c’est attaquer l’autre, lui faire du mal. Mais vous pouvez et devez toujours vous mettre en avant par rapport à l’autre. Non pas dans le sens d’une supériorité, mais dans le sens où c’est vous qui décidez, et non l’autre personne.
Souvent, les choses se produisent et vous vous demandez : « Pourquoi ? » ou, comme vous l’avez appris, ” Qu’est-ce que cela essaie de m’apprendre ». Et vous ne trouvez pas vraiment la réponse. Parce que c’est plus comme un frein, c’est plus comme un obstacle qui vous arrête. Ce n’est pas un obstacle de souffrance. Non, c’est un obstacle qui vous fera beaucoup réfléchir sur la façon de le surmonter. C’est un obstacle simple, mais il vous oblige à vous arrêter. Il vous oblige à faire une pause.
Vous n’admettez jamais que vous devez vous arrêter. Vous vous croyez extrêmement fort et vous faites tout, acceptez tout, décidez tout au même moment. Et puis votre corps crie, votre corps n’en peut plus. Mais vous insistez, parce que votre ego ne vous laisse pas admettre que vous n’êtes pas si fort. Et vous continuez à insister. Et le corps n’a pas d’autre choix que de vous jeter à terre, de sorte que vous vous rendez compte qu’il crie, qu’il vous demande de l’aide. « J’ai besoin de m’arrêter. J’ai besoin de me reposer ». Et vous vous arrêtez. Parce que c’est la seule façon pour lui de vous faire écouter.
Mais vous continuez à insister. Vous pensez que c’est absurde, que vous pouvez vous lever et continuer. Et il vous assomme à nouveau. Il se peut alors que cette deuxième, troisième ou quatrième fois, vous vous arrêtiez pour réfléchir, pour vous regarder. Pour admettre que votre corps n’est pas une machine qui fonctionne sans cesse et sans repos.
Apprenez, mes frères, le corps parle. Et il a de nombreuses façons de montrer ce qu’il ressent. À chacun de s’observer. Essayez de comprendre ce que votre corps essaie de vous dire. Et réalisez qu’il ne sert à rien de vouloir être fort et puissant si votre corps ne suit pas. Car chaque fois que vous insistez, votre corps le ressent davantage. Et c’est là qu’il faut s’améliorer, comme vous le dites, à chaque instant, pour regarder le corps, pour sentir ce qu’il veut dire.
Bien sûr, il y a des engagements. Des engagements de travail, des engagements d’études, quel que soit l’objectif. Mais tout engagement peut être rompu, à condition qu’il y ait une bonne raison. L’univers ne vous punit pas. Il y a une punition si vous réservez beaucoup de choses, sans le vouloir, et que soudain vous annulez tout, également sans le vouloir. Dans ce cas, vous serez certainement puni pour votre attitude inconséquente.
Mais si vous écoutez simplement votre corps et qu’il vous demande, vous supplie, vous supplie de rompre cet engagement, écoutez-le. Apprenez à écouter votre corps. Apprenez à entendre ce qu’il essaie de vous dire. Il n’y a pas de honte à admettre que vous ne vous sentez pas bien en ce moment. Car toute personne qui vous jugera aura un problème : celui du jugement. Ce n’est donc pas vous qui devez vous préoccuper de ce que les autres vont penser.
Mes frères et sœurs, nous vivons un moment critique. Les énergies arrivent avec beaucoup d’intensité et perturbent vos corps. Je dirais même qu’elles apportent un déséquilibre, car tant de choses sont brassées par l’action de la Lumière, le corps ne peut pas tout métaboliser. Et le doute, le moment même où l’on ne comprend pas ce qui se passe, abaisse la vibration et l’on finit par être malade.
Il est important de toujours accepter ce que dit le corps. Soyez doux avec vous-même. Apaisez-vous. Aidez-vous. Prenez soin de vous. Montrez à votre corps que vous l’appréciez, que vous l’aimez. Et que vous êtes avec lui en ce moment, en train de faire ce que vous pouvez pour l’améliorer. C’est ce qui est important. Il ne s’agit pas de faire passer tout ce qui doit être fait avant votre propre intégrité.
Pensez à votre corps avec amour, avec affection, avec acceptation. Comme s’il s’agissait d’un petit enfant qui aime être pris dans les bras lorsqu’il ne se sent pas bien. Respectez votre corps. Regardez-le avec amour. Oubliez les jugements. Oubliez ce qui pourrait vous être reproché. Vous savez ce qui se passe en vous. Alors soyez là pour vous sentir bien. Pour que vous soyez en équilibre.
Comprenez, mes frères et sœurs, que chacun de vous est comme un verre dans lequel l’énergie arrive et s’accumule en fonction de votre vibration. Si vous vibrez haut, vous absorbez plus de lumière et les changements se font plus vite. Et l’inverse est également vrai. Si vous vibrez moins fort, vous n’absorbez pas autant de lumière et les changements ne se produisent pas aussi rapidement. Mais s’il vous plaît, ne choisissez pas de vibrer bas juste parce que vous ne voulez pas sentir les transformations. Vos corps ont besoin d’être transformés.
Tout cela se passe donc en même temps. Le changement, les transformations, le nettoyage, et si vous envoyez plus d’énergie dans les corps, ils ne peuvent pas faire face ; ils s’effondrent. L’équilibre qui vous éloignait de la maladie disparaît alors. Mais elles sont toujours là, tapies, prêtes à faire un petit faux pas.
Sachez respecter votre corps. Réalisez jusqu’où vous pouvez aller. C’est important à ce stade de votre parcours. Aimez votre corps. Mais surtout, avant tout, aimez-vous.
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