Canalisé par Foelia
Bonjour chers cocréateurs, auditeurs, lecteurs de mon canal ! Très heureuse de vous retrouver aujourd’hui, et très heureuse d’accueillir Laina pour continuer notre périple à travers les questions que vous lui avez envoyées.
Juste un petit mot avant de commencer pour vous dire que je suis bien désolée de ne pas pouvoir vous proposer des vidéos animées chaque semaine. Ça prend un temps fou à Jonathan, mon avatar solterien. Vous avez donc un audio fait de ces magnifiques voix de synthèse, à défaut de mieux pour le moment. Si malgré ces imperfections notre partage vous parle, vous inspire ou vous soutient, n’hésitez pas à liker, partager, vous abonner à ma chaine. Ce sont de petits gestes qui aident à la diffusion, parait-il. Merci pour ça !
Alors Laina, je me tourne vers toi. Tu es prête pour plonger dans une question ?
Je suis toujours prête quand il s’agit de me prêter au jeu du question-réponse ! Et je commence par remercier ceux qui nous ont envoyé leurs questions. Ça ouvre bien des portes pour moi de savoir que je m’adresse plus particulièrement à d’autres solteriens de bonne volonté. J’écoute la question, Foelia !
Alors nous avons ici une question de S. :
Bonjour Foelia et Laina. Vous êtes très intéressantes et cela me donne le gout de communiquer moi aussi, de rencontrer une compagne des mondes supérieurs. Cela est-il donné à chacun qui a un coeur pur ? Et je pense qu’il a déjà été dit qu’il faille le demander. Est-ce exact ?
Bonjour S. ! Oui, tout le monde a nécessairement au moins un accompagnateur dédié, dès le moment où il en fait la demande. Loya et moi avons déjà transmis pas mal d’informations dans ce sens. Peut-être que Jonathan pourra retrouver des liens à vous partager pour compléter ma réponse. Je dirais que vous ne plongez jamais seuls dans la densité. Il y a toujours des amis qui restent en arrière et vous soutiennent. Le rôle de ces amis peut être plus ou moins lointain, parce qu’il dépend de la place que vous leur faites dans votre quotidien. C’est pour ça que j’aime dire que, dès que vous demandez un contact, il s’établit. Votre demande agit comme une clé de contact. La demande, l’appel, c’est le premier acte à poser. Ensuite, il vous revient d’apprendre à formuler des questions à vos amis d’en-haut. Et c’est tout un art de trouver les questions qui vous font vraiment avancer. Puis il y a tout cet art à développer pour capter les réponses et les traduire, leur donner la forme qui est la vôtre.
Tout le monde peut faire ça ! C’est comme toute chose qui s’apprend. Plus vous y passez du temps et y accordez votre enthousiasme, plus le canal se creuse et devient limpide. Voilà ce que je peux te répondre, S.
Merci Laina ! Et effectivement, si vous faites une recherche sur mon blog foelia.net avec le mot clé « accompagnatrice », vous trouverez d’autres ressources qui pourront vous aider.
Seconde question du jour pour toi, Laina, posée par M. :
Sur le plan de vie de Laina, la nature existe-t-elle ? Sous quelle forme ? Quel rapport avec elle est-il possible d’avoir et quel est son rôle sur votre plan d’existence ? Y a-t-il des formes d’animaux et quels sont les rapports qui existent avec les autres êtres ?
L’intérêt de vivre avec une conscience à cinq dimensions, c’est la possibilité de voyager entre les plans de vie. Pour répondre, je dois bien vous faire comprendre que je n’ai pas qu’un seul plan de vie. Avec Atena, nous apprenons à nous projeter d’un plan à l’autre. Et chaque plan nécessite une connaissance particulière, une forme de maitrise, pour pouvoir interagir avec les êtres qui l’habitent. L’interaction que j’ai ici avec vous est une forme particulière, qui ressemble, de près ou de loin, à l’interaction que je peux avoir avec d’autres plans. À chaque plan sa recette, je dirais ! Et c’est une aventure passionnante d’apprendre à interagir avec différents plans.
Par contre, je peux vous dire que sur tous les plans que je visite, la nature est bien présente. On appelle ça la vie, et elle prend des formes très diverses, parce que les êtres qui la peuplent ont aussi des états de conscience tellement différents.
Maintenant, on peut dire deux mots sur le plan de vie qu’on a partagé avec Foelia, lorsque nous vivions à Adikan. Je vis toujours à Adikan, sur ce plan-là d’ailleurs. C’est difficile de vous faire comprendre que ce n’est pas du passé pour moi, mais du présent.
C’est par contre intéressant que tu essayes de nous faire comprendre ça, Laina. Pourquoi dis-tu que c’est du présent ? N’es-tu pas actuellement sur le vaisseau d’Atena ?
Si, mais aussi à Adikan. Les plans de vie peuvent se trouver dans des temporalités non croisées. C’est comme si vous pouviez prendre conscience de plusieurs de vos incarnations en même temps, en vous rendant compte qu’elles sont parallèles, même si elles se produisent dans des époques différentes. Quand nous étions à Adikan, je n’avais pas encore retrouvé cette conscience, mais depuis que je suis ici, avec Atena, je renoue avec cette conscience plus vaste qui me permet de me relier à plusieurs existences simultanées, si on peut dire. Au-delà du temps que vous connaissez, et qui est très limité, il y a autre chose qu’une ligne droite allant du passé au futur. Il y a un présent continu, qui se dévoile peu à peu à mesure de notre maturation de conscience.
Je sais que mon discours peut laisser transparaitre des incohérences, mais je fais de mon mieux.
Et je fais de mon mieux pour traduire !
Mais pour en revenir à la nature, oui, elle existe partout. Et à Adikan, elle est très similaire à celle que vous connaissez sur Solter. Il y a des végétaux, des animaux, parfois assez différents des vôtres, parfois assez semblables. Mais plutôt semblables. Le lien que nous établissons avec la nature ou avec les animaux dépend de chaque individu. De manière générale, comme chez vous, certains sont très proches des animaux ou des végétaux. Certains peuvent passer des heures avec eux et établir des connexions privilégiées, des communications, faire circuler un amour. C’est un vrai travail de relieur de plans. L’avez-vous remarqué ? Ceux d’entre vous qui aiment la nature, les animaux, les plantes et tentent d’établir une connexion de coeur avec eux agissent vraiment comme des bâtisseurs de pont entre les états de conscience. Cela développe des compétences, telles que la télépathie. Les animaux comprennent bien mieux les wams que les mots. Les plantes aussi. A Adikan, j’aime planter des arbres pour faire venir la vie dans le désert. J’y ai passé des heures. J’aime la relation avec les plantes. J’aime apprendre à les comprendre, à sentir leur caractère.
Voilà ce que je peux te répondre, M. Sans doute pas ce à quoi tu t’attendais, mais merci pour ta question, puisqu’elle me permet d’exprimer tout ceci.
La question suivante est posée par P. :
Notre réalité est une petite partie de l’astral. Comment appréhender et explorer l’astral en sécurité ?
De mon point de vue, je trouve plutôt que l’astral est une partie de notre réalité. Je crois que vous appelez l’astral les plans directement proches de la fréquence physique dense. Toute planète possède ses plans moins denses qu’on peut appeler astraux. Et tout plan dense baigne nécessairement dans des plans moins denses. Je peux vous dire que vous baignez dans l’astral de Solter à tout instant, même avec votre corps physique. Le tout est de pouvoir adapter son regard pour percevoir ce qui se joue sur les différents plans, comme vous le faites à chaque fois que vous dormez. Votre corps astral, lorsqu’il n’y a plus à gérer toutes les informations sensorielles de votre corps physique, flotte là, souvent inconsciemment, et s’impriment en vous des images qui traduisent ce qu’il voit. C’est d’ailleurs amusant à regarder pour nous. Quand vous dormez, vous êtes un peu comme des fantômes inconscients. À vrai dire, votre forme astrale dort la plupart du temps. Vous peinez à la contrôler consciemment à cause de la densité. Il est possible de faire un travail avec les rêves pour apprendre à appréhender l’astral plus consciemment.
Mais il est simplement possible d’apprendre à conscientiser les fluctuations de votre corps émotionnel quand vous êtes réveillés. C’est un simple travail d’attention. Si vous vous demandez à chaque instant « Quelle émotion me traverse ? » et que vous vous intéressez à toutes les fluctuations d’ambiance captées par le même canal que vos états émotionnels, vous activez réellement une perception de l’astral qui vous environne. Vous pouvez distinguer des créatures invisibles par vos yeux de chair par l’ambiance qu’elles émettent et que vous captez de cette manière.
Bref, on pourrait écrire un livre là-dessus. Et je dirais que le principal danger que je vois pour ceux qui creusent dans ce domaine, c’est la non-maitrise de vos émotions. Le problème, si vous n’êtes pas capables de gérer la peur, c’est qu’elle vous densifie et vous glace, vous mettant en contact avec des créatures peu recommandables. Voilà tout ! J’encouragerais quiconque s’intéresse à ce sujet de d’abord faire un travail sur ses peurs et d’apprendre à ne pas se laisser posséder par elles. Ce n’est pas une mince affaire ! Et en attendant, comme je vous le disais, on baigne à tout instant dans l’astral.
Encore une dernière question pour aujourd’hui, posée par M. :
Sur Solter nous utilisons un véhicule d’incarnation constitué de plusieurs « corps » imbriqués en poupées russes que nous restituons lors de notre remontée.
Donc, sur ton plan de vie, comment s’exprime par exemple la joie ? Y a-t-il des formes d’émotions ? Si oui, comment cela se manifeste-t-il ?
Il y a des émotions, mais nous les traitons jusqu’au bout. Elles ne ressemblent donc pas à des déjections de notre système nerveux, si je peux me permettre, mais nous envoient des informations concernant toute fluctuation de notre milieu, de nos corps.
La joie est notre état « normal », comme pourrait le devenir le vôtre. Souvent, vous ne traitez pas vos inconforts, si bien que vous prenez pour des émotions la réaction instinctive de votre psychisme face à ces inconforts. Vous dites par exemple, pour autant que vous ayez cette conscience : « Je suis en colère contre toi ! ». Mais vous vous arrêtez en chemin, sans questionner cette réaction de votre énergie vitale. Vous avez une réponse automatique, prévue par votre personnalité, qui peut être « Je crie sur toi ! ». Et hop ! Votre soi-disant émotion se transforme en réaction, souvent négativement tournée vers les autres, ou vers vous-mêmes.
Note bien que ce n’est pas un jugement de ma part. C’est simplement l’état de votre monde intérieur, la plupart du temps. Et c’est ainsi à cause de la densité, bien sûr ! À vous de déterrer vos forces pour vaincre l’inertie et travailler votre responsabilité intégrale ! C’est le chemin.
Mes corps sont très semblables aux vôtres, dans les différentes dimensions. Nous avons aussi un corps émotionnel, et un corps physique, tout comme vous. Il se fait simplement que nous disposons de plus de conscience pour les gérer et traiter les informations qu’ils nous délivrent. Il ne faut pas me voir comme très différente de vous. Je pourrais être là, à vos côtés, et vous penseriez voir une simple solterienne, à peu de choses près. Ce qui nous différencie, c’est la qualité de notre conscience. Elle est plus fluide sur mon plan, ce qui fait que je ne laisse pas mes émotions se traduire en violence pour moi ou pour les autres, mais que je prends soin du message qu’elles me transmettent, afin que je puisse m’équilibrer au mieux avec mon environnement direct. Je parle autant de mon environnement psychique que physique.
Ce qui vous manque, c’est simplement de la conscience et la volonté de décider. Décider de voir. Décider d’aimer. Décider d’agir. Trois phases obligées pour quitter la matrice d’inconscience qui vous enserre. Notez qu’il s’agit toujours de décider. S’il y a bien un moteur, c’est celui-là.
Merci Laina ! Tout ce que tu apportes est passionnant !
Ce qui devrait vous passionner, c’est ce que nous sommes en train de faire : dialoguer entre les plans. Les informations transmises ne sont qu’un prétexte pour vous partager ma joie. Elles ont en soi peu d’importance en elles-mêmes. Elles servent à nous relier, essentiellement. Je fais le voeu que nous puissions seulement être un exemple, toi et moi, pour que chacun se saisisse de sa propre capacité à élargir ses perceptions, en questionnant ses accompagnateurs. Ici, on distribue un flux, une impulsion. Les données transmises n’ont pas d’importance. Vous en avez déjà tant ! Ce qui compte, c’est que chacun de vous puisse découvrir son propre passage vers ses propres réponses.
Alors, est-ce que ça a du sens que tu répondes à nos amis qui posent des questions ?
Je vois un sens qui peut être beau : celui d’oser questionner. Chacun de vous qui m’avez posé des questions, ne prenez mes réponses que comme une joie simple d’être en lien avec vous et de partager librement. Et souvenez-vous de cette capacité que vous avez, chacun, de vous relier à vos accompagnateurs. Je souhaite être une donneuse d’impulsions joyeuses, bien plus qu’une pourvoyeuse d’informations ésotériques ou psychologiques. Je vous réponds surtout pour pouvoir vous dire ça. Mon message essentiel, c’est celui-là. Je veux juste que notre travail d’expression, à Foelia et moi, soit un témoignage. Le témoignage d’une possibilité qui réside en chacun.
Et ça a du sens que vous puissiez me poser des questions, parce qu’en réalité, vous êtes en recherche d’impulsions, d’encouragements pour booster votre propre chemin. Je ne joue qu’un rôle de miroir pour vous, un miroir vers vos profondeurs, où toutes les réponses sont inscrites.
Poser des questions à l’extérieur, tout comme les poser à l’intérieur, a du sens. L’un nourrit l’autre. Sans nourriture extérieure, on n’est pas stimulé vers de nouveaux points de vue. Et sans questionner l’intérieur, aucune question extérieure n’a de force, ni de pertinence pour soi. Voilà pourquoi ce travail a du sens.
Merci Laina ! Eh bien, nous pouvons en rester là aujourd’hui. Je vous rappelle, mes amis cocréateurs, que vous pouvez vous abonner, liker et partager pour soutenir notre impulsion si elle vous nourrit. Bonne journée à tous, sur notre magnifique planète, et à la semaine prochaine pour la suite !
Plein de joie pour vous !
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