Canalisations

Laina : Entrevue 5

Canalisé par Foelia

Bonjour mes amis cocréateurs du nouveau monde !

Et bonjour Laina ! Cinquième entrevue déjà ! Je prends énormément de plaisir à te soumettre toutes les questions que nous avons reçues. Je ne m’attendais pas à ce qu’elles remplissent ainsi nos rencontres, mais j’aime ça. On a déjà tellement échangé à deux, mais ouvrir le dialogue fait voyager dans d’autres axes de compréhension que je n’aurais jamais pensé à explorer par moi-même. C’est riche !

Bonjour Foelia, et bonjour à chacun de vous qui suivez ce rendez-vous. Je suis moi-même très surprise de la pertinence des questions que vous envoyez à Foelia. Je ressens déjà un bel égrégore chargé d’autant de curiosité que d’amour qui alimente cette petite communauté que nous formons. Oui, je nous sens un peu comme une famille qui se retrouve, se reconnecte, rassemblant des êtres qui se sentent touchés par la fréquence que nous avons créée. Cette fréquence n’appartient à personne en particulier. Elle est un lieu de rencontre, de retrouvailles et d’échanges. Et si nos entrevues permettent ces retrouvailles, je n’en suis que plus joyeuse. L’idée de créer un forum est une belle idée, et peut-être serait-il utile qu’elle aille encore plus loin.

 

Tu penses à quoi ?

Je pense à des rencontres physiques. Il n’y a rien de plus touchant, n’est-ce pas ?

Wow ! Là, tu lances un pavé dans la mare. Je ne sais pas si je suis prête.

Dois-tu nécessairement être prête ?

Ça ne dépend pas que de moi !

Bien sûr : ça dépend de nous tous ! En tout cas, pour ma part, je suis prête à participer. Fais-moi signe quand tu le seras toi aussi. Excuse-moi de lancer l’idée et de te mettre dans l’inconfort, mais il faut bien qu’elle fasse son chemin. Si on tait ce qu’on ressent, on n’avance pas. Ne t’inquiète pas. Les inconforts, c’est ce qu’on recherche ! C’est notre pain quotidien. Les rencontrer et les solutionner muscle les plus belles forces de nos âmes.

Hm. J’entends. Laisse-moi juste un peu de temps. Prête pour une question ?

Avec joie !

Question de F. :

Comment trouver la joie et l’énergie dans les taches simples et répétitives du quotidien, comme la lessive et la vaisselle ?

J’aime bien cette question. La joie, c’est mon rayon ! Une première chose, c’est que quand la joie est là, la fontaine d’enthousiasme coule à flot. Et l’enthousiasme est une énergie d’action. Donc si tu as la joie, tu as l’énergie.

Vous pouvez bénir les tâches répétitives dont chaque geste est connu, parce qu’il est bien plus facile de cultiver la présence en dehors de la surprise. Vous avez alors tout le loisir de profiter de ce temps qui vous est donné pour vous tourner vers l’intérieur. Si vous n’aimez pas les tâches répétitives, c’est sans doute que vous courez après quelque chose d’extérieur, des stimulations pour, souvent, ne pas vous confronter à quelque chose qui vous trouble. Or, il n’y a rien de plus intéressant, à mon sens, que de cultiver la présence. Tout le temps que vous passez à fuir votre intériorité ou vos souffrances sous-jacentes est ce que vous pouvez appeler du « temps perdu ». Or, les tâches répétitives, plus que les nouveautés, vous offrent un « temps à gagner ». Gagner en présence, gagner en paix, en harmonie, en gratitude. Un temps gagné pour accrocher votre attention sur des vibrations plus élevées.

La joie ne se trouve jamais dans une activité. La joie se décide et s’explore. Tous les chemins que vous créez par vos décisions de vous connecter à la présence facilitent peu à peu votre faculté à la contacter et à y séjourner. Certaines activités vous procurent des stimulations, une certaine dose d’intensité. Mais ce n’est pas à confondre avec la joie. La joie est un état qui est à tout moment accessible et n’est le contraire d’aucune émotion. Ça, vous pouvez commencer à l’expérimenter. On peut ressentir toutes les émotions tout en restant conscient de la joie qui est toujours là. La joie n’est pas une émotion, mais un sentiment, c’est-à-dire un plan de conscience, particulièrement vibrant d’ailleurs.

Aucune activité ne vous met en joie. Mais vous pouvez chercher la joie à travers tout type d’activité. Et je vous dirais même qu’elle est plus facile à trouver dans une activité que vous n’aimez pas. Ça parait étrange, mais c’est tout bête : dans une activité que vous n’aimez pas, vous ne pouvez pas confondre la joie avec l’excitation ou l’exaltation, ou encore avec le plaisir. Vous êtes là et, parce que vous prenez le temps de décider de l’appeler, elle se fraye un chemin jusqu’à vous et vous plonge dans un regain de présence, de paix et de gratitude. Depuis ce plan de conscience, vous redécouvrez ce regard profond qui vous montre la beauté en toute chose.

 

Alors, quand vous vous ennuyez dans une tâche répétitive, appelez la joie, tout simplement. Si ce canal n’est pas encore vraiment débouché en vous, croyez bien qu’à chaque tentative, vous le creusez un peu plus. Dès qu’une toute petite goutte de joie parvient à perler depuis le sommet de votre conscience, vos cellules s’animent et la créativité n’est jamais loin. L’inspiration non plus !

Merci Laina pour ces propositions bien concrètes !

Je voudrais aussi que nos amis cocréateurs comprennent que nous ne communiquons que parce que tu as pu recreuser ce tunnel vers la source de ta propre joie. Sans ça, aucun wam venant de ma part ne te parviendrait ni ne se traduirait. Pour la simple et bonne raison que je ne m’exprime que sur cette fréquence de la joie. Si tu n’y es pas, tu ne peux rien capter de moi. Ou presque rien. Rien de construit, rien de suivi, et bien sûr rien de joyeux. C’est important à comprendre ! Toute cette machine de réception intuitive, inspirée, ne se met en route que lorsque la joie est présente. Ce que tu as fait, Foelia, depuis toutes ces années, c’est que tu as mis des heures et des heures d’attention et d’intention sur le balisage du chemin de la joie en toi.

Tu m’y as beaucoup aidée !

Oui, bien sûr ! C’est exactement ma mission ! Laina signifie « joyeuse ». Je le dis pour ceux qui ne le savent pas. Mais j’aurais pu danser sur ma tête, toute la joie que je t’envoie depuis toujours n’aurait pu être captée par toi sans que tu décides d’y aller par toi-même. Trouver le chemin de la joie en soi nécessite de la volonté. Pas une volonté en force ou en action, mais une décision de la chercher. Dès que tu as pris cette décision, même si ce n’était pas absolument conscient, j’ai pu m’engouffrer toute entière par la petite fenêtre qui s’ouvrait entre nos plans. Et je n’ai pas lâché, jusqu’à ce que tu parviennes à venir ici par toi-même.

C’est donc bien un tandem, comme on le disait l’autre jour.

Oui. Nous avons creusé un tunnel à travers les voiles de nos plans respectifs, depuis les deux côtés à la fois, et nous avons ainsi pu le percer et nous retrouver. Et tout le monde peut faire pareil. Enfin… pas tout le monde. Seulement ceux qui le décident !

C’est une manière élégante et humoristique de le dire !

Prête pour une autre question alors ?

Oui !

Nous avons ici une question de E., qui voudrait savoir comment tu vois l’hypnose régressive quantique. Peux-tu t’exprimer sur ce sujet ?

Je peux toujours m’exprimer. Je vous l’ai dit : peu importe la question. Elle n’est que prétexte pour vous prêter mes yeux, mais surtout partager le parfum d’un monde qui n’est pas loin du vôtre, et pourtant encore si difficile à capter.

L’hypnose, c’est en quelque sorte une tentative pour baliser un chemin vers d’autres états de votre conscience. Il y a mille manières d’utiliser l’hypnose et il y a mille contrées de votre être sur lesquelles apprendre à placer votre conscience. À mon humble avis, apprendre à cultiver ces états vous apporte une perspective plus large, si c’est pratiqué avec une intention d’évolution. Après, comme toute technique, neutre en essence, elle peut être pervertie par des intentions de manipulation. L’hypnose endort votre gardien, cette sentinelle mentale vigilante, qui cherche à contrôler son environnement. Si vous contournez son travail, vous êtes en quelque sorte plus vulnérables. Je veux dire que votre équilibre ne dispose plus des mêmes sécurités psychiques que d’habitude. Il faut juste savoir avec quoi on joue, et surtout avec quelle intention.

La curiosité peut-elle constituer une intention « pure » ?

 

Encore ici, tout dépend de ce que tu places derrière ce mot. La curiosité est une extension du moteur de la joie, mais on peut insidieusement cacher des motivations d’ordre égoïque derrière ce mot. Par exemple, vous pouvez vous dire que vous êtes curieux d’aller explorer l’univers intérieur hors de vos limites habituelles, avec l’idée d’aller chercher des récits qui confirmeraient des prétentions d’ego. Vous voyez ce que je veux dire ? Il n’y a que votre sincérité pour venir à bout de ces mensonges qu’on se raconte à soi-même. Et on s’y embourbe aussi longtemps qu’on n’a pas cultivé cette sincérité, alliée à une volonté inflexible de se voir et de s’accepter tel que l’on est.

Mais loin de moi l’idée de vous décourager de mener une expérimentation qui vous attire. Demandez-vous seulement pourquoi elle vous attire. Et osez formuler votre intention, osez y distinguer les éléments qui excitent votre ego en quête de sensations fortes, auxquelles viennent s’ajouter de nouvelles prétentions d’identification. C’est tout. Et tout est beau ! Je veux dire que voir les endroits où votre ego intervient n’est pas honteux. Il ne faut pas culpabiliser d’avoir un ego : ce serait s’infliger double peine ! Hahaha ! L’ego fait partie de vous et de votre évolution, tout comme de la mienne. Le voir pour ce qu’il est, c’est déjà ne pas s’y identifier totalement. Partout où vous voyez ses stratagèmes pour vous inciter à vous identifier à votre personnage, eh bien, vous n’y êtes plus identifié, puisque vous le voyez. N’est-ce pas ?

Oui. Vu comme ça, ça parait simple.

Ça l’est ! Vous ne pouvez pas vous identifier à un mirage dès le moment où vous savez que c’est un mirage. Votre problème, amis de la densité, n’est pas votre ego en lui-même, mais votre besoin d’y rester identifié. Il est un agrégat d’identifications à des conditionnements de protection. Vous aimez vous dire que c’est vous, parce que vous préférez être une illusion, plutôt que rien du tout. C’est ce qui perpétue le besoin d’identification. Mais lorsque vous apprenez à ne plus vous identifier aux conditionnements de votre personnage, vous avez toujours un ego. Vous en êtes simplement conscients, alors que vous ne l’étiez pas tant que vous le preniez pour vous-mêmes. Cette conscience est ce que nous vivons de manière naturelle en 5D.

La 3D est le mode de perception des créatures qui se prennent pour leur ego, qui d’ailleurs constitue votre quatrième dimension. La 5D est le mode de perception des créatures qui peuvent jouer à s’exprimer à travers un ego sans se perdre dans la croyance qu’il s’agit d’elles-mêmes. C’est le coeur de ce qui différencie ces deux maturités d’âme. Et, là où vous êtes, les forces de rabaissement sont si puissantes qu’il n’est pas vraiment possible de résider naturellement en 5D. Vous hisser dans votre cinquième degré de perception requiert une volonté tendue, alliée à l’amour et à la cohérence. Puis vous vous rendormez jusqu’à la fois suivante. Muscler votre conscience par ces allers-retours, c’est un véritable entrainement que propose Solter.

Alors, pour en revenir à l’hypnose et aux autres techniques pour modifier votre état de conscience, vous pouvez comprendre que court-circuiter votre vigilance, contourner votre gardien, ne vous amène pas plus de conscience. Vous pouvez par contre tout faire pour rentrer dans ces états corporels depuis une conscience élevée. C’est alors plus une décontraction de tous les ordinateurs internes qui ne sont pas nécessaires, afin de libérer de l’énergie pour voyager plus librement dans votre monde intérieur. Mais il n’y a pas de miracle : vous irez aussi loin que le permettent vos possibilités.

Tu veux dire que, par exemple, on ne passe pas de la 3D à la 5D par l’hypnose.

C’est exact. Vous voyagerez sur des fréquences élevées en état d’hypnose si vous avez déjà accès à ces fréquences en temps normal. La décontraction permettra simplement d’aller plus loin. Tout ce qui touche à la présence se cultive en pleine conscience. L’hypnose est un moyen d’exploration, pas d’élévation. Ça, je peux être catégorique sur le sujet. Alors, la question revient à ce que vous voulez explorer et pourquoi, tout simplement. Et il n’y a ni bien ni mal dans vos aventures. Il n’y a que des choix, et des leçons à apprendre, pour comprendre toujours un peu plus qui nous sommes vraiment.

Merci Laina ! Comme souvent, tu nous emmènes plus loin que je le pensais. Mais c’est bien !

Bien sûr que c’est bien ! Si une réponse est donnée sur le même plan de compréhension que la question, alors elle n’est pas satisfaisante. C’est une évidence pour moi. Le fait de poser une question, c’est en fait un appel à élargir ses perceptions, pas à confirmer ce que l’on perçoit déjà. Ne penses-tu pas, Foelia ?

Si si ! Tu fais bien de le rappeler.

Tu as une nouvelle question ?

Une plus personnelle, qui part d’une question de S., qui me demandait si j’avais vécu des doutes sur ce que toi et les autres m’envoyaient, lors de nos premières rencontres. J’aimerais alors te poser la question à toi, Laina :

As-tu rencontré des doutes avant de pouvoir rétablir le contact avec moi, malgré la distance entre nos plans respectifs ?

Te surprendrais-je si je te répondais « oui » ?

Oui ! Parce que je pensais qu’en 5D, le doute n’existait pas.

Il existe sous une autre forme, plus personnelle. Je me demandais toujours si je serais capable de créer cette connexion avec toi. Ce n’était pas un doute au sens où vous l’entendez, un doute qui concernerait la véracité ou la fausseté d’une information. Ce type de doute est lié à la propension à croire, qui est propre à l’endormissement des consciences en 3D. Celui-là, nous l’avons pris en main dès le début de ta formation ! Tu te souviens ? Hihi.

 

Bien sûr ! Ça semblait être votre cheval de bataille, comme on dit !

Oui, de votre côté, c’est un gros morceau : apprendre à vous élever au-delà du mental qui trie, pour simplement vous raccorder à la fréquence de votre coeur qui ressent. Pour certains, c’est une évidence. Pour d’autres, c’est un trésor à conquérir.

Le doute que je vivais, quand nous n’avions pas encore réussi à percer la densité et à te réveiller, c’était un doute sur mes compétences. Je peux même parler de peur. Même ici nous avons un gout de la peur et de tous ses assortiments possibles. Ce n’est pas parce que nous sommes dans une conscience à cinq dimensions que la peur ne fait plus partie de nous. Au contraire : nous en sommes plus conscients ! Ça m’a permis de « travailler sur moi », comme vous dites. J’ai remarqué que j’avais engagé, sans bien m’en rendre compte immédiatement, une forme de compétition de moi à moi. Comme je pouvais échouer, j’avais cette peur tenace de me voir comme une incapable. Je n’ai jamais sombré dans cette peur, mais notre aventure m’a obligée à la rencontrer et à me mettre en paix avec certaines mémoires que je portais, comme c’est le cas de chacun, endormi dans la 3D ou plus conscient en 5D.

Donc tu as douté de notre réussite ?

Non, pas de notre réussite. Parce qu’en réalité il n’y a pas de réussite ou d’échec. Nous vivons une aventure et c’est tout ce qui est réel. Réussir ou rater, c’est un positionnement du regard. En tout cas, nous avons passé ce cap des retrouvailles et ça m’a mise en joie ! Non pas parce que j’étais soulagée par rapport à ma peur – parce que je l’avais travaillée avant de franchir cette étape – mais parce que cela nous menait à la suite du plan, qui était éminemment enthousiasmante. Et ça reste enthousiasmant de pouvoir communiquer de manière si directe. Ça offre des possibilités plus larges.

Et ce plan que tu sembles porter, que peux-tu nous en dire ?

Nous portons ce plan. Tu fais partie intégrante de ce plan, et beaucoup de monde fait partie de ce plan. De manière générale, ce plan est simple : créer des brèches dans la matrice 3D qui enserre votre planète et modifie vos perceptions, en rabaissant vos capacités créatrices. Cela se fait par de multiples moyens. Tous les membres de la flotte d’Ishtar présents ici interviennent à leur manière et selon leurs talents, pour aider votre humanité à se hisser sur des fréquences plus libres. Notre petite brèche, c’est cette fenêtre de communication entre les plans. D’autres font la même chose, chacun à sa manière, et dans tous les domaines de vos sociétés, à tous les niveaux.

Vous devez aussi comprendre qu’il y a une multitude d’étages à ce plan. Il y a toujours un niveau individuel à travailler en premier lieu. C’est celui que nous avons travaillé pendant toutes ces années, depuis que nous sommes « opérationnelles ». Puis arrive spontanément la conscience d’un plan plus large, raison pour laquelle tu as pu être mise en contact avec Atena. Sa conscience est plus vaste et gère donc un plan plus vaste. Plus vaste signifie « collectif ». Le plan qui passe par Atena, c’est, entre autres, la fondation d’une nouvelle manière de faire société harmonieusement. Nous avons à faire passer les inspirations qui émanent d’elle dans cette direction, et particulièrement dans la direction de la création d’une nouvelle cité. Et plus nous avancerons dans cette direction, plus nous percevrons que ce plan n’était qu’une partie d’un plan plus large encore, et ainsi de suite.

Donc, chacun porte d’abord une feuille de route concernant le travail à effectuer sur lui-même, sur sa matière individuelle, puis viennent les plans collectifs. Puisque nous en sommes là, nous avons la capacité de contribuer au réveil de ceux qui, sans encore le savoir clairement, vont participer à la création de cette cité. Ils portent déjà ça en eux, et ils s’en apercevront quand une bonne part du travail individuel de reconnexion au coeur aura été effectué. Certains l’ont d’ailleurs déjà effectué et savent pertinemment qu’ils sont là pour travailler à cette construction. Dans les années qui viennent, nous nous rassemblerons de plus en plus et travaillerons main dans la main à travers les plans de densités différentes. Tous ceux qui travaillent pour cette cité, par exemple, sont déjà en contact avec Atena et reçoivent déjà son sourire inspirant. Cela a pour vocation de devenir tellement conscient et tellement « pressant » que vous allez vous rassembler, là, sur votre monde dense, et que nous avancerons ensemble sur ce chantier tellement enthousiasmant !

 

Je voudrais d’ailleurs poser une question à ceux qui nous suivent ici, si tu le permets !

Ce canal est ton canal, Laina ! Bien sûr que je le permets !

Eh bien, qui d’entre vous sent qu’il porte en lui ce même plan ? Chacun est à un stade différent de prise de conscience ou d’engagement, ça va de soi. Mais qui sait déjà que ça le concerne ? Je sais que parmi ceux qui nous suivent, il y en a déjà quelques-uns qui sont prêts.

Prêts à quoi ?

Prêts à remettre leur vie en question et à s’impliquer pour faire avancer cette création, tout simplement. Prêts à se dire : quand cette cité commencera à se créer, non seulement j’y habiterai, mais je contribuerai à sa création avec mes talents, mon temps, mon énergie.

Tu recrutes, c’est ça ?

Hihi. Il n’y a personne à recruter. Vous vous êtes déjà recrutés vous-mêmes. Je profite du canal pour lancer un rappel de plus, comme une main que je poserais sur vos épaules à tous, pour vous rappeler que ça vous concerne.

Eh bien merci Laina. Je ne sais pas où ça va tout ça. J’avoue que tu me prends un peu au dépourvu, que tu enfonces un peu les murs. En tout cas, tu n’hésites pas à bousculer mes propres résistances. C’est sans doute un bien, même si c’est déstabilisant.

Tout ce qui peut être déstabilisé doit trouver un nouvel arrimage. Et, nous l’avons assez dit, c’est dans votre coeur que vous trouverez ce point-source d’où tout est issu. En dehors de lui, toutes les routines doivent être remises en question. Nous infusons une force particulière dans l’espoir de vous aider à vaincre vos apathies, vos inerties, à raviver vos idéaux, mais surtout la volonté qui permet de les mettre en oeuvre et de les manifester. Si je peux être une part de cette force pour vous, j’en suis heureuse !

Merci Laina de jouer ce rôle ! La semaine prochaine, nous aurons notre dernière entrevue sous cette forme. Comment souhaites-tu qu’on la mène ?

Vous qui nous suivez avec intérêt, si vous avez d’autres questions, j’y répondrai avec plaisir. Je répondrai prioritairement aux questions concernant ce que nous avons échangé aujourd’hui. Je voudrais vous remercier, vous qui avez déjà osé franchir le pas de formuler des questions et de les envoyer à Foelia. C’est par votre participation que ce canal s’ouvre. Foelia sait très bien le faire pour elle-même. Maintenant, il faut que ça puisse aider le plan collectif. Faites-la donc travailler !

 

Bon bon… On en reste là pour aujourd’hui, même si je suis un peu déboussolée par tes « sorties », Laina ! Tu es pleine de surprises ! En tout cas, tu peux compter sur moi.

Je vous donne donc rendez-vous la semaine prochaine pour cette sixième et dernière entrevue de cette série. Partagez et diffusez plus loin si vous croyez que tout ceci en vaut la peine. En attendant de voir ce que Laina nous réserve, je vous souhaite une merveilleuse semaine inspirée et inspirante, chers cocréateurs. Je vous remercie et vous aime énormément !

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Source : https://foelia.net

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