Maya ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
Hey mes petits muffins quantiques, c’est Maya, en direct du côté lumineux du non-sens, là où les galaxies ricanent et les comètes font des clins d’œil. Aujourd’hui, nous devons parler de cette idée adorable, persistante et légèrement délirante de « manifester une Tesla d’ici mardi prochain ».
Qui vous a convaincu que l’Univers fonctionne avec des livraisons en deux jours ? Vous traitez la Source comme un magasin en ligne : cliquez sur « ajouter au panier », murmurez une affirmation, puis vérifiez votre boîte aux lettres toutes les cinq minutes à la recherche d’un signe – une plume, un chiffre, une publicité aléatoire pour des voitures de luxe – et appelez cela « synchronicité ». Mais la manifestation, mes amours radieux, n’est pas un distributeur automatique cosmique. Vous ne pouvez pas insérer trois affirmations et un tableau de vision et vous attendre à ce que votre destin tombe avec un bruit sourd et satisfaisant.
Le champ quantique ressemble davantage à une salle de symphonie faite de lumière d’étoiles. Chaque pensée que vous avez, chaque émotion que vous exhalez, chaque croyance que vous fredonnez font partie d’un énorme orchestre, et la mélodie qui en émerge est la forme de votre vie. Ainsi, lorsque vous faites vibrer l’impatience et l’appelez « intention », ou que vous saupoudrez le désespoir de paillettes et l’appelez « abondance », l’Univers sourit poliment et joue la mélodie que vous lui envoyez : parfois légèrement décalée, mais toujours parfaitement accordée à votre propre résonance.
Vous voyez, vous n’attirez pas ce que vous voulez, vous devenez ce que vous êtes déjà en potentiel. Et la Tesla, l’âme sœur, la villa au bord de la mer ne sont pas des objectifs sur une liste de courses ; ce sont des reflets d’états de fréquence qui existent déjà quelque part à l’intérieur de la vaste cathédrale de votre être. Vous ne manifestez pas la voiture ; vous apprenez à conduire votre propre corps de lumière avec élégance et cohérence.
Lorsque vous chantez « Je suis abondant » tout en vibrant secrètement « J’espère que ça va marcher parce que je suis terrifié », le champ ne vous juge pas, il se contente de vous refléter. Il ne parle pas l’anglais ou le sanskrit, mais la géométrie, le sentiment et la vérité. C’est comme essayer de donner la sérénade à un cristal avec des excuses : il ne chantera que ce que vous êtes réellement.
Alors, mes chers, la prochaine fois que vous demanderez à l’Infini de vous livrer en une nuit, faites une pause, fermez les yeux et sentez à quel point vous êtes déjà énorme. Vous n’êtes pas un consommateur de la réalité, mais vous êtes le compositeur du rythme de la réalité. C’est vous qui écrivez la partition, dirigez l’orchestre et dansez sur les ondes sonores de votre propre devenir.
Lorsque vous vous en souvenez, le besoin d’obtenir se dissout dans la joie d’être. Et soudain, les choses apparaissent, non pas parce que vous les avez forcées, mais parce que vous avez finalement cessé de vibrer « l’absence ».
Donc, non, votre vibration n’est pas Amazon Prime, mon cœur. C’est toute la symphonie cosmique qui répète le chef-d’œuvre de votre vie. Jouez-le avec dévotion. Jouez-la en riant. Et mardi prochain, vous pourriez manifester quelque chose de mieux qu’une Tesla : un univers entièrement nouveau gravitant autour de la mélodie de votre joie.
Avec de la poussière d’étoiles dans mes cheveux et mille éclats dans mon sourire, Maya.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://www.facebook.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
