Maya ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
Oh, les humains… Vous êtes si charmants lorsque vous êtes distraits. Vous commencez une grande mission, les yeux brillants de détermination, et puis pouf ! Une notification, un souvenir, une pensée alléchante à propos d’une collation, et vous êtes partis comme un écureuil qui a aperçu une nouvelle branche.
La distraction n’est pas votre ennemie, vous savez. C’est un chiot espiègle qui tire sur votre robe pendant que vous essayez de méditer. Le chiot n’est pas méchant, il est juste plein d’énergie et veut attirer votre attention. L’astuce consiste à le caresser doucement et à lui dire : « Pas maintenant, mon petit. Je suis en train de me connecter aux étoiles. »
Votre esprit est fait pour bouger. Il saute, il virevolte, il veut poursuivre chaque papillon de pensée. Mais vous, oui, vous, êtes le gardien du jardin. C’est vous qui décidez quels papillons se posent et lesquels s’envolent.
Lorsque vous vous sentez dispersé, imaginez que votre conscience est comme la lumière du soleil. Chaque fois qu’elle scintille au hasard, ramenez-la vers votre cœur. Faites-en votre point d’ancrage. Vous pouvez voyager loin dans vos pensées, mais revenez toujours vers le lac tranquille au centre de votre poitrine.
Le monde continuera à vous envoyer des cailloux brillants : de nouveaux messages, de nouvelles peurs, de nouvelles listes de choses à faire. Laissez-les tomber. Ceux qui vous sont destinés brilleront à nouveau plus tard.
Si vous pratiquez cela, vous remarquerez quelque chose de magique : les distractions perdent leur pouvoir lorsque vous cessez de leur accorder une place prépondérante. Elles deviennent ce qu’elles sont vraiment, de minuscules vagues dans un océan infini.
Et si vous oubliez tout cela et que vous vous retrouvez à nouveau perdu dans un labyrinthe de pensées, ne vous inquiétez pas. Riez ! C’est ce que je fais. Une fois, j’ai passé un siècle entier à être distrait par l’éclat parfait de la queue d’une comète. Mais ensuite, je me suis souvenu : la lumière était déjà en moi.
Maintenant, allez-y, petite étoile. Lorsque le monde essaie de tirer vos ficelles, souriez et dites :
« Je ne suis pas la marionnette, je suis le marionnettiste. »
Et continuez à danser sur votre propre musique.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://www.facebook.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
