Canalisations

Le seuil énergétique (1/3)

Message des Vénusiens

Je suis là pour te donner un nouveau message. Me revoici, je suis Ulphéniel.

Nous les Vénusiens, avons beaucoup œuvré pour que vienne l’avènement d’un jour nouveau. C’est à votre tour, sur Terre, de faire de même. Vous êtes dans la bonne direction, celle du lâcher prise, de l’abandon de la fausse science, pour vous ouvrir à plus d’écoute d’autrui et de vous mêmes.

Il se trouve que votre monde est sur une pente décisive. Il existe des bases vénusiennes un peu partout près de vous, et sur Terre également. Tout cela est discret, indétectable, pour ne pas perturber l’activité humaine. Notre action est principalement de décontaminer massivement vos eaux, votre air, de tout polluant, de tout ce qui nuit à la vie. C’est une action très importante maintenant.

Vous êtes conscients des dispositifs énergétiques fissiles présents un peu partout sur votre globe, que vous n’approuvez pas, ou du moins pas entièrement.

 

En collaboration avec d’autres intelligences bienveillantes, nous tentons de mettre fin à cela, d’ouvrir de nouvelles perspectives, simplement par l’action de nos cœurs, et des vôtres maintenant.

Votre action sur ce monde est très déterminante. Nous y déversons aussi beaucoup de musique. (il rit) Certains compositeurs nous écoutent et nous entendent parfaitement. Nous déversons ce qui se fait de mieux, pour que coule un nouveau futur, vers ce que l’humanité sait créer de plus parfait.

Ce n’est qu’un petit coup de pouce, d’autres ont déjà agi pour nous en notre temps, pour nous tirer d’un bien mauvais pas. Il était autrefois des guerres fratricides, au niveau matériel de notre sphère.

C’est pourquoi, si les Terriens un jour peuvent atterrir sur Vénus, ils ne trouveront que des ruines et de la poussière, avec à la rigueur un peu de vie extrémophile dans des cavernes.

Toute la vie de notre monde a migré sur des dimensions supérieures, bien plus énergétiques, bien plus accueillantes.

Je vois soudain surgir un paysage d’une très grande beauté, le soleil est déclinant sur un panorama d’ocre, avec des tons orangés qui se déclinent à l’infini. L’atmosphère fait comme une tempête de sable qui viendrait de s’apaiser. Il existe quelque chose de superbe dans ce paysage qui ressemble à ceux du grand canyon, avec de belles éminences rocheuses qui apparaissent à l’horizon.

La vision se met à changer, elle devient claire et bien plus lumineuse. Je me retrouve en un décor superbe. Je ressens aussitôt un très grand bien-être. Le sol est en ardoise, semble t-il, et des tables chargées de mets délicats sont visibles. On voit une dizaine de Vénusiens se presser autour des mets, en un jardin exceptionnel, avec une grâce de chaque instant. Leurs mouvements sont si fluides, qu’ils semblent ne pas peser. Leurs visages sont ceux d’une jeunesse magnifique, ils sont blonds et rieurs, pour la plupart, et en parfaite santé.

J’aperçois une Vénusienne brune aux yeux bruns flamboyants, elle me salue de manière très agréable.

Je suis un peu déstabilisée parmi cette superbe assemblée. Il règne tant de joie, de paix sereine, que cela semble absolument irréel pour notre monde.

Ulphéniel sourit et m’invite à le suivre vers un couloir bien agréable de cette jolie demeure fleurie.

Cette fois, un mur gris violacé se dessine, avec un revêtement typique d’un vaisseau spatial.

Nous franchissons une fenêtre et nous retrouvons en effet à bord d’un vaste croiseur.

Il y fait pleinement nuit, et on voit juste les lumières discrètes du centre de pilotage. Je suis émerveillée. Devant nous se tient une immense planète bleutée et jaune pâle. La couleur est modifiée pour ne pas perturber les yeux sensibles des navigateurs et filtrer les rayons dangereux.

C’est Vénus dans toute sa splendeur.

Ulphéniel me demande si je veux visiter autre chose. Je lui réponds que visiter la salle des machines de ce vaisseau serait un grand bonheur. Il accepte aussitôt.

Un autre couloir gris acier s’ouvre devant nous, avec une sorte de petit véhicule flottant où l’on se tient debout.

  • C’est plus facile pour circuler, explique t-il. Le vaisseau est plus grand.
  • Grand comme un centre commercial, ou comme une ville ?
  • Bien plus grand, dit-il joyeusement.

 

Nous nous élançons, et j’éprouve aussitôt une sensation merveilleuse. Ce vol est grisant, je me sens aussi bien que faire se peut. Nous passons au dessus d’autres coursives, et je puis voir des Vénusiens s’affairer à d’autres tâches, comme nettoyer des habits, préparer à déjeuner ou simplement prendre soin des plantations.

  • Chacun a sa tâche, expose Ulphéniel. Ainsi, tout le monde peut profiter pleinement du vol. Les travaux d’entretien durent 3 à 4 heures par jour, suivant les individus.

En effet, nous parvenons à une serre géante, dont le plafond atteint 30 à 40 mètres.

  • C’est la zone environnementale, elle est très importante sur un vaisseau. Elle permet de purifier l’air, et de donner des fruits en abondance. Les nôtres ont besoin aussi de sels minéraux. Nous absorbons directement l’énergie, et avons donc besoin de très peu d’aliments solides ou liquides, mais ce n’est pas le cas des passagers. Il s’agit d’un vaisseau de retraitement, et d’un vaisseau médical.

Notre véhicule s’arrête, et nous parvenons en un lieu assez étrange. Il ressemble à un immense hangar, et contient d’étranges compartiments. À l’intérieur de chacun d’entre eux, se trouve un chargement, qui semble maintenu par une matière qui n’existe pas ici. La matière pourrait être de la cire transparente et brillante. Ce matériau sert à empêcher le chargement de bouger. Par exemple, une pièce abrite un chargement avec des blocs de pierre ou de ciment, et ce « liant » évite de perdre le moindre grain de sable. Je suis très admirative, je n’ai jamais rien vu de tel.

  • C’est prodigieux !
  • Cela évite beaucoup de ménage et préserve la santé des ouvriers, assure-t-il.

Je souris, car Ulphéniel apparaît plus nettement, il est en effet en parfaite santé, et son visage rayonne d’une douce lumière rosée dans la pénombre. Son regard bleu superbe est inondé d’amour, et ses cheveux blonds éclairent les lieux d’une lueur d’or.

Un ouvrier apparaît en effet. Il semble joyeux et bondissant. C’est un jeune homme assez petit et menu, il tire avec aisance la perche qui maintient le chargement. Il tire vers lui d’un coup vif, et l’énorme montagne de gravats se met à flotter docilement. Ensuite, il tient un cadran à la main, et dirige précisément le chargement. Celui-ci est déversé dans un tunnel où se trouve le même fluide pour empêcher le chargement de toucher les parois. Il s’ensuit un bruit fort modéré, étant donné la masse de plus de 4 mètres de haut, et 7 mètres de long environ.

 
  • Nous importons les matériaux à retraiter de différents mondes amis. Cela est à la fois pour les aider, et pour réussir à réutiliser tout ceci convenablement. Il existe aussi des cargos qui amènent tout cela ici, et le réexpédient ensuite. Il est important que les matériaux puissent être réutilisés sur leur planète d’origine. Ils sont constitués d’une certaine échelle vibratoire, d’un certain codage interne propre à leur planète d’origine. Les feuillets dimensionnels de chaque monde possèdent eux aussi leur propre vibration. Ces installations sont conçues pour s’adapter à tous les types de matériaux. Chez nous, qui vivons dans la dimension énergétique, nous pouvons courber la matière et agir directement par l’esprit. Aussi, nous sommes heureux de pouvoir aider les autres peuples, dont le vôtre.

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Source : http://www.unepetitelumierepourchacun.com

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