Canalisé par Gloria Wendroff
Dieu a dit :
Vous pouvez faire valoir votre point de vue sans offenser.
Vous pouvez couper un gâteau proprement ou le mettre en pièces. Vous pouvez répondre avec sérénité même si votre cœur est blessé d’une manière ou d’une autre. Était-il nécessaire de blesser votre cœur en premier lieu ? Et si votre cœur tendre a dû être blessé, était-il nécessaire que vous le blessiez à votre tour ? Vous n’êtes pas censé être sans cœur. Vous êtes fait pour avoir du cœur, pas pour blesser. Parce que quelque chose a poignardé votre cœur, devez-vous vous engager dans un duel et poignarder à votre tour ? Est-ce pour cela que je vous ai amené sur Terre ? Est-ce ainsi que je vous ai élevé ? Lorsqu’il s’agit de mots et de cœurs, décidez de guérir plutôt que de blesser. Soyez un baume. Vous pouvez le faire tout en restant fidèle à vous-même.
Bien-aimés, vous pouvez être clairs, concis et ne pas blesser un cœur. Parce que vous vous êtes senti offensé, votre cœur n’a pas besoin d’être paralysé. Vous n’avez pas besoin d’offenser en retour. Vous n’avez pas besoin de vous venger. Vous n’êtes pas obligé d’avoir le dernier mot.
Il n’était pas nécessaire que vous vous offensiez en premier lieu, bien-aimé(e). Le fait que quelqu’un d’autre ait été moins qu’idéal ne vous oblige pas à être moins qu’idéal. Cela vous oblige à vous pencher d’un autre côté. Rappelez-vous que vous êtes une lumière spirituelle à l’horizon. Vous devez guider d’autres cœurs. Il n’est tout simplement pas nécessaire de blesser ne serait-ce qu’un seul cœur sur Terre. Lorsque vous renvoyez une fléchette, c’est un deuxième cœur qui est blessé. Et tous ceux qui en ont été témoins ont été blessés. Il y a trop d’attaques. Il n’y a pas lieu de s’en préoccuper. Ne tirez pas sur les cœurs.
Qu’est-ce qui peut bien valoir qu’une Âme aussi belle que vous s’offusque ? Quelle erreur commise a vraiment le pouvoir d’ébranler à ce point votre bon sens ? Si quelqu’un s’est montré grossier, indifférent et négligeant à l’égard de votre cœur, considérez cela comme un signal vous invitant à vous comporter en dame ou en gentleman. Souvenez-vous de la courtoisie.
Si vous voulez élever le monde, vous devez vous élever au-dessus du monde. Vous ne devez pas être comme tous les autres, qui ont le sang chaud, qui sont prompts à s’énerver, mais qui sont peut-être lents à susciter la bonne volonté. Si vous devez être rapide sur la gâchette, soyez rapide sur la gâchette de l’amour.
C’est une chose de ne pas savoir mieux. C’en est une autre de savoir mieux. Lorsque vous savez mieux, vous devez vous consulter vous-même et non pas la racaille du passé ou les romans bon marché. Vous n’êtes pas un vengeur.
Oui, je comprends que vous ne pensiez même pas « œil pour œil ». Vous ne pensiez même pas du tout. Il y a fort à parier, bien-aimé, que votre égo s’est offusqué. Il y a de fortes chances que, pour une raison enfouie, vous vouliez vous offenser. Vous vous êtes jeté sur l’offense. De plus, il y a de fortes chances que vous ayez mal compris. Ce ne serait pas la première fois, n’est-ce pas ?
Lorsque le Christ a dit de tendre l’autre joue, c’est à vous qu’il s’adressait. Il ne voulait pas faire de vous une sorte de Mr Milquetoast. Il voulait que vous regardiez sous un autre angle, que vous tendiez la joue de vos pensées, pour ainsi dire, afin d’accorder le bénéfice du doute. Et s’il n’y a pas de bénéfice du doute à donner, alors donnez le pardon. N’est-il pas temps pour vous d’effacer les dettes ?
Ce n’est pas parce que votre offense est venue en second que vous êtes innocent. Cela vous rend coupable de vous être oublié pendant un moment, d’avoir oublié pourquoi vous êtes sur Terre, d’avoir oublié le sens des cœurs et de m’avoir oublié. Et maintenant, vous vous souvenez.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
