Dieu Père/Mère ~ Canalisé par Gloria Wendroff ~
Dieu a dit :
Écoutez mes pensées, et elles deviendront vôtres.
Une grande partie de vos pensées sont une énergie frivole, comme des parasites à la radio.
Mes pensées sont pures et concentrées.
Laissez-moi être votre musique de fond, car c’est ainsi que vous serez clair et fort.
Que désirez-vous ?
Oui, réfléchissez à ce que vous désirez et pourquoi vous le désirez. Ce que vous désirez vous pousse vers cela. Il peut y avoir une différence entre vouloir et désirer. Le désir est un aspect plus important de vos envies. Le désir est plus long et plus fondamental. Le désir vous suit, et vous suivez vos envies. Suivez vos désirs. Que vos désirs soient grands et vos envies peu nombreuses.
Les envies sont sporadiques. Le désir vient de moi. Et votre désir le plus profond est pour moi. Vous essayez de me trouver avec vos envies. Vous pensez que vos envies sont le chemin qui mène à moi, mais ce ne sont que des chemins détournés.
Demandez davantage. Demandez plus. Demandez suffisamment. Demandez l’océan et non un verre d’eau.
Demandez celui qui comble et non seulement le comblement.
C’est crucial, car votre esprit doit se purifier pour y parvenir. Et c’est le cœur qui purifiera votre esprit.
Mes pensées sont brillantes. Les faux départs sont les vôtres, de petites étincelles qui s’allument un instant. Attrapez le soleil. Pourquoi pas ? Il brille pour vous.
Rapprochez-vous de Moi, et vous exprimerez Mes pensées. Le Christ lisait dans Mes pensées, et il les exprimait. Il était en phase avec Moi. C’était là sa grandeur. Il savait de quoi il parlait. Il était authentique grâce à son union avec Moi. Il M’a reconnu. Il M’a choisi.
Je ne l’ai pas choisi plus que je ne vous choisis, car j’ai un seul enfant dans mon cœur, et c’est vous. Et c’est vous que j’appelle, et c’est vous qui répondrez, car vous répondrez.
Répondez maintenant, et hâtez le Paradis.
Vous annoncez le Paradis. Vous le proclamez. Qu’est-ce que le Paradis, sinon l’horizon qui se trouve devant vous ? Lorsque vous atteignez l’horizon devant vous, vous êtes au Paradis. Vous l’avez fait venir à vous. Et vous ne pouvez pas le faire venir à vous seul. C’est vous qui révélez le Ciel. Voyez-le, et il vous sera révélé.
Regardez vers le Ciel. Regardez l’immensité du Ciel et non la petitesse à laquelle vous êtes habitué. La petitesse a été perpétrée sur terre. Détournez vos yeux de la petitesse.
La petitesse est un fil. La grandeur est un grand manteau. Le Soleil enveloppe le monde de son manteau, et tout l’univers est réchauffé par lui. Et vous vous êtes concentré sur un fil. Vous vous êtes concentré sur l’absence plutôt que sur la présence.
Prêtez attention à Ma grandeur qui jaillit en vous.
Aucun d’entre vous ne peut échapper à sa grandeur, car elle est la Mienne, et Je l’ai placée en vous. Et vous la niez. Vous la reniez. Vous agissez comme des mendiants sur terre. Vous tendez la main. Vous vous tenez courbés. Vous n’êtes même pas sûrs d’avoir le droit d’être là.
Lorsque vous accepterez que c’est moi qui vous ai placés là — et là, c’est ici —, vous connaîtrez vos droits et vos privilèges.
Souvenez-vous de qui vous êtes vraiment, et votre dos se redressera, et votre main donnera.
Ayez conscience de votre place bénie sur terre.
C’est là où vous êtes en ce moment.
Vous avez tout le pouvoir de répandre Ma lumière. La mienne est la seule lumière qui existe, et je vous l’ai donnée pour que vous brilliez. Est-ce trop vous demander ? Que vous soyez qui vous êtes ? Que vous fassiez briller la lumière que je vous ai donnée ? Que vous connaissiez l’amour en l’acceptant d’en haut ? Que vous connaissiez l’amour simplement en l’étant ? Que vous laissiez l’amour s’installer en vous ? Que vous le rayonniez en ne l’arrêtant pas ? Que vous émaniez l’amour et la lumière de Dieu sur terre en reconnaissant que vous en êtes imprégné ? Que vous receviez la lumière que le Soleil vous envoie ? Que vous vous en imprégniez ?
Où réside le bonheur ? Partout où vous et moi sommes. Car le bonheur est la vérité et tout le reste n’est qu’illusion, et vous vous êtes donc trompé lorsque vous ne voyez pas la lumière éclatante du Soleil briller vers vous et à partir de vous.
Vous vous êtes beaucoup attardé sur le néant, et pas assez sur le Tout.
Tout l’honneur rendu à la mémoire du Christ vous est rendu — car le Christ que vous honorez tant est la vérité de vous-même — afin que vous puissiez sortir de votre cachette et révéler votre vérité.
Lettre du Paradis n° 50 Publiée le : 25 décembre 2000
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
