Canalisations

Lona : Entrevue 2

Canalisé par Foelia

Voilà Lona, c’est le moment tant attendu de notre seconde entrevue ! Merci pour ta douce présence à mes côtés !

Merci Foelia. C’est un plaisir pour moi de te rejoindre ici et de mettre en mots un peu plus de conscience et d’amour !

Nous avons reçu beaucoup de questions suite à la première entrevue. J’en ai rassemblé ici quelques unes. Veux-tu nous partager quelque chose en introduction, ou on se lance directement sur les questions ?

Si j’ai quelque chose à vous partager, c’est la joie du lien qui s’établit entre nous, à mesure que certains me posent des questions, soit par eux-mêmes, soit par ton intermédiaire. C’est pour moi nouveau et enthousiasmant de voir des amis solteriens s’engager dans le programme que je propose au sujet de la nutrition consciente. Je découvre cette nouvelle responsabilité et j’en prends la mesure. Ce que nous faisons passer devient plus important, puisque nous participons à un mouvement collectif. Je suis heureuse autant qu’honorée d’y participer de cette manière !

 

Et c’est avec plaisir qu’on peut répondre à quelques questions qui se posent depuis le début de vos expérimentations.

Super ! Eh bien nous pouvons commencer avec celle-ci :

Quel est le but du jeûne de ton point de vue ?

Peut-être peut-on commencer par décaler un peu votre vision, votre point de vue, justement. Dans ce que j’apporte, vous gagneriez à ne pas vous focaliser sur le fait de jeûner, mais sur l’expérience de conscientiser votre nutrition. Le champ d’exploration de soi grâce au jeûne est très large et un des aspects les plus contributifs, de mon point de vue, c’est que quand on arrête un automatisme, ça permet à la conscience de descendre. Sans vous arrêter volontairement de manger, l’habitude prend le pas et vous restez endormis dans vos réflexes de survie. L’un des buts ici serait de prendre un peu de hauteur pour conscientiser à quel point manger est, bien souvent, plus un réflexe qu’un choix.

Vous verrez dans la suite du cours où cela nous mène !

Hâte de le découvrir en tout cas ! Autre question :

Quelles sont les nourritures sur ton plan de conscience ?

Si je comprends bien, il n’y a pas de corps physique, le plus dense serait le corps éthérique, corps d’énergie. Et dans ce cas quels sont vos aliments énergétiques sur ce plan ?

Et sur ton plan existe-t-il aussi la notion de jeûne ?

Quand on commence à retrouver sa multidimensionnalité, on se rend compte qu’on n’existe pas que sur un seul plan. Je le dis ici pour élargir votre manière de recevoir mes réponses. J’ai des corps physiques sur différents plans, tout comme vous, dans différentes temporalités, différents mondes. C’est ainsi qu’on se découvre lorsque notre mémoire cosmique s’élargit. Je préfère répondre comme ça que de me mettre dans votre point de vue limité.

Je peux vous dire que chaque plan a sa notion de nutrition. Il s’agit toujours de la manière de se connecter, avec plus ou moins de conscience, à la qualité de lumière que ce plan permet de diffuser. Plus vous quittez vos limites, plus vous vous rendez compte que tout est question de choix. C’est vrai que dans votre densité, la notion de choix est restreinte, proportionnellement à votre inconscience. C’est là toute la beauté de notre action envers vous : mettre de la conscience là où il n’y en a pas encore. Découvrir ce qui fait, en vous, que vous restez presque automatiquement en refus de la conscience. Parce qu’il s’agit bien de ça aussi.

La notion de jeûne n’existe pas de la même manière sur tous les plans. Elle est surtout destinée aux plans plus inconscients, pour stimuler la conscience, pour affirmer des choix. Vous voyez souvent le jeûne comme une privation – et vous avez le droit de le voir comme ça – mais je vous invite surtout à le voir comme un arrêt sur image qui va vous aider à conscientiser vos mécanismes d’anesthésie. C’est le gros morceau pour vous ! Et c’est vraiment spécifique à Solter, ou du moins aux plans denses.

La plupart des humains, dans ce cosmos, ne DOIVENT pas manger. Ce n’est pas une obligation pour la survie. En tant qu’humains, nous sommes des choisisseurs. Aussi, si nous disposons d’assez de conscience, nous CHOISISSONS de manger tel ou tel aliment, ce qui nous propulse immédiatement dans une expérience de rencontre, sur un plan spécifique. C’est difficile à expliquer à des êtres pour qui c’est nouveau. Je ne suis peut-être pas particulièrement douée pour ça, mais j’essaye. Lorsque vous mangez quelque chose, cette nourriture vous attire immédiatement sur le plan de conscience qui correspond à cette chose. Vous êtes ce que vous mangez. C’est vrai ! Vous expérimentez ce que vous mangez.

 

Ça ouvre sur des étendues insoupçonnées, Lona ! C’est riche et ça donne un peu le vertige. Merci d’essayer de nous expliquer.

Pourquoi peut-on rencontrer un sentiment d’appréhension avant de jeûner ?

Ça parait évident, vu d’ici. Décider de jeûner, c’est décider de regarder en face vos manques et vos peurs les plus viscérales. Vous le savez, donc vous avez peur. Vous savez que cesser de manger laisse se dissoudre le couvercle de vos protections psychiques, et vous craignez ce que vous allez rencontrer. C’est pour ça que cette décision enclenche un vrai chemin de rencontre avec soi. Ne le faites pas si vous n’avez pas envie de soulever ce voile, parce que c’est automatique.

Quelle est la place de l’eau dans la nutrition, que fait-elle en nous quand on la consomme, et pourquoi nous proposes-tu d’essayer le jeûne sec ?

La nature et la place de l’eau, c’est tellement vaste et passionnant ! L’eau peut autant nous engluer que dissoudre les impuretés de nos corps, selon sa qualité. En tant que support de mémoire, elle peut vibrer dans toutes les dimensions, capter et restituer des informations. Faire l’expérience du jeûne sec, c’est comme enlever un voile de plus sur nos automatismes. Si on fait un peu de place en soi au niveau des informations qu’on reçoit sans cesse, on peut en recevoir d’autres. Il y a toute une gradation de densité dans ce que vous mangez et buvez. L’eau est un aliment bien plus subtil. Il est votre support d’informations en provenance des plans minéraux. Au-delà des plans animaux et végétaux, vous pouvez pousser l’expérience jusqu’à conscientiser par vous-mêmes l’apport des plans minéraux en cessant de les chercher à l’extérieur de vous. Voilà tout. Je vous présente une échelle et chacun fait les expériences qui sont justes pour lui sur l’échelon qui l’inspire. Mon but est de stimuler votre enthousiasme, tout simplement.

Des questions se sont posées sur les trois points que tu as mis en exergue lors de ton premier cours. Peut-on y revenir ?

Bien sûr ! C’est l’idée que j’avais. À chacun des six cours, on fait le point sur le précédent, et j’ajoute quelque chose de neuf, une nouvelle proposition d’expérimentation, si ça vous convient !

Ça me convient à moi, en tout cas. Et chacun prendra ce qu’il souhaite prendre.

Je vous avais laissé comme fil conducteur trois définitions. Qu’en avez-vous fait ?

  1. Avez-vous ressenti que vos corps cherchent leur équilibre dans l’environnement auquel vous les soumettez ? En décidant de ne pas apporter de nourriture solide, avez-vous pu ressentir le mouvement de vos organes qui se mettent en recherche de carburant ? Chaque organe n’appelle-t-il pas un son particulier pour venir l’aider à s’harmoniser ? Je voulais que vous puissiez porter votre attention là-dessus, sur ce mouvement d’appel, sans vous donner encore trop de direction, pour ne pas vous priver de vos découvertes personnelles.
  2. Avez-vous ressenti une paix, une sorte de repos, qui émane du fait que vos corps ont enfin la quiétude de ne pas chercher constamment à s’adapter à des énergies étrangères ? Digérer est un effort. Se passer de cet effort repose vos organes. Plus vous apprendrez à choisir à quelle énergie étrangère vous demandez assistance, plus vous serez en phase avec vos propres rythmes. C’est le non choix qui fatigue et maintient dans une tentative constante de réharmonisation.
  3. Avez-vous perçu que ce que vous avez mangé continue à vous habiter ? Chaque matière ingérée requiert un temps de digestion, qui peut parfois s’étaler sur plusieurs années ! Êtes-vous conscients de la qualité vibratoire que vous invitez en vous ?

Vous voyez, ce n’est qu’une question de conscience. Une série de paramètres sur lesquels vous pouvez exercer votre attention et votre faculté de décision.

Pour les deux semaines qui viennent, mes propositions sont les suivantes :

  1. Durant ce moment choisi où vous ne mangez pas, qui peut durer de six à trente-six heures par semaine, soyez particulièrement sensibles à vos relations. Les relations avec les autres, humains, animaux, végétaux, minéraux, vous nourrissent ! Ressentez plus précisément ce que chaque être vous donne comme énergie, et si elle vous convient, vous plait, vous parle.
  2. Soyez curieux des émotions qui vont se présenter à vous et vous parler de manque. Elles seront bien plus puissantes que d’habitude, puisque vous avez choisi de ne pas les anesthésier avec de la nourriture solide. Colère, tristesse, peur ? Quelle forme cela prend-il chez vous ? Pouvez-vous conscientiser le manque dont parle cette émotion ? Pouvez-vous trouver sa racine ? Certes, elle se résume toujours à une peur de mourir, mais quelle déclinaison prend-elle chez vous en priorité ? Notez pour vous et partagez ensuite ! Avancer ensemble décuple la conscientisation.
  3. Choisissez avec amour le premier aliment que vous allez mettre en bouche à la fin de votre exploration. Demandez à vos corps, vos organes, quel aliment lui plairait le plus, non par désir de repartir dans l’anesthésie, mais par joie de ce qu’il peut vous apporter. Apprenez à discerner ces deux forces totalement opposées. Mon conseil est de ne choisir qu’un seul aliment, sans le mélanger à d’autres, afin de vous donner l’occasion de vraiment le rencontrer, le savourer, dialoguer avec lui sur ce qu’il apporte à chaque partie de vos êtres. Prenez un instant sacré juste avec cet aliment. Notez pour vous et partagez, si le coeur vous en dit, le résultat de vos expériences.

Voilà de quoi élargir un peu votre aventure de conscientisation !

Durant cette aventure, ressentez votre lien d’âme avec les autres participants à ce cours. Nous sommes ensemble, et cela donne de la force de le savoir. De plus en plus d’êtres humains solteriens souhaitent reprendre leur nutrition en main et avancer sur ce chemin de conscience.

 

Je peux être à vos côtés, individuellement. Vous pouvez me poser vos questions en vous, et j’y répondrai comme je le fais avec Foelia. Si, en plus, tout ceci vous aide à recréer un dialogue conscient avec vos propres accompagnateurs, ce sera une double réjouissance !

Merci Lona pour toutes ces invitations à expérimenter ! Je me réjouis de tester ce que tu proposes et les échanges que ça va occasionner sur le forum. Tous ceux qui le souhaitent peuvent nous rejoindre sur notre canal. Je veux suivre les impulsions d’Atena : se rassembler et s’organiser !

Merci Foelia de permettre tout ça. Je vous suivrai avec joie de là où je me trouve et vous reviens avec plaisir dans deux semaines pour la suite.

Belle semaine à tous, chers cocréateurs, et belles explorations à chacun en ce qui concerne la nutrition consciente !

Partagé par : https://consciencedivine.com

Source : https://foelia.net

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