Canalisations

MARIE — Acceptez de changer. Révélez-vous à vous-même. N’abandonnez pas. — REIYEL — Questions/Réponses

Âmes de Lumière et d’Amour, chers enfants, je vous salue. Je suis Marie, et je suis présente aujourd’hui pour chacun, pour chacune d’entre vous.

Mon message est souvent le même. Il est souvent incompris, mais je le répéterai aussi souvent que possible. Il est arrivé que beaucoup de personnes m’entendent, me perçoivent, avec ces mots : Repentez-vous.

Cela a fréquemment été pris comme une injonction pieuse demandant prières, demandant une sorte de nouvelle allégeance au Christ ou à l’Esprit divin. Vous vous trompez mes enfants ; en partie. Bien sûr, vos prières sont bienvenues. Bien sûr, que vous entriez à nouveau dans le Christ, dans l’Esprit du Christ, c’est-à-dire dans un esprit de fraternité, tout cela est bienvenu bien évidemment, mais ces mots avant tout signifient de ne plus vous laisser avoir, ni par vous-même, ni par ceux qui vous contrôlent ou essaient de vous contrôler. Chères âmes, votre puissance sera toujours plus grande, plus grande que tout ce que l’on essaie de vous dire.

Dans l’esprit de ʺrepentez-vousʺ, il y a l’idée de se dire ne commettez plus les mêmes erreurs, ne vous laissez plus avoir de la même façon par des méthodes que vous avez déjà éprouvées. Chacun d’entre vous aujourd’hui sait faire face à ce qui sera un mensonge d’État, ou un mensonge de son frère, de sa sœur. Chacun d’entre vous sait reconnaître cela. N’employez pas les mêmes armes que ces gens, ne soyez pas aussi petits. Soyez grands, prenez de la hauteur, construisez votre destin. N’attendez pas que quelqu’un vienne vous dire ce qu’il attend de vous tout le temps. N’attendez pas qu’un chef se décide à vous placer au bon endroit au bon moment. Vous devez, vous pouvez, vous placer. Et vous le sentez à l’intérieur de vous, n’est-ce pas mes enfants, vous sentez en ce moment cette poussée à trouver votre place.

Alors, j’entends vos prières « Où dois-je aller ? Que dois-je faire ? Quel est mon chemin ? Quelle est ma voie ? Qu’est-ce que j’ai prévu comme plan pour moi ? »

Nous sommes des Maîtres d’Ascension — c’est ainsi que l’on nous appelle généralement — nous n’avons même pas le droit de vous dire cela. Nous ne pouvons que vous guider à vous guider vous-même, que vous donner des indices sans vous donner les réponses.

Je sais que vous vous dites : « oui, mais vous savez, vous comprenez, vous voyez. » Peut-être, en tout cas, nous ne décidons pas, là, vous vous trompez. Nous ne décidons pas pour chaque individu de son destin. Ce choix, ce libre arbitre, c’est le vôtre chères âmes, chères âmes.

Vous savez, régulièrement vous dites : « Nous n’avons pas de libre arbitre puisque nous avons tout décidé avant de venir ici. » Mes amis, lorsque vous décidez d’aller à une destination, votre décision, c’est d’aller à cette destination, pour autant, le chemin que vous allez prendre c’est, soit un chemin d’obéissance aux premières trajectoires que vous avez décidées, ou c’est un chemin de traverse, un chemin différent, une voie différente pour aboutir finalement effectivement au même endroit tôt ou tard. Il en est de même de votre existence. Vous n’avez pas décidé de vos chemins, vous avez décidé de votre destination, de vos destinations, des étapes importantes de votre existence, les autres dépendent de vous. Et nous n’avons pas à indiquer une voie ou une autre, ni même une destination ou une autre.

Si vous aviez décidé de voyager dans le monde et de vivre, par exemple, l’expérience que serait de visiter New York, de visiter Paris ou de visiter Londres, nous n’avons pas à décider que vous allez visiter Londres-Paris-New York, ou New York-Paris-Londres, ou Londres-New York-Paris. Voyez, nous n’avons pas à décider de l’ordre dans lequel vous allez vivre cette étape, ni même à vous dire d’ailleurs que vous irez un jour à Londres, que vous irez un jour à Paris et que vous irez un jour à New York.

Par contre nous pouvons vous rendre la route plus agréable, et pour vous rendre la route plus agréable nous vous dirons d’être bien accompagné. Nous vous exprimerons de maîtriser vos émotions pour que la route soit agréable, parce que si au premier obstacle, au premier péage, au premier chahut dans votre véhicule, à la première montagne, vous vous arrêtez, vous n’atteindrez jamais votre destination. Parce qu’en vérité, je vous le dis, apprendre le courage fait partie du chemin de chacun.

Vous êtes déjà des âmes courageuses de vous être implantées sur Terre, en revanche, faire preuve de courage, c’est au-delà d’être courageux. Vous êtes déjà courageux, mes enfants, mais faire preuve de courage c’est prendre des décisions qui montrent que vous continuez à avancer malgré les obstacles, malgré la peur, malgré les angoisses. Chacun d’entre vous va devoir dans les temps qui viennent lever des obstacles, trouver des solutions, trouver son chemin, sa voie, seul ou accompagné. Avant tout, n’attendez pas — j’insisterai peut-être un peu là-dessus, si vous voulez bien — n’attendez pas que quelqu’un vienne décider pour vous d’où vous devez être, d’où vous devez aller, de ce que vous devez faire ou dire. Redevenez maîtres de vous-mêmes.

Mon ami Maître Saint-Germain vous dirait régulièrement ʺmaître et disciple de vous-mêmeʺ, c’est cela l’idée. Le maître en vous c’est votre Esprit Saint, votre Conscience Supérieure, votre Christ, et l’élève, c’est vous dansant dans l’incarnation, dans ce monde que vous modélisez en acceptant certaines informations, en en refusant d’autres. C’est comme cela que vous modélisez votre monde.

Imaginez que, pour vous parler de manière moderne, votre monde est une impression en trois dimensions qui est faite instantanément. Vous pouvez modeler ce monde, pour cela il faut d’abord savoir qui est aux commandes de la machine. Et vous voyez, quand vous avez trop de chefs, trop de hiérarchie, plus vous avez de chefs, plus vous avez de hiérarchie et plus vous perdez les commandes de votre existence, plus c’est à eux que vous confiez le droit et le pouvoir à votre place. Ce monde est en train de changer cela.

Des événements viendront vous aider, par conséquent, soyez prêts. Commencez déjà, si vous le voulez bien, à réfléchir en vous disant : « Si ce monde changeait complètement, voici ce que je serais, voici ce que je ferais. » Je vous invite à cela. Ensuite, gardez cette idée en tête. Commencez à poser les premiers jalons de ce que vous seriez, de ce que vous feriez. Poser cela. Laissez faire le temps, laissez faire l’espace, laissez faire Dieu. Ainsi, dès maintenant, préparez-vous, repentez-vous. Vous comprenez mieux à présent peut-être ces mots ʺrepentez-vousʺ, n’agissez plus de la même manière.

Comprenez que plus vous vous associez avec vos frères et sœurs, par l’esprit, par le corps, avec ou sans distance, et plus vous serez solides, car, oui, le courage en groupe est souvent plus facile que le courage seul, cela dit, le vrai courage est seul, aussi.

Certains d’entre vous comprendront entre les lignes d’ici quelque temps, peut-être quelques années, les mots que je viens de prononcer et ce à quoi je vous prépare depuis des siècles presque, car cela fait très longtemps que je donne ce message pour préparer vos âmes d’une incarnation à l’autre, les préparer à être ce que vous pouvez être aujourd’hui.

Je vous accompagne mes enfants. Je vois sur ce monde beaucoup de conflits, beaucoup de guerres, beaucoup de malheurs qui m’attristent, et dans le même temps je vois ces êtres se lever un à un, une à une, pour dire non.

Effacer l’Histoire n’est absolument pas une bonne idée, car en vérité, l’Histoire est ce que vous avez inventé dans un champ d’expérience, pour vous baser sur un passé d’expériences. Notez, j’ai dit inventer, c’est pour vous dire que l’Histoire, c’est un appui, c’est fait pour être un appui sur votre Terre.

Quand vous vous lancez en incarnation dans un temps et dans un espace, il faut que ce temps et cet espace aient une Histoire pour éviter de recommettre des erreurs du passé. Et habituellement, les histoires ou l’Histoire qui vous marquent le plus sont celles où vous avez déjà vécu, auxquelles vous avez déjà appartenu. C’est pourquoi, si les guerres de la Renaissance vous parlent, vous y avez vécu. Si les civilisations égyptiennes vous parlent, vous y avez vécu. Dès lors, si cela vous a marqué, n’en reproduisez pas les erreurs. Si vous avez vécu en Louisiane dans un temps d’esclavage et que cela vous marque, c’est aussi pour vous souvenir que vous n’avez pas d’ordres à donner, vous n’avez pas d’esclaves à avoir. Dans ce cas, n’espérez pas être servis par tous et tout le monde. Travaillez l’idée de servir, sans être asservis.

Observez les étapes de vos histoires. L’Histoire qui vous touche est aussi les erreurs à ne pas commettre à nouveau. Il n’y a pas vraiment d’erreurs, ici, il y a apprentissage, et comparativement, une âme qui grandit aime à passer par le ʺBienʺ, proportionnel à votre personnalité.

Où je suis ici, le Bien et le Mal n’existent pas. Ma souffrance n’est pas celle que vous imaginez. Ma souffrance n’est pas celle vraiment des guerres et des morts, plutôt juste de dire que les guerres pourraient être évitées et les morts, ʺcertaines mortsʺ pourraient aussi être évitées de cette manière-là. J’aimerais que chacun vive en paix et ait une mort ʺdigne des personnages que vous êtesʺ, digne des dieux que vous incarnez sur cette Terre. Je ne suis pas en jugement après tout cela. Ce que je suis en train de vous dire c’est plus : c’est dommage. C’est dommage, vous pouvez tellement plus.

Vous savez, parfois, nous, les Maîtres d’Ascension encore une fois, nous vous observons et nous disons : Vous pourriez être tellement plus. Vous pourriez faire tellement mieux, comme certains professeurs qui vous ont dit cela dans votre enfance : « Peut mieux faire. A des capacités, mais n’avance pas. Se pose sur ses acquis ».

Je pourrais vous le dire aussi dans l’éducation terrestre. Vous posez sur vos acquis, certains d’entre vous ne cherchent plus à savoir, à comprendre. Certains essaient même de s’éloigner de la réalité informatique pour créer une autre réalité, ce qui est bien, néanmoins qui est aussi une forme de déni. L’idée c’est de savoir, et de savoir comment ignorer certains savoirs, comment trier ce qui vous convient et ce qui ne vous convient pas, mais ne vous cachez pas, ne vous voilez pas la face et ne soyez pas dupes.

Alors, quand le guerrier pacifique que vous devenez a de la force, a plus de force, il est capable de mener certains combats en groupe pour remonter un peu la dignité de chacun, pour améliorer l’expérience de chaque personne, de chacun de ses frères, de chacune de ses sœurs.

C’est vers cela que je vous invite en répétant repentez-vous, c’est-à-dire n’utilisez pas la même méthode, changez. Acceptez de changer. C’est cela sans doute qui est très difficile.

Vous voyez, accepter de changer c’est comme devenir une autre espèce aujourd’hui, dans l’époque où vous êtes. Et accepter de devenir une autre espèce, c’est accepter des changements qui sont liés aux sens, à la gestion des émotions, à l’énergie en général. En l’occurrence c’est nécessaire parce que, ne soyez pas dupes de cela non plus, votre monde va changer, de surcroît, l’espèce humaine elle-même est en train de changer, d’évoluer, de se préparer pour un autre temps que vous ne connaissez pas. En conséquence, acceptez de changer.

Renoncez à tout ce que vous croyez savoir. Remettez tout en doute. Remettez tout en question et essayez de voir comment créer et faire société ensemble.

Je le sais, amis, je le sais, mes amis, mon discours semble moralisateur. En fait, il n’est pas tant un discours qu’une prédiction, qu’une prévision, pas tant un avertissement, qu’en vérité une information d’espoir qui est en train de se jouer sur cette Terre.

L’Homme redevient un dieu, mais il résiste à l’homme. Vous essayez de vous attacher à ce que vous étiez avant, à l’ancienne civilisation. Je le répète, l’Histoire n’est pas la civilisation, ce que je veux dire c’est l’Histoire est là pour vous empêcher les erreurs. L’Histoire est là pour cela, par contre, la civilisation ʺmoderneʺ, c’est la méthode de comment vous vivez ensemble, comment vous appréhendez ce chemin qu’est la vie de manière générale dans cette époque, pas dans l’Histoire, là, maintenant.

Êtes-vous capables de vivre avec moins pour vivre mieux, par exemple, est une des questions qu’il va falloir vous poser. À beaucoup de ces questions, vous avez déjà eu les réponses, vous avez vécu tous plus ou moins une période nommée confinement sur cette Terre. C’était un plan de l’ombre, en fait, que la Lumière a utilisé aussi.

La Lumière l’a utilisé pour régénérer la Nature. De plus, la Lumière l’a utilisé aussi pour montrer en chacun à l’intérieur de vous ce qui était important, quelles relations étaient importantes avec les amis, quelles relations étaient importantes éventuellement avec votre travail ? Qu’est-ce que vous n’aviez plus ? Qu’est-ce qu’il n’était plus nécessaire d’acheter, d’avoir, d’avoir, d’avoir ? L’enfermement finalement ne vous empêchait pas d’avoir, en revanche, il vous empêchait d’être pour beaucoup. Certains se sont révélés dans cette étape, et d’autres ont trouvé aussi ce qu’ils aimeraient exprimer.

Voyez comme le Plan est parfait. Voyez comme vous êtes préparés. Voyez comme chaque épreuve vous prépare, mais je le répète, à mon sens, tout pourrait être fait avec plus d’harmonie. Ainsi, je répète encore et encore, repentez-vous. Préparez-vous à être devant le Christ et à y faire face ; devant le Christ, c’est-à-dire devant votre propre Lumière. Vous y serez un jour quand vous traverserez cet espace-temps, devant votre propre Lumière en définitive. En pratique, si vous deviez faire un bilan de votre vie aujourd’hui, qu’est-ce que vous allez changer dans le futur quand vous aurez compris vos leçons ?

Vous êtes sur Terre pour apprendre, chers élèves. Je l’ai répété tout à l’heure, c’est une classe. ʺPeut mieux faire, ne connaît pas encore ses capacités, commence seulement à se révélerʺ, voilà ce que je pourrais dire bien souvent. Révélez-vous à vous-même. Acceptez ce que vous êtes, acceptez l’énergie qui vous habite et cessez de dire : « Je ne sais pas — je ne crois pas — je ne comprends pas. » C’est l’ancien personnage, l’autre qui s’attache au passé qui dit cela, tandis qu’il y a quelque chose en vous qui est déjà connecté à un avenir brillant. Laissez juste remonter cela à la surface.

Comment ? En acceptant de vous dire : « Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas quand, je ne sais pas qui, mais l’univers qui m’entoure, ma divinité, mes Guides savent qui, quand, pourquoi et comment, et ils vont faire traverser l’énergie de ces réponses dans mon temps et dans mon espace, et je vais les voir. » Autrement dit, nous vous demandons d’avoir confiance en l’avenir, pas en des réponses toutes cuites qui vous seraient apportées, puisque nous, nous pouvons aider à faciliter le chemin, bien que je le répète, pas choisir ni faire le chemin, simplement faciliter ce chemin.

Nous avons, nous, Maîtres d’Ascension, en ce moment le rôle de travailler sur l’avenir planétaire, c’est pourquoi je me permets de vous donner quelques indices. Vous pourriez, mais vous ne le ferez pas, mettre ce plan complètement à terre et tout changer. Je sais que vous ne le ferez pas parce que c’est une merveille parmi les merveilles, c’est le nombre de cœurs ouverts sur cette Terre, le nombre de personnes prêtes à aider, prêtes à partager. Ce n’est pas la vision que vous avez tous. Beaucoup d’entre vous ont la vision de gens égoïstes, égotiques autour d’eux, et ils ont même l’impression de voir de plus en plus d’égoïsme et de plus en plus d’égotiques.

À vrai dire, ce ne sont pas ceux que vous voyez qui sont ici la clef de ce plan, ils sont parmi les petits, les invisibles, les guerriers de la Lumière, les nombreux. Ils sont parmi ceux qui s’écartent un petit peu du système, qui sont assez prudents. Croyez-moi, vous vous trompez quand vous dites qu’il y a de plus en plus de gens égoïstes. Vous vous trompez vraiment.

C’est ce que l’on essaie de vous faire croire. De la sorte, certains d’entre vous rentrent dans le jeu et disent : « Oh, bien, s’ils sont égoïstes, je vais être égoïste » seulement, c’est faux. C’est une rumeur. C’est comme si on vous disait : « il y a de plus en plus de personnes habillées en rouge », et bien que vous ne voyiez personne habillé en rouge, vous dites : « si c’est la mode, je vais peut-être me mettre en rouge ». Ne suivez pas la mode, suivez votre cœur, votre énergie, votre audace. Préparez ce chemin, préparez-vous. Préparez-vous, les temps s’en viennent.

Je les entends, je vous entends tellement « Comment faire Marie ? Je suis seul, je t’ai tant priée et je n’ai pas reçu de réponse. » Là aussi vous vous trompez. J’ai été à vos côtés. J’envoie des signes. « Mais je ne les ai pas vus, Marie. » En vérité, chacun des signes que j’envoie sera répété autant de fois que nécessaire. Il sera aussi lumineux que nécessaire jusqu’à ce que vous le voyiez. Ne croyez pas que quand vous nous demandez quelque chose, nous allons vous donner la réponse une seule fois dans votre temps. Nous la répéterons autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que vous la voyiez. Effectivement, oui, certains sont plus lents à voir, à comprendre, à entendre, à percevoir que d’autres, malgré cela, vous finissez toujours par y arriver.

Regardez, c’est — je vais reprendre une analogie différente — c’est comme passer un fil dans une aiguille. Certaines personnes y arrivent presque les yeux fermés, et pour d’autres, il leur faudra passer du temps, de la minutie et rater cent fois le trou de l’aiguille avant d’y arriver, mais ils finiront par y arriver. Vous finirez toujours par y arriver. Il suffit de ne pas abandonner, de trouver son truc, de trouver sa vision, sa juste vision. C’est pareil avec l’existence, n’abandonnez pas. Tout est fait pour que vous abandonniez. Bien sûr, ceci est incontestablement le jeu de l’ombre. S’ils abandonnent, à ce moment-là, ils se laisseront faire par les pouvoirs en cours, en route, qui sont des pouvoirs de l’ombre, soyons clairs, des pouvoirs de la non-lumière. Donc, n’abandonnez pas vos idées, n’abandonnez pas vos projets, ne lâchez rien. Allez-y tout doucement, plus doucement, passez cent fois votre fil dans l’aiguille, surtout n’arrêtez pas. N’abandonnez pas. Soyez juste persévérants.

Voilà quelque chose qui manque aussi à cette époque, persévérer. La lutte peut paraître longue parfois. Concernant l’étape que vous êtes en train de passer, vous avez dépassé la moitié. Concrètement, elle a déjà été pénible, ce que vous avez vécu jusque-là est assez pénible. Oh, ce n’est pas une guerre totale, pourtant c’est déjà pénible et c’est compréhensible. Vous avez été courageux.

Vous avez été assez courageux pour grimper la montagne. Soyez aussi courageux pour la descendre avec patience. Imaginez que quelqu’un, quand il monte la montagne, la monte tout doucement. Arrivé en haut de la montagne, il désire tellement aller dans la vallée qu’il court dans la montagne. Il va finir par se prendre une pierre, un caillou, par rouler et se fracasser dans la montagne en descendant, et pas en montant. C’est pourquoi je vous le dis, quand vous pensez que tout va mieux ou que tout va aller mieux, soyez prudents, restez corrects, n’essayez pas d’accélérer les choses. Soyez vraiment prudents, que vos pas soient justes, et puisse chacun ajuster mes paroles à son expérience.

Ceci était les mots que je voulais prononcer aujourd’hui. Je vais vous laisser poser vos questions à un ange que je souhaite poser à vos côtés pour la suite. C’est l’ange Reiyel. Il participe aussi avec moi, avec nous, à ce changement planétaire.

Mes enfants, soyez bénis. Vous l’êtes. Soyez conscients. Vous l’êtes. Soyez heureux. Vous pouvez l’être.

Bénis soyez-vous dans la Lumière et dans l’Amour qui nous habitent tous.

Bonsoir à tous. Je suis Reiyel. En cet instant, ce sont vos questionnements auxquels je vais tenter de répondre, non pour prendre une décision pour vous, plutôt peut-être pour vous donner quelques indices — comme Marie a prononcé cela pour vous, pour vous aider à porter à l’intérieur de vous l’énergie, la nature juste et impeccable nécessaire à votre chemin, à votre évolution, à l’évolution planétaire qui est en route. Je n’en doute point, car nous l’avons tous vu ici, tous.

J’écoute et demande à mon canal de relayer les questions que vous poserez, pas forcément toutes, mais quelques-unes.

La première question que j’entends dans le cœur de chacun est :

Serais-je encore là quand ce monde va évoluer et changer ?

Ma réponse est vous êtes déjà dans ce monde en train d’évoluer et de changer. Toutefois, acceptez-vous de voir ce monde changer ? Acceptez-vous de le voir évoluer ? Accepteriez-vous de remettre en cause vos propres principes ? Voyez, si la réponse est oui, vous comprendrez très vite que vous êtes déjà dans ce monde en train de changer, vous êtes déjà dans ce monde en train d’évoluer.

Vous souhaiteriez arriver au bout du bout de ce chemin, et là je vous le dis, aucun d’entre vous ne sera vivant à l’avènement de la Terre la plus merveilleuse qui soit. Vous aurez déjà tous passé notre monde, mais vous participez à ce chemin. Vous participez à cette voie. Vous êtes déjà là. Vous êtes déjà dans ce changement. Et comme Marie vous l’a dit, si vous avez gravi la montagne, ne vous précipitez pas dans la vallée en courant, soyez encore un peu patients. D’autres événements, d’autres obstacles existent aussi dans ʺla descenteʺ et vous saurez les dépasser, sans exception.

Vous nous demandez comment aider vos adolescents dans leurs souffrances.

Nous vous invitons, c’est une invitation, à ne pas essayer de jouer le jeu de ce qu’ils apprennent déjà à l’école. Aidez-les à réintégrer leurs sens. Aidez-les et développez chez eux le goût, le toucher, l’odorat. C’est indispensable pour les aider. Il s’agit de les aider à réintégrer leurs corps, car tout est fait pour qu’ils soient uniquement dans la pensée. Cela peut exister en fin d’existence, vraiment pas pour un adolescent. Un adolescent doit intégrer son corps.

Si vous l’aidez à développer son odorat, à reconnaître des parfums, si vous l’aidez à reconnaître des textures, si vous l’aidez à reconnaître certaines musiques, si vous jouez avec votre adolescent à cela, vous l’aiderez à réintégrer le corps. En réintégrant le corps vous souffrez moins, car en le laissant dans sa tête et dans ses tourments, la souffrance est là, elle n’est pas dans le corps au début, elle est juste dans l’esprit. Souvent, elle est là. Ainsi, aidez vos enfants à réintégrer ce monde par des expériences psychosensorielles.

Mettez-leur un masque. Demandez-leur de sentir les odeurs de la forêt, d’être capables même d’écouter, de compter le nombre de voitures qui passent dans une rue juste en les écoutant, de faire cela pendant quelques minutes, et de regarder à l’intérieur d’eux ce qui aura changé, ce qui aura évolué dans la sensation. Comment tu te sens maintenant ? Parce que vous les aurez posés dans le moment présent, parce que vous les aurez repositionnés dans leurs corps et pas dans leurs têtes. Sans doute, souvent ils vous diront : « mais à quoi sert cet exercice ? » Peu importe, fais-le cet exercice, tu verras après à quoi il sert.

Parfois, c’est même l’expérience que vous vivez vous aussi adultes, vous ne comprendrez l’expérience qu’après l’avoir vécue, pas pendant que vous la vivez. Vous comprendrez le sens de ces épreuves après les avoir vécues, pas pendant que vous les vivez. De la sorte, peut-être pouvez-vous à vos adolescents aussi apprendre un peu la patience, la patience de comprendre par eux-mêmes, pas de simplement croire quelqu’un qui va lui dire que ça va être mieux, ça va être bien, tu vas te sentir mieux. Non. Ne dites rien. Fais-le. Fais-moi confiance et tu verras que c’est merveilleux.

Parce que finalement, c’est ce que nous faisons avec vous, nous vous disons : je ne te dis pas exactement ce qui va arriver, mais fais-moi confiance, fais ceci et tu verras, cela va aller mieux. C’est comme cela que nous agissons avec vous. Nous ne sommes pas là pour préempter ce que vous devez être ou ressentir, seulement pour vous expliquer que vivre l’expérience va vous permettre de ʺtout comprendreʺ par vous-mêmes, d’entrer dans une connaissance, une renaissance profonde de votre être par la connaissance de l’expérience. Encore faut-il la vivre, et accepter de la vivre.

Donc, ne renoncez pas à vos épreuves, elles sont toutes là pour vous bénir, pour vous apporter quelque chose à vous ou à une transincarnation, ou à une réincarnation même. Si vous saviez comme ce que vous faites aujourd’hui peut avoir un impact dans d’autres existences, peut-être accepteriez-vous plus facilement certaines épreuves. Cela est fort possible.

Vous nous demandez ce que nous pensons des enlèvements d’enfants binationaux.

Notre réponse ne va pas vous plaire, en effet, nous considérons qu’il s’agit d’une épreuve comme une autre. « Certains enfants ont été mis en guerre alors qu’ils ne l’ont pas demandé. Certains enfants ont vécu des événements terribles avec leur corps alors qu’ils ne l’ont pas demandé », c’est ce que vous vous dites depuis la Terre, ʺils ne l’ont pas demandéʺ. En réalité, depuis leur âme l’événement était prévu.

Bien sûr c’est difficile pour les parents. Bien sûr cela peut être difficile pour l’enfant, évidemment sur ce plan. Pour autant, l’épreuve a été décidée par l’âme elle-même, dans ces circonstances, nous n’avons pas d’avis à avoir sur ces événements. Nous vous disons qu’il s’agit d’une épreuve, comme beaucoup d’autres vivent des épreuves.

Vous nous parlez ici d’un enfant enlevé. Je pourrais vous parler des milliers d’enfants qui meurent de faim que j’assiste chaque jour, que j’aide à même passer de l’autre côté du miroir, parce qu’ils ont décidé de vivre cette épreuve pour éveiller des gens, pour entrer en conscience qu’ils n’étaient pas le corps, pour tout un tas de raisons qui ne sont compréhensibles qu’après l’épreuve, parfois après la vie.

Beaucoup de vos épreuves seront comprises uniquement après que vous ayez quitté votre corps, et ne pourront jamais — j’insiste sur jamais — être comprises depuis l’expérience elle-même. Ne vous en voulez pas de ne pas comprendre.

Nos mots paraissent très légers, très durs quelquefois. Vous vous dites : « Mais qu’est-ce que c’est que ces gens ? On dirait qu’ils se moquent de nous et qu’ils se fichent complètement de notre destin. » Au contraire, nous l’accompagnons, néanmoins, vous ne pouvez comprendre qu’après la mort que c’est vous qui avez décidé de votre destin.

Bien sûr, une fois que vous agissez depuis votre destin, vous vous dites : « Pourquoi aurais-je choisi ceci ? Pourquoi aurais-je choisi cela ? » Encore une question qui ne peut prendre réponse que depuis un recul en dehors de l’existant, en l’occurrence, à travers une méditation profonde, ou à travers l’exercice de passer de l’autre côté du voile.

Nous n’avons donc pas d’avis sur une épreuve par rapport à une autre. Cependant, nous savons que chacun a choisi son épreuve, et nous accompagnons chacun au mieux pour que chacun comprenne ce qu’il a à comprendre dans l’épreuve. Voilà notre chemin.

Nos mots ne sont, je le répète, sans doute pas ceux que vous attendiez, pour autant ils sont la vérité que vous comprendrez vous aussi dans votre temps et dans votre espace.

La voie du cœur est-elle la juste voie ? 

Cela dépend de ce que tu appelles voie du cœur, mais bien sûr. Ce qui rassemble est la voie, ce qui sépare n’est pas la voie. Ce qui rassemble les esprits, les gens, est amour et la seule voie. Or, tu vois, les combats pour rassembler existent aussi.

La voie du cœur ne consiste pas à tout accepter, au contraire, dans certains cas à se battre pour rassembler la Lumière. En cela, tu vois, la voie du cœur, c’est de sentir que le rassemblement est utile, et de poser le combat juste pour rassembler et pas pour séparer. Ce qui pourrait un peu se référer à la question précédente, bien sûr.

Nous ne pourrons pas répondre à toutes les questions ce soir. Nous essayons d’apporter quelques pistes à quelques-unes d’entre elles, chères âmes. Par ailleurs, vous comprenez que nous avons essayé, et Marie et moi, de vous dire à quel point chaque épreuve est aussi un moyen de vous révéler à vous-même.

Est-ce que la France est toujours sous la protection de Marie ?

Oui, la France est toujours sous la protection de Marie, ainsi que d’autres pays aussi. Marie s’occupe de la planète. Mais oui, la France est sous protection de Marie, et sous protection de Marie signifie : pour celui qui croit, pour celui qui souhaite respecter cette voie, l’aide sera donnée, la présence sera donnée. Marie n’impose pas sa présence. Marie accorde sa présence.

Y a-t-il des injustices de vie ? Pourquoi des expériences sont-elles si violentes ?

J’ai déjà répondu à cette question cher ami. Je sais que ma réponse ne vous plaît pas, pourtant non, il n’y a pas d’injustice de vie. Chacune des injustices que vous avez vécues a été choisie, et chacun des moments où vous vous dites : « Je n’ai pas pu choisir ça » est faux, quoi que vous en pensiez. Vous pouvez être dans le déni à un milliard de pour cent, ma phrase restera juste et je le répète, souvent ne pourra être comprise qu’après cette existence.

L’injustice est posée pour que vous puissiez poser justice après, pour d’autres personnes. De temps en temps, vous allez vivre une épreuve puis, après vous battre c’est-à-dire vous positionner en guerrier de Lumière, pour que cette épreuve n’arrive à personne d’autre que vous, ou au moins d’êtres possible. Ici, l’épreuve trouvera un sens. De plus, elle va peut-être aussi renforcer votre caractère pour vous aider à transformer d’autres champs d’exercices que sont ʺles autresʺ, car il n’y a pas d’autres. Donc il n’y a pas d’injustice.

La notion de violence d’une expérience est très proportionnelle. Certaines personnes vont vivre un viol dans leur existence et trouver que l’événement était dur, mais pas terrible, et certaines personnes ne s’en remettront jamais, car en vérité, c’est vous qui décidez de la violence de l’épreuve.

Je le sais, encore — et c’est pour cela que c’est moi qui ai été choisi pour vous répondre, je suis un ange de justice — donc je sais très bien que ce que je suis en train de vous dire choque, exacerbe beaucoup de personnes. Certaines personnes vont se trouver même en colère de ma réponse. « Mais ce n’est pas possible, mais cela ne s’entend pas, mais comment un ange… » Devrais-je vous mentir ? Devrais-je caresser votre ego au point de vous dire : non, tout cela n’est pas prévu mes amis. En vérité vous n’avez pas assez prié, en vérité vous n’avez pas fait quoi ? Faut-il que je remplace cette violence par une culpabilité ? Vous n’avez pas fait les bons choix, donc la violence était nécessaire ! Inutile de vous rendre coupables, car vous avez choisi vos plans de secours tout seul.

Oui, beaucoup d’entre vous dans leur vie vont vivre des épreuves violentes, beaucoup d’entre vous. Ceci posé, chacune de ces épreuves sert son âme ou ce qui est attaché à son âme en tant qu’incarnation. Essayez de retenir que cela a été violent, cela a été difficile, en tout cas cela a servi, parce que le pire c’est d’imaginer qu’une épreuve n’a servi à personne. Là, aussi, vous feriez une erreur immense et inutile. Aucune de vos épreuves n’aura été inutile. Peut-être pour vous-même penserez-vous qu’elle aura été inutile, par contre, pour d’autres à qui cette épreuve aura été racontée, elle aura été utile. Pour d’autres, dans d’autres temps, vous l’aurez évitée. Vous leur aurez évité de vivre cette épreuve, parce que vous l’aurez vécue.

Une dame qui aura connu une agression va peut-être éviter à une autre — à laquelle elle est attachée par son âme, une incarnation, transincarnation — va peut-être éviter une agression parce qu’elle sentira que les circonstances identiques qui vous ont mené à cette agression arrivent. Elle échappera alors à cette agression. Sans vous en rendre compte, vous êtes un héros ou une héroïne d’avoir accepté cela. Ne vous voyez pas comme une victime systématiquement. Je le comprends, je l’entends. Comprenez, derrière chaque victime il y a un héros ou une héroïne, quelqu’un qui a décidé de vivre l’épreuve pour elle-même effectivement, pour apporter du sens à d’autres ensuite, puis aussi pour apporter du sens à un autre temps carrément.

Ceux-là sont les plus grands des héros, car l’épreuve semble ne pas les servir dans le temps qu’ils vivent eux, en revanche, sert un autre temps et un autre espace. Cela arrive. Certains même décident de mourir pour que s’éveille une population, pour qu’il y ait un changement dans un temps ou un autre temps. Ceux-là sont accueillis dans leur âme et dans leur cœur avec la plus grande des douceurs, avec le plus grand des amours, ils ne sont pas perdus, personne n’est perdu. Certains s’égarent un peu temporairement, mais personne n’est perdu.

Vous nous demandez comment dépasser certaines épreuves, des moments de votre vie où rien ne semble aller.

Je le répète encore — et sans doute est-ce le sens, vous le comprenez, qu’il existe un fil conducteur à notre conversation en cet instant — aucun de ces moments où cela semble ne pas marcher ne sert pas. Ce sont comme des creux de la vague, comme vous dites. Ils servent, et plus vous comprenez que cela sert à quelqu’un, à quelque chose et que ceci ne vous dessert pas, oui, peut-être que vous vivrez l’épreuve, mais ne la subissez pas.

Vivez l’épreuve, mais ne la subissez pas, cela signifie : comprenez qu’elle sert à quelqu’un d’autre, même si vous ne le voyez pas, même si vous ne l’entendez pas, même si vous ne le comprenez pas. Essayez, s’il vous plaît, de comprendre que ce que vous vivez est utile, peut-être pas pour vous, peut-être pas pour le ʺjeʺ, peut-être pas pour l’ego et le personnage, véritablement utile à une autre expérience, un autre temps.

Quand vous comprenez l’utilité d’une épreuve, elle est plus rapide, elle va passer plus vite. Quand vous comprenez qu’elle sert et qu’elle est utile à d’autres que vous, elle passera plus vite. Vous allez accélérer le temps parce que vous ne serez plus en résistance à vous dire : « il faut que je trouve quelque chose pour que cette épreuve s’arrête », pour juste se dire : OK. Elle est utile. Et elle va s’arrêter.

C’est souvent cela, vous l’avez compris, vous savez, cette notion de prise de conscience. Quand vous prenez conscience : « Eh bien oui, évidemment ça se répète parce que je suis toujours comme ceci, je suis toujours comme cela ou quelqu’un d’autre a besoin de ceci », vous savez qu’à ce moment-là l’épreuve s’arrête. Elle s’arrête parce qu’elle est devenue inutile, vous avez compris.

En fait, l’idée n’est pas qu’est-ce que j’ai à comprendre dans cette épreuve — cela peut être utile pour certaines, pas toutes — l’idée, c’est d’abord : Elle est utile cette épreuve, je ne sais pas à qui, je ne sais pas quoi, je ne sais pas quand, manifestement elle est utile cette épreuve, aussi, OK, j’accepte. Oui. Je fais un peu le héros, l’héroïne. Je vais courber un peu mon esprit et accepter ce passage qui sert, qui est utile, qui est vénéré et qui est vénérable. Voilà.

Vous nous demandez quelles seront les conséquences des changements climatiques en cours ?

Votre planète se transforme. Elle augmente ses fréquences pour que la vôtre augmente. Ceci semble bien sûr provoquer un réchauffement climatique évidemment. Il n’est pas dû à l’Humain. Écoutez-moi bien : il n’est pas dû à l’Humain. L’Humain accélère ce processus, c’est clair, à nouveau, il n’en est pas la cause.

Ce processus est aussi un processus d’augmentation de l’énergie planétaire, car, oui, vous vivez un réchauffement climatique, mes chers amis, la Lune aussi, Mars aussi, Vénus aussi. Habitez-vous Vénus ? Mars ? Est-ce qu’il s’agit de pollution atmosphérique sur les autres planètes qui vivent ce réchauffement climatique elles aussi ? Réfléchissez à cela.

Le sens profond est de créer une nouvelle planète, de nouvelles règles de fonctionnement puisqu’il va y avoir des règles de migrations climatiques, des évolutions, des adaptations et c’est peut-être une opportunité pour changer de société et surtout, ce réchauffement climatique planétaire, ce soleil, vous envoie des fréquences qui élèvent votre conscience.

Donc, en vérité, ce changement climatique va, oui, bouleverser les climats de la planète, va, oui, vous obliger à vivre différemment, à penser la nature et votre environnement différemment, en parallèle, va, oui aussi, augmenter votre fréquence vibratoire et faire de vous des humains plus conscients, conscients plus rapidement, de moins en moins manipulables.

De la sorte, comprenez que derrière cette épreuve il y a aussi une réelle bénédiction. Désormais, plus que tout n’entrez pas dans la culpabilisation, vous n’êtes pas responsables. Chacun d’entre vous pourrait conduire trois camions que le réchauffement climatique aurait de toute façon évolué de la même manière. Vous avez juste un petit peu accéléré les choses, vous ne les avez pas provoquées.

Ce réchauffement a existé en d’autres temps. Vous savez, j’ai assisté beaucoup d’êtres à une époque que vous situeriez en 1870, pour vous donner une date de votre calendrier grégorien. Eh bien en 1870, il y a eu un grand réchauffement climatique. Il a duré 10 ans, et j’étais là. Ceci a provoqué l’ouverture des consciences, cela a créé des bébés Lumières qui ont ensuite été capables de créer un Nouveau Monde, une nouvelle énergie, une ère nouvelle. Et il n’y avait pas tant de pollution que cela, croyez-moi.

Soyez conscients que la planète entière est dans un environnement, un bras de galaxie qui régulièrement traverse des champs comme ceux-là, qui réchauffent. L’Humain aime à trouver des coupables et à s’autoflageller. Or, de même que vous n’êtes pas forcément responsables de toute la pluie qui tombe, vous n’êtes pas responsables de ce réchauffement non plus. Vous pouvez bien sûr avoir un rapport avec la nature qui va aider, cela ne changera rien maintenant. Vous ne pourrez plus faire reculer cette période — effectivement je vous le dis — de quelques années, peut-être une dizaine là aussi de ce réchauffement climatique. À vrai dire, ensuite, tout ira bien. Oh ! pas parce que vous aurez mis en place tout un tas de procédures contraignantes envers l’Humain, simplement parce que votre Terre se replacera à nouveau sur un axe planétaire galactique plus favorable, tout simplement. Tout simplement.

Je ne prendrai pas maintenant d’autres questions, je vais juste faire une réflexion à quelque chose que mon canal m’envoie dans une lecture.

L’un ou l’une d’entre vous écrit : les larmes sont un magnifique signe de guérison. Ma réponse est oui, car les larmes sont une libération. Vous vous libérez de vous-même. Vous vous libérez de vos entraves. Vous vous libérez de vos illusions. Alors, vos larmes deviennent Lumière. En un instant, elles libèrent.

Souvenez-vous quand vous étiez enfants, vous aviez plus de chagrins, parfois, vous pleuriez sur votre lit, chagrin d’amour, chagrin par la perte, chagrin par la peur. Néanmoins, après ce chagrin vous vous sentiez mieux, plus libres, capables de rentrer dans un renouveau ou de changer d’attitude. Ainsi, oui, vos larmes vous libèrent n’en ayez aucune honte. Ne les provoquez pas non plus, mais laissez-les vivre. Laissez-les vivre ces larmes. Laissez vivre ces larmes en vous, elles sont ce que vous êtes, la liberté.

Vous êtes aimées, chères âmes. Vous êtes tous aimés à un niveau que vous n’imaginez absolument pas.

Le champ des épreuves, ce champ-là est un champ béni, celui qui accélère votre évolution à un niveau que vous ne comprenez pas. Oui, vous vous êtes soumis à un monde duel, cependant, ce monde est un accélérateur de qui vous êtes vraiment, un accélérateur des révélations qui sont *

  • Note de sylvain, « les révélations qui sont » concernaient les révélations qui sont déjà en place .

Permettez-moi d’embrasser votre énergie. Je suis désolé, si vous me permettez d’être désolé, d’avoir heurté sans doute la sensibilité de beaucoup. Toutefois, il est temps peut-être de vous laisser grandir dans l’idée que ce que vous êtes est plus grand qu’une seule vie, qu’une seule existence, qu’un seul moment, qu’une seule planète. Vous serez bientôt ouverts à ces horizons beaucoup plus larges et beaucoup plus grands.

Pour le moment, vous êtes bénis dans la Lumière et vous le restez.

Canalisé par Sylvain Didelot

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Source : https://sylvaindidelot.com

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