Canalisé par Jean-Luc Ayoun
Eh bien, chers amis, je suis extrêmement content de vous retrouver.
Permettez-moi, tout d’abord en Silence, de vous présenter tout mon Amour et toute ma Fraternité, au Cœur du Cœur de chacun.
…Silence…
Je vous avais dit, au mois d’août, que je reviendrais dès que les circonstances de la scène de théâtre de cette Terre l’exigeraient. Et je crois que maintenant, vous avez tous compris qu’il y a une exigence pour moi de parler. Vous devez constater, même sans vous y intéresser de très près, que beaucoup, beaucoup de choses sont en train de s’accélérer et de déraper sur la Terre.
Effectivement, nous pouvons dire avec une grande certitude que dorénavant vous êtes rentrés de plein pied et à plein Cœur dans les temps nommés eschatologiques. C’est-à-dire que tout ce qui était préparé, jusqu’à présent, nous vous avions toujours dit ces derniers temps : d’accepter l’inacceptable.
Aujourd’hui, vous n’êtes plus dans l’inacceptable. Vous rentrez, je dirais que cela soit dans votre scène de théâtre personnelle comme sur la scène de la société, du monde, où que vous regardiez, non plus dans l’inacceptable, mais dans une forme d’Inexorable et, en même temps, d’Inéluctable et d’Inévitable.
C’est-à-dire que vous allez avoir la perception de plus en plus claire que rien dans votre positionnement de vie, dans votre positionnement intérieur, quelles que soient vos pensées, quelles que soient vos émotions, quelle que soit votre vibration, ne pourra rien changer de ce qui est en train de se dérouler. Vous êtes rentrés, effectivement, de plein pied et à plein Cœur, comme je disais, dans la guerre de Tous contre Tous.
Mais je vous rappelle qu’il y a une porte de sortie et cette porte de sortie, elle est dans le Silence en vous. C’est-à-dire, dans l’absence de récrimination, dans l’absence de demande, dans l’absence d’interrogation, à ce qui peut se dérouler aussi bien dans votre vie que sur la scène de théâtre du monde.
Bien sûr, vous êtes dans ce qui a été annoncé par tous les prophètes, comme une espèce de conflagration générale. Mais ça, vous ne le vivez pas seulement sur la scène de la société, mais aussi dans toutes vos interactions, à quelque niveau que ce soit, que vous ayez une vie très limitée extérieurement ou une vie extrêmement importante extérieurement.
La porte de sortie va vous apparaître de plus en plus clairement comme, non plus simplement une forme d’acceptation, comme nous avons dit jusqu’à présent qui vous place dans le Silence, mais d’être silencieux par rapport aux événements qui peuvent se dérouler aussi bien dans votre vie, que dans votre pays, que dans votre famille. Il doit y avoir une espèce d’acquiescement. Il doit y avoir une espèce, je dirais, d’inéluctabilité de quelque chose qui ne peut pas être évitée. Vous pouvez l’appeler du fatalisme, si vous voulez. Vous pouvez l’appeler comme vous voulez.
Il y en a encore qui pensent que la Terre va ascensionner dans une dimension de Paix et de Lumière. Il y en a qui pensent que tout cela va se dénouer sur cette Terre ou dans votre vie de façon agréable et très joyeuse. L’important, aujourd’hui, n’est pas la Joie d’Agapè, n’est pas la colère, n’est pas le ressentiment, n’est pas la peur, n’est pas la colère, ni rien de tout cela. Et surtout, la Vie va vous demander, individuellement, de ne pas prendre parti à ce qui se déroule sur votre scène de vie, mais aussi sur la scène de vie de tout ce théâtre qu’on nomme la Terre.
Nous vous avons formés, en quelque sorte, à comprendre et à vivre le Temps Zéro, le Cœur du Cœur, le Silence, Agapè qui précédait le Silence. Aujourd’hui, il est temps dans votre vie, quoi qu’il vous arrive à titre individuel, à votre corps, à votre relation avec qui qu’elle soit, avec n’importe qui, avec le monde, à comprendre qu’il n’y a plus rien comme échappatoire, je dirais, ou solution dans le monde ou dans votre vie, et que la seule solution est dans cette Résignation qui vous démontre à vous-mêmes que vous ne croyez plus et que vous ne serez plus affectés par ce qui se déroule et qui, comme je le répète, est inévitable, inexorable, et fait partie de tout ce qui a été écrit dans les prophéties.
Il n’est pas question ici d’année(s). Il n’est pas question ici de mois, mais d’événements qui se déroulent chaque jour que vous vivez où que vous soyez sur cette Terre. Les meilleurs positionnements que vous avez à acquérir, si ce n’est déjà fait, c’est vraiment à vous centrer, non pas dans la vibration, mais à vous centrer dans le Silence, dans l’observation même de ce Silence.
Comme disait l’un des Anciens, Krishnamurti, Frère K, comme le disait Sri Aurobindo, il n’est plus temps de faire des projets ou des plans sur la comète, mais il est temps d’être parfaitement lucides sur cet aspect inexorable, inéluctable et inévitable de ce qui est en train de se produire.
Je ne parle pas seulement de la guerre. Je ne parle pas seulement de la conflagration qui est en cours et qui va, malheureusement si on peut dire, détruire la scène de théâtre. Vous devez vous trouver, c’est-à-dire que vous devez conscientiser que tout cela n’est qu’un mauvais rêve, comme nous l’avons dit, un cauchemar, comme quelque chose qui se passe, qui doit passer et qui ne doit plus vous affecter en aucune manière.
Nous vous avions dit déjà voilà quelques mois, que pour les plus sensibles d’entre vous, il fallait vous détourner de la scène du monde, vous détourner de vos propres problèmes pour vous immerger dans la nature, dans le Silence, dans la Paix, afin de couper, littéralement, tous liens à ce monde, à cette société ou à votre propre vie. Non pas pour nier les problèmes, non pas pour les solutionner non plus d’une manière ou d’une autre, mais vraiment, vraiment aujourd’hui, pour vous retrouver en totalité.
Rappelez-vous que vous n’avez rien à faire. Rappelez-vous que vous ne pouvez rien faire et que chaque jour qui passe, vous pourrez de moins en moins faire pour améliorer quoi que ce soit dans votre vie, sur la scène de théâtre, sur le monde de la société moderne occidentale. Vous avez juste à vous retourner, encore une fois, à l’intérieur de vous, à laisser cette Paix, ce Silence, grandir et vous inonder quels que soient vos problèmes, quelles que soient vos douleurs.
Je ne dis pas par là qu’il ne faut pas continuer à vivre ou faire ce que la Vie vous impose de faire, mais de le faire avec un détachement de plus en plus grand, sans vouloir créer des énergies de friction, de lutte et surtout d’opposition. C’est-à-dire que vous rentrez dans une phase d’Acceptation de l’Inévitable, d’Acceptation de l’Inacceptable, mais à un degré qui n’a jamais été vécu dans vos vies personnelles, mais aussi sur cette Terre.
Beaucoup, beaucoup d’événements, et je le sais, se déroulent dans vos vies, dans vos pensées, dans vos émotions, pour certains d’entre vous qui sont en proie même à des mémoires qui remontent, alors qu’ils les avaient largement dépassées. Tout ce qui se déroule sur l’écran intérieur, comme tout ce qui se déroule sur l’écran extérieur, doit laisser la place à une Divine Indifférence, à une Grande Fainéantise, comme disait Osho.
Apprenez, si ce n’est déjà fait, à ne pas réagir. C’est la meilleure façon, là aussi, de traverser ce que vous êtes en train de traverser et qui, je ne vous le cache pas, va considérablement s’amplifier avant même la fin de ce mois d’octobre que vous traversez.
Le mois de novembre sera l’occasion de rentrer en vous, parce que tout ce qui se passe dans la société ne vous laissera pas d’autre occasion, que de faire autre chose que de vous tourner à l’intérieur de vous, vers le Silence, vers la Paix, vers la Vérité que vous êtes et qui vous fera comprendre, si ce n’est déjà fait, que ce qui se passe ne fait que passer. Et que vous n’êtes en rien concernés par ce qui se déroule dans votre corps, dans votre famille, dans votre vie et sur la scène du monde.
Bien sûr, vous allez voir autour de vous les frères et les sœurs qui vont s’agiter, qui vont vouloir vous demander de prendre partie pour ceci ou cela, quel que soit le côté macabre, machiavélique, de ce qui se jouera sur la scène de théâtre, sur votre scène de vie, tout ceci n’est qu’un cauchemar, je vous le rappelle. Un cauchemar, ce n’est pas vrai. C’est quelque chose qui est là pour vous réveiller. Le Réveil va être de plus en plus tonitruant, de plus en plus brutal et aussi, de plus en plus évident.
Pour ceux d’entre vous qui ont, je dirais, encore des plans sur la comète ou des plans sur un quelconque avenir, il n’y a rien à venir. Vous devez découvrir, simplement, la Vérité que vous avez toujours été. Vous n’êtes jamais nés. Vous n’êtes jamais morts. Vous n’êtes pas ce corps. Vous n’êtes pas ce monde et vous n’êtes d’aucun monde. Vous êtes la Félicité Éternelle. Et c’est dans ce chaos qui se dessine et qui va se précipiter dans les jours qui viennent et les semaines qui viennent, que vous avez la plus Grande Ouverture pour vous retrouver en Totalité dans ce que vous êtes en Vérité et en Éternité.
L’Inéluctable, l’Inexorable, l’Inévitable, n’est là que pour vous montrer que vous n’êtes rien de ce qui est en train de vous arriver comme ce qui est en train d’arriver à beaucoup de frères et sœurs sur cette Terre.
Que ça soit la souffrance, que ça soit la mort, que ça soit la Révélation du Mensonge Cosmique à votre niveau ou au niveau de l’humanité tout entière, cela n’a aucune espèce d’importance par rapport à ce que vous êtes, à ce que vous avez été, et ce que vous serez toujours, indépendamment des mondes de la manifestation, indépendamment des mondes de la forme, et indépendamment du scénario qui se déroule sur cette Terre. Quels que soient les côtés abjects, quels que soient les côtés douloureux qui peuvent se dérouler, vous n’êtes concernés en strictement rien du tout de tout cela.
Comme je disais, voilà déjà un certain temps, tout cela doit finir par un Grand Éclat de Rire Cosmique, même si vous devez traverser des souffrances, même si vous devez traverser des pleurs, même si vous grincez des dents comme il était dit dans les textes, tout cela ne sont que les éléments de votre dernier Réveil à la Vérité. Vous n’êtes jamais nés. Vous êtes dans ce corps mais vous n’êtes pas ce corps. Il est temps de dépasser les définitions. Il est temps de dépasser les dernières croyances, les dernières adhésions de la conscience à ce qui se déroule au sein de celle-ci.
Bidi vous a toujours dit que vous étiez la A-conscience, c’est-à-dire que vous êtes antérieurs à la conscience et que la conscience est une escroquerie totale comme la spiritualité. Ce qui vous est donné à vivre dans votre vie, dans vos relations, sur la scène du monde, n’est là que pour vous faire vivre cette Vérité.
Il n’y a plus rien à vomir. Vous avez presque tout vomi. Il reste des dernières bribes, je dirais, d’adhésion par les habitudes que vous avez prises et que nous avons prises tous au sein d’une pseudo-individualité, au sein d’une forme ou d’une dimension donnée qui fait que beaucoup ne sont pas encore totalement libres.
Mais les circonstances du chaos qui se déroulent au-dedans de vous et au-dehors de vous, vont vous montrer et vous faire vivre la magnificence du Silence, ce qui est au-delà de tout mot, au-delà de toute définition, que Bidi avait nommé le Parabrahman. Vous allez dépasser tous les antagonismes, toutes les contradictions, et surtout les dernières illusions des croyances en la conscience, des croyances en le temps qui passe, en l’espace qui se déploie ou en l’avenir. Il n’y a ni avenir ni passé. Il n’y a que l’Instant Présent qui est la porte de sortie vers l’Éternité.
Et cela, les circonstances, encore une fois, de votre vie personnelle, de vos propres pensées, de vos propres émotions, l’état de votre corps, l’état de vos relations interpersonnelles, affectives, professionnelles, familiales, filiales, ne sont là que pour vous faire comprendre cela. Vous allez vous rappeler que tout cela a été écrit et, encore plus bizarre, vous allez vous rappeler que cela a déjà été vécu, parce que c’est vous qui l’avez écrit.
Vous allez comprendre qu’il n’y a jamais eu personne, comme disait Bidi pendant des années, que vous n’êtes pas cette personne et que, en définitive, tout ce que vous voyez apparaître comme étant réel dans votre vie, n’est qu’une projection d’un hologramme, la projection d’une histoire, d’une histoire qui a une fin et une origine, qui était l’expérimentation de l’illusion de la séparation, de l’illusion de l’individualité. C’est cela qui va se passer dans les jours qui viennent et durant votre mois de novembre.
D’ores et déjà, je peux vous dire que, si ce monde n’est pas consumé par Nibiru d’ici là, je reviendrai vous voir au mois de décembre. Vous aurez traversé beaucoup d’épreuves, beaucoup de feux, beaucoup de cauchemars, beaucoup – peut-être – de peurs ou de colères, mais surtout vous sourirez, parce que pour beaucoup d’entre vous, vous aurez la réminiscence de Qui Vous Êtes en Vérité.
C’est-à-dire que vous n’êtes d’aucun monde, que vous n’êtes jamais nés, et que la Création, comme cela a été dit par de nombreuses voix, est en elle-même un immense mensonge, une immense supercherie. Et que tout ce qui vous a fait souffrir, et tout ce qui vous fera souffrir, n’est qu’une porte ouverte sur l’Eternel Présent, l’indicible Présence et Absence que Bidi nommait le Parabrahman.
Quelles que soient vos interrogations, parce que, en ce moment, beaucoup de frères et de sœurs qui ont vécu Agapè, vivent des périodes peut-être de souffrances, de difficultés, dans leurs corps, dans leurs vies, mais aussi de par l’endroit où ils sont situés dans le monde – bien sûr, je m’adresse beaucoup à des occidentaux, en Europe, en France, mais aussi dans d’autres parties du monde, parce que ce que je dis est traduit -, mais vous allez comprendre l’interpénétration et l’interconnexion de Toute Vie sur la Terre.
Pour paraphraser ce qui a été dit : ‘’Quand l’aile d’un papillon se brise, c’est tout l’univers qui tremble’’. Et ce qui se passe en certaines parties du monde aujourd’hui, et qui a déjà commencé par de la guerre depuis deux ans, va se renforcer pour toucher, je dirais tous les pays, ce qui est appelé la guerre mondiale, avec ses tracas, avec ses bruits, avec ses pénuries.
Mais tout cela, quand vous découvrirez la Vérité – et vous allez la découvrir -, surtout ceux, aujourd’hui, d’entre vous qui sont encore dans des grandes souffrances ou des grandes paniques ou des grandes peurs, vous allez sourire de tout cela, et vous aussi, au moment de votre dernier souffle peut-être, au moment de l’apogée de cette guerre qui se dessine, vous allez sourire à ce que vous êtes et vous allez enfin comprendre l’immense imposture de la Création.
Nous vous avions dit que le temps et l’espace n’existaient pas, nous vous avions dit que les dimensions elles-mêmes ne faisaient que partie d’un rêve, que l’ensemble des univers et multivers étaient un rêve de création, ou si vous préférez, une espèce de simulation, mais ça n’a rien de réel. Comme disait Bidi et comme je vous l’ai dit : ‘’Tout ce qui se passe et tout ce qui passe ne peut pas être vrai’’. Seul ce qui est antérieur à la forme, antérieur à l’Amour, antérieur à la Lumière, antérieur au temps et à l’espace, est le Réel et la Vérité.
Nous vous avons souvent parlé d’État Naturel ou du Réel, c’est ce que vous allez être amenés à vivre au décours de ces jours et de ces semaines qui viennent. Et rappelez-vous aussi que votre meilleure façon d’adoucir les peurs, les souffrances, les illusions, c’est d’être vous-mêmes, sans rien demander, parce qu’à ce moment-là vous allez être, non pas seulement des porteurs ou des semeurs de Lumière, comme cette terminologie que nous avions employée voilà de nombreuses années, mais vous allez être ceux qui assurent la pérennité et la diffusion du Réveil à la Vérité.
Rappelez-vous que, premièrement, vous n’avez rien à faire et que, deuxièmement, vous ne pourrez plus rien faire, seulement être vous-mêmes, seulement être dans cet État Naturel, seulement être dans ce Silence. Et vous découvrirez, au-delà de l’inacceptable qui vous a permis de traverser certaines couches de résistances que, aujourd’hui, d’accepter l’inexorable, l’inévitable, vous fait découvrir encore plus ce que vous Êtes en Vérité, et le laisse en quelque sorte transparaître et apparaître à la face de ce cauchemar.
Laissez tous ceux qui luttent, tous ceux qui souffrent, et quand je dis de les laisser, ce n’est pas de les abandonner, c’est d’être vous-mêmes, parce que c’est ainsi que vous les aiderez au mieux. Bien sûr, parfois il faut tendre la main, bien sûr, parfois il faut avoir encore ce réflexe de cette humanité.
Mais vous constaterez que l’humilité la plus parfaite, dans l’humilité la plus totale, il n’y a plus besoin d’humanité, il n’y a plus besoin de tendre la main, il n’y a plus besoin de compatir, mais simplement, en étant ce que vous êtes, vous apportez le baume qui réveille l’autre de son cauchemar, de sa souffrance, de sa peur, de sa panique, et finalement c’est quelque chose, quelles que soient les larmes et les sanglots, quel que soit ce qui peut vous sembler apparaître encore comme extrêmement contraire à la Lumière, qui n’est que la révélation de la Lumière.
Vous pouvez, comme je l’ai dit à certaines occasions, bénir et rendre grâce aux méchants garçons qui ont permis à ce rêve de se terminer dans un cauchemar. Le cauchemar, c’est ce qui vous réveille, parce qu’il n’y a plus moyen de vivre dans le cauchemar, parce qu’il n’y plus moyen de se projeter dans le cauchemar, parce qu’il n’y a plus moyen d’espérer. Et je me rappelle que Bernard de Montréal avait dit que l’espérance, l’espoir, est le pire des poisons pour l’être humain, parce que ça l’empêche d’être dans l’Instant Présent. Et vous n’aurez pas d’autres alternatives que d’être dans l’Instant Présent.
Tous les besoins vitaux, tous les besoins de la personne, ne pourront que s’éteindre devant cette indicible Vérité, dès l’instant où vous accepterez et accueillerez le Silence et le Réel que vous Êtes. Les circonstances qui se déroulent déjà depuis de nombreux mois et qui sont, comme je l’ai dit, appelées à se développer, vont vous démontrer la véracité de mes propos.
Il n’est pas questions ici de se projeter dans six mois, dans un an, peu importe. L’important est de comprendre que vous n’êtes pas liés au temps, de comprendre que vous n’êtes pas liés à l’espace, de comprendre que vous n’êtes aucune des histoires que vous avez vécues, ni même aucun des karmas que vous pourrez encore imaginer. Vous êtes indépendants de tout ça. Et c’est le moment de cette grande révélation qui s’ouvre à vous dans cette période je dirais la plus noire de l’humanité, qui est tout à fait similaire je dirais à chaque fin de cycle mais, comme je l’ai dit depuis de nombreuses années, ce cycle est le dernier.
Vous allez comprendre que même la notion de cycle, quand vous sortez du temps, de l’espace, de la forme, n’a plus aucun sens. C’est risible, c’est l’escroquerie totale de la spiritualité, l’escroquerie totale du bien et du mal, il n’y a que le Silence, il n’y a que ce que vous Êtes et qui ne connaît ni le temps, ni l’espace, ni la naissance, ni la mort.
C’est donc un grand choc, c’est bien plus que le choc de l’humanité, c’est bien plus que le déroulement que vous avait énoncé l’archange Anaël voilà de très nombreuses années. Je vous rappelle que le marqueur temporel sur cette Terre, pour l’indicible Vérité que vous êtes, était le démarrage de la troisième guerre mondiale ainsi nommée, qui durerait très peu de temps avant les phénomènes de visibilité par tous de Nibiru, et aussi le mécanisme qui fut nommé en son temps ‘’la stase’’ des trois jours et des trois nuits.
Tout cela peut faire irruption sur la scène de théâtre du monde à n’importe quel moment dorénavant, avec toujours cet intervalle de sept jours. Nul ne connaît la date, mais ce que vous voyez, en vous et autour de vous, ne peut que vous faire accepter que le moment est venu, qu’il n’y a plus de délai, qu’il ne peut plus y avoir de marche arrière si je peux dire.
Le scénario s’accélère de plus en plus que vous le vouliez ou non. Vous le voyez dans votre propre vie, vous le voyez dans vos différentes affaires, et surtout vous le voyez sur le plan eschatologique au niveau des religions, au niveau de ce qui se passe dans ce que vous nommez – nous nommons -, le Moyen Orient, entre les histoires de Christ, d’Antéchrist, des Mahdi, et de ce que les hébreux appellent le Masha. Tout ça n’est que la fin du mythe de l’histoire, tout ça n’est qu’une scène de théâtre qui est construite en sa scène la plus exaltée, c’est le nœud de l’histoire, mais c’est aussi pas loin du scénario et du script final.
C’est ce que vous êtes appelés à vivre, et je sais que beaucoup d’entre vous, quel que soit leur état vibratoire, quel que soit leur état de santé si je peux dire, quel que soit leur mental, se doutent bien quelque part à l’intérieur d’eux-mêmes, même s’ils ne veulent pas encore l’accepter totalement, que nous sommes en train de vivre ensemble la fin du mythe de la création.
Bien sûr, encore une fois, ne cherchez pas de date, encore une fois, vivez ce que vous avez à vivre chaque jour, mais avec, vous le constaterez, de plus en plus de détachement, que vous le vouliez ou non. Parce qu’à un moment donné, et vous le savez, quand la souffrance est trop importante, quand la peur vous fait descendre au plus bas, ou la souffrance, ou la colère, peu importe, à un moment donné, vous ne pouvez plus assumer littéralement la souffrance, la colère, la peur ou le monde.
Et c’est à ce moment-là, au plus profond de la chute, au plus profond d’une souffrance quelle qu’elle soit, que vous allez vous découvrir et voir que tout ceci n’est qu’une scène de cauchemar et que ce que vous êtes n’a jamais pu être altéré par quoi que ce soit de toute l’histoire de la création. C’est là que vous allez vous rendre compte, et je le répète encore une fois, que ni le temps, ni l’espace n’existent, que les dimensions sont quelque chose que vous avez écrit à l’intérieur de vous-mêmes, c’est votre scénario, et c’est pareil pour chacun de nous, où que nous soyons à l’heure actuelle.
C’est le temps, non plus des noces, c’est le temps, non plus de la réunification de quoi que ce soit, c’est le temps de la Vérité Intégrale et Totale qui ne souffre d’aucun compromis avec l’illusion de l’histoire, avec le rêve de la création, avec le rêve du temps, avec le rêve de l’espace, avec le rêve de l’individualité de la forme.
Il n’y a pas plus d’involution que d’évolution, il n’y a pas plus de cycles que de prochaine race racine. Les mères généticiennes, les peuples de la mer vous ont délivré des messages extrêmement puissants voilà deux à trois années déjà, voire quatre ans.
Beaucoup de choses ont été dites par différentes voix, mais aujourd’hui le plus grand apprentissage et le plus grand enseignement se déroulent dans ce que vous voyez sur la scène de théâtre du monde à travers ce chaos, que certains recherchent et génèrent, mais le chaos n’est pas seulement pour rénover un ordre quel qu’il soit, que ce soit l’ordre du Verseau, le nouvel ordre mondial comme disent les guignols, mais pour vous restaurer vous-mêmes, pour vous rappeler de qui vous êtes au-delà de l’Être et au-delà du Non Être comme dirait Bidi.
Et toutes les circonstances que vous allez traverser dorénavant ont tous cette même finalité, vous restaurer en Ce que Vous Êtes en Vérité. Et vous allez vous rendre compte, comme nous vous l’avons dit, que c’est vous qui avez écrit votre propre scénario, qu’il n’y a aucun hasard dans l’Intelligence de la Lumière et dans votre propre intelligence. Vous savez que la Terre est le nœud de toutes les histoires de la création, c’est réellement le Centre de la Création. Et si vous êtes dans un corps aujourd’hui, c’est que vous avez un rôle très important à y jouer, qui est celui de vous réveiller totalement de ce cauchemar, en acceptant l’inexorable, l’inéluctable et l’inévitable.
Parce que de là sortira une grande Paix et, surtout, vous vous reconnaîtrez comme celui qui n’est jamais né, comme celui qui n’a jamais souffert, et vous verrez la création pour ce qu’elle est : un rêve. Et vous verrez le cauchemar de la fin de la création, non pas comme un cauchemar, mais comme une résolution du rêve, que vous le vouliez ou non, quels que soient encore vos rêves d’un avenir ou d’une amélioration de quoi que ce soit, ou d’un autre monde, ou d’une autre terre, ou de l’intervention de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres qui appartiennent eux aussi au rêve.
Tout cela est en train de vous arriver, soyez lucides, soyez présents à vous-mêmes, soyez dans l’accueil inconditionnel de ce qui arrive à ce corps illusoire, à votre vie illusoire sur la scène de théâtre illusoire. Parce que, comme nous vous l’avons dit, la plus grande des clés est l’acceptation, mais aujourd’hui il vous faut accepter, non pas seulement l’inacceptable, mais accepter cet inexorable, ça a été écrit, et c’est vous qui l’avez écrit. Il n’est pas question ici de responsabilité ou de causalité, mais il est question simplement de reconnaissance de soi-même.
Il n’y a pas une créature et le créateur séparé, vous êtes le créateur du rêve, de tous les rêves, vous avez traversé toutes les dimensions, tous les rêves, tous les temps, tous les espaces. C’est l’occasion unique, finale, prévue pour tout le monde et par chacun, pour vous retrouver tels que vous avez toujours été, avant même que la Source n’apparaisse, avant même que le premier éclair de Lumière n’apparaisse.
Tout cela, vous allez le comprendre, non pas avec le cerveau, non pas avec le cœur, mais vous allez le vivre intensément, totalement et en totalité. Bien sûr je ne dis pas que ça va être synchrone pout tout le monde, cela le sera seulement au moment du choc final de l’humanité mais ce que je peux dire, c’est que, dès demain le 28 octobre, vous rentrez dans cette époque-là en totalité, il n’y a plus de marche arrière possible, il n’y a même plus de possibilité d’appuyer sur pause ou retour arrière. La bande vidéo, le jeu vidéo comme dirait Abba, la scène de théâtre comme disait Bidi, va vers son terme, et tout ça n’était qu’un décor. Le théâtre comme disait Bidi n’a jamais existé, tout ça n’est qu’un rêve, il vous reste à le vivre en totalité.
Alors c’est un message qui est rempli d’espérance que je vous délivre, c’est parce que justement je vous annonce ce chaos total que ce message d’espérance met fin à l’espoir et met fin à l’espérance elle-même. Ce message d’espérance est destiné à l’Instant Présent, là où il n’y a rien d’autre que l’Instant Présent, là où il n’y a rien d’autre que le grand Silence, que le Temps Zéro, que ce que nous avions nommé le Cœur du Cœur, tout le reste disparaîtra. Et vous serez, à ce moment-là si je peux dire, régénérés en la Vérité au-delà de l’Être et du non Être.
Rappelez-vous, et ça sera peut-être mes derniers mots, mes dernières phrases pour ce soir, que vous n’avez rien à faire, que vous avez juste à être là où vous êtes, à accepter ce que vous êtes, à comprendre que tout ce qui vous affecte encore aujourd’hui, que ce soit une douleur du corps, que ce soit une mémoire, que ce soit une situation de votre corps ou avec votre famille, avec votre mari, avec votre femme, avec le monde, ne représente strictement rien par rapport à ce que vous Êtes en Vérité.
Vous êtes immensément grands et immensément petits, ce qu’aucun concept ne peut approcher. Je ne peux même pas vous en parler, c’est ce que disait Bidi, Parabrahman ne peut pas être défini, il ne peut être que vécu, et ce vécu, comme il avait dit, est la compréhension du mythe de la création, de l’escroquerie de la conscience et de l’imposture de la spiritualité dans sa totalité. Il n’y a jamais eu personne et le temps est venu de le comprendre, de le vivre directement.
Voilà ce que j’avais à vous dire ce soir et je vous dis, je l’espère si le temps nous en est donné, vous retrouver au mois de décembre pour peut-être un dernier message.
Sinon je vous transmets encore une fois tout mon Amour, toutes mes Bénédictions. N’attendez rien, n’espérez rien, ne redoutez rien, soyez pleinement présents à vous-mêmes, soyez dans cette posture que Bidi nommait l’observateur ou le témoin silencieux, celui qui est lucide, mais que rien ne pourra plus jamais affecter. Quel que soit l’état de votre corps, quel que soit ce qu’il vous arrive individuellement dans votre ville, dans votre pays ou sur la totalité de cette Terre, ça n’a plus aucune espèce d’importance, soyez par contre présents à vous-mêmes dans votre vie, dans ce rêve, dans ce cauchemar jusqu’au bout.
Je vous transmets tout mon Amour, toutes mes Bénédictions, et soyez certains que nous sommes au plus proche de vous, pour vivre exactement dans notre plan la même résolution, le même choc galactique et intergalactique de la résolution des univers, des multivers en l’instant nommé Temps Zéro, l’Alpha et l’Oméga qui se rejoignent enfin dans la même Joie et dans la même Lucidité.
Je vous transmets tout mon Amour et je vous dis : À bientôt !
Au Revoir.
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