LADY PORTIA — Discours et Questions Réponses.
Bonsoir à chacun d’entre vous. Je suis Lady Portia. Pour beaucoup d’entre vous, je suis une enseignante, une préceptrice.
Je suis venue pour vous parler, peut-être vous faire des annonces pour certains, en tout cas pour vous rassurer, vous êtes toujours au bon endroit et vous êtes toujours au bon moment.
Vos circonstances actuelles, l’énervement planétaire est un impact de la Pleine Lune, cela joue sur votre identité, mais aussi un impact de positionnement planétaire qui est le vôtre. Beaucoup de phénomènes se conjuguent. Vous avez des phénomènes stellaires, votre positionnement dans la galaxie. Vous avez des phénomènes magnétiques, comprenez que vos pôles sont doucement en train de s’inverser. Oui, vos pôles sont en train de s’inverser, donc, ces phénomènes magnétiques sont en train de jouer sur votre attitude, votre comportement, vos émotions, vos hormones diraient certains. Et il y a aussi une conjonction évidemment d’éveil, une programmation à l’éveil planétaire qui est en route. Ainsi, ce chemin, cette somme de conjonctions, cet alignement des planètes diraient certains, vous amène à cette grande rupture que vous vivez actuellement.
Une rupture violente, je veux bien l’entendre, difficile, je veux bien l’entendre, cependant utile. Voulez-vous bien l’entendre ? Oui, c’est utile. Oui, c’est nécessaire, car, oui, tous les pouvoirs en place aujourd’hui sont là, je dirai temporairement. Ils essaient de mettre en place de plus en plus rapidement, de plus en plus vite, la coercition des peuples. Ils vont trouver des moyens de vous réduire, de vous faire obéir.
Vous savez, la seule obéissance que l’on doit, c’est à son Esprit Saint, à Soi-même, à son Être le plus élevé. C’est une obéissance que l’on doit, oui. C’est pourquoi c’est un peu le sens de mon discours, parce que je comprends que cela ne soit pas évident de comprendre que vous devez obéissance à votre Conscience Supérieure. Je comprends que ce soit difficile à entendre, même à comprendre. En conséquence, permettez-moi un petit cours avec vous.
Votre Conscience Supérieure est en fait l’aspect de vous qui est encore dans le monde que vous appelez de l’Invisible, de l’Au-delà, dans l’autre dimension, et c’est un aspect de vous-même auquel vous êtes relié. Cet aspect de vous-même a généré des identités qui vivent en parallèle. Peut-être pourriez-vous considérer que votre Conscience Supérieure est votre Père ou Mère céleste et que vous êtes un de ses enfants venu vivre une expérience. Et en même temps, votre liaison à votre Conscience Supérieure est tellement puissante que le mot de Père ou le mot de Mère est très mal approprié, puisque vous êtes aussi ce Père ou cette Mère, c’est une part de vous, vous êtes une part de Lui, d’Elle. Tout est lié ici.
Quand vous avez décidé de venir sur Terre, vous avez, les amis, échafaudé votre propre plan d’existence, votre propre plan d’expérience. Ce plan d’expérience prévoyait que dans cette époque à peu près, entre 2020-2025, vous seriez en capacité d’être un peu plus en contact avec un aspect, peut-être religieux, intérieur ou extérieur, de trouver à nouveau ce contact avec ce Père céleste, avec cette Mère céleste.
En fait, ce contact se fait en permanence mais pas de manière consciente. Et quand j’ai dit tout à l’heure que je vous invite à devoir obéissance à votre Père ou Mère céleste, à votre aspect divin, à votre Conscience Supérieure, ce que je voulais évoquer, c’est le fait que si vous vous laissiez diriger par cet instinct bienveillant à l’intérieur de vous, par cette œuvre qui vous traverse, par cet instinct qui vous fait dire que vous sentez que cela serait bon de faire ceci, cela serait bon de faire cela, cela serait bon de dire ceci, cela serait bon de dire cela, vous ne vous tromperiez pas. En réalité, c’est comme si vous désobéissiez à ces instincts bienveillants pour essayer de garder, de conserver votre passé, votre histoire, ou ce qui vous semble si stable.
Vous savez, votre Conscience Supérieure veut vous mener au bonheur. C’est pourquoi lui obéir est un service bien facile, puisqu’entendre ses instincts et les laisser vous traverser, les laisser se mettre en œuvre tranquillement dans votre existence, c’est aussi aller vers le bonheur.
Êtes-vous des êtres heureux, mes amis ? C’est une question que je vous pose, êtes-vous des êtres heureux ? Je vais vous poser la question autrement. Le métier que vous faites, mes frères, mes sœurs, ce métier que vous faites, si demain vous n’étiez plus payés pour le faire, est-ce que vous le feriez encore ? Voyez, c’est une question simple à laquelle 80 % d’entre vous viennent de répondre non, et, ici, les bonnes questions se posent. Les bonnes questions se posent parce que si vous avez répondu non, c’est que vous n’êtes pas en adéquation avec ce que vous êtes et avec ce que vous faites. C’est donc que vous avez renoncé à choisir, et que vous avez laissé l’ailleurs choisir.
Et je vous l’ai dit au début, tout est parfait. Je vous ai dit, vous êtes au bon endroit, au bon moment. Cela signifie que ce n’est pas une erreur. L’endroit où vous êtes, le métier que vous faites, ce n’est pas une erreur. C’est un endroit où vous êtes placés pour renforcer votre foi, votre contact avec cet intérieur, un endroit où vous êtes invités à exercer, encore une fois, ce que vous êtes dans votre personnalité. L’endroit où vous êtes, s’il vous semble ne pas être le métier idéal, si vous ne le feriez pas gratuitement, cet endroit est un endroit où vous êtes invités à travailler votre caractère, votre bienveillance, votre envie d’aider et d’aimer. Parce que quand vous ressentirez à nouveau dans le lieu où vous êtes l’envie d’aider, l’envie d’aimer et que cela s’exercera, dans ces conditions, chères âmes, votre Conscience Supérieure pourra à nouveau donner toutes les instructions vous menant vers votre bonheur. En attendant de vous mener vers ce bonheur, votre Conscience Supérieure fait en sorte que l’endroit où vous êtes soit votre instructeur, et l’instructeur, c’est vrai, n’est pas forcément le bonheur.
En effet, je vous replace ici peut-être dans votre enfance, chères âmes, quand vous étiez en cours, au collège, au lycée, à l’université, est-ce que vous aimiez apprendre ? Là aussi, pour 80 % d’entre vous, la réponse est : « Non. Je n’aimais pas. Tous ces exercices, tous ces devoirs, tous ces apprentissages me semblaient difficiles, parfois même inutiles. » Or, ensuite, quand vous avez pu mettre cela en œuvre, quand vous avez pu exercer réellement la fonction en arrêtant d’apprendre, en étant ce que vous avez appris, vous avez trouvé une certaine liberté et une certaine paix après cet apprentissage, et vous avez fini par ne pas regretter vos études.
Eh bien, vous êtes dans cet état d’être pour beaucoup d’entre vous. Vous êtes encore pour beaucoup d’entre vous dans une phase d’étude, et pour les 20 % qui sont très bien dans leur métier, vous êtes dans votre phase de réalisation après ces études. Cela ne vous empêche pas bien évidemment d’améliorer votre caractère, d’améliorer le personnage, simplement, comme vous n’avez plus rien à apprendre, vous avez à être. C’est encore une fois, l’Être qui est mis en avant, et la Lumière de cet être.
Ainsi, je vous invite à voir l’épreuve du temps présent comme une école, une école de Sagesse, une école nécessaire qui vous aidera à passer le pas, puis à quitter cette période de cours pour passer à une période d’être, de passer du savoir à l’être, c’est-à-dire on passe du savoir, à l’avoir, à l’être. De la sorte, ici, repartez dans votre métier avec joie, et avec la conviction qu’en vérité vous êtes à l’école et pas dans un ouvrage très pénible, seulement dans une école, une école d’apprentissages, en deux mots : apprentis – Sages. Alors, ici, en retrouvant la Paix depuis la tempête, en essayant de comprendre que votre Conscience Supérieure utilise chaque moment, chaque instant, chaque circonstance, pour vous aider à manifester votre véritable personnage, votre véritable personnalité, vous pourrez être en paix et vous dire : « Je ne suis pas condamné à travailler au même endroit toute ma vie, toutefois, je continue les cours jusqu’à ce que ma Conscience Supérieure considère que j’ai passé l’examen, que j’ai passé ce diplôme en maîtrise de moi-même », car, je vous le dis malheureusement, pour celui ou celle qui ne se maîtrise pas et qui n’apprend pas dans ces circonstances, l’école continuera, le travail, l’esclavage, continuera.
Vous avez donc compris que pour vous libérer de cet esclavage, ce qui pouvait être nécessaire c’est de retrouver la paix en soi, de comprendre que la situation, le lieu, le couple, le métier, où vous êtes, sont une phase d’apprentissages nécessaires, utiles et importants ; importants car votre Conscience Supérieure apprend l’amour et apprend à aimer, à aimer ce qui est difficile. Ceci, d’autres êtres que moi l’ont déjà prononcé ici, néanmoins je vous le redis, car c’est mon rôle de préceptrice de répéter encore et encore les choses.
Je vous le redis, chères âmes, vous êtes venues apprendre ce qui est difficile, pas ce qui est facile dans l’amour. Regardez, aimer un animal avec un regard tendre, c’est facile, par contre aimer celui que vous appelez le dernier des derniers, ceci, c’est plus difficile. En l’occurrence, vous êtes venues dépasser cela, et pour aimer ce qui est difficile, comprenez que ce n’est que temporairement difficile, que vous n’êtes en vérité condamnées à rien.
Vous n’êtes pas condamnées à vivre jusqu’à vos derniers jours en espérant quoi, une maigre retraite, en ayant perdu votre santé et en ayant l’impression d’avoir perdu tout votre temps de vie ? Non. Créez dès aujourd’hui votre nouvelle dynamique. Créez dès aujourd’hui ce qui vous convient. Et, quand votre attitude aura suffisamment changé, je le répète, votre Conscience Supérieure, votre Père, votre Mère céleste viendra glisser en vous des intuitions. Peut-être est-il temps de ceci ? Peut-être est-il temps de cela ? Peut-être peux-tu regarder ici ou là ?
Ainsi, obéir à cela, obéir à cette intuition, pas dans l’instantanéité, dans une proportion temporelle raisonnable — autrement dit, accordez-vous la possibilité d’accepter un conseil de votre guidance, de votre Conscience Supérieure, c’est cela lui obéir — naturellement, vous serez placé sur un chemin simple, sur des événements, des coïncidences comme vous dites qui vont vous permettre de changer, d’évoluer, de passer dans un autre état d’être, de passer dans un autre état d’avoir aussi. C’est ce temps-là que vous passez ici.
Pourquoi je parle de cela ? Je vous l’ai dit, conjonction planétaire, conjonction magnétique, conjonction temporelle, toute une grande période de changements. Pourquoi je vous invite à faire confiance à votre Père/Mère céleste ? C’est parce que tous les instincts que vous allez recevoir, et que vous recevez déjà pour certains d’entre vous, sont un petit peu — comment diriez-vous cela — hors concours, en dehors de vos habitudes, en dehors de votre zone de confort, parce que le monde change, parce que votre monde évolue, parce que le Nouveau Monde ne sera pas celui d’avant.
Réfléchissez, si vous vous dites qu’avoir à la tête d’un gouvernement telle personne ou telle personne serait mieux, c’est une erreur, parce que vous gardez encore l’idée qu’il vous faut un gouvernement. Vous gardez encore l’idée que tout doit être géré d’en haut et pas d’en bas. Et en disant cela, vous considérez être en bas, donc vous vous considérez déjà faible. La vraie question, ce n’est pas qui vous mettez à la tête de vos gouvernements, mais qui vous mettez à la tête de votre vie. À qui allez-vous accorder du pouvoir dans votre existence ? Quel être, quelle situation, quel film, quelle musique allez-vous laisser entrer dans votre vie, pour qu’elle ait, là, un impact ?
Choisissez. Choisissez d’avoir une oreille en définitive peu attentive à ceux ou celles qui finalement vous rabaissent, et choisissez d’avoir une oreille plus attentive à ce qui vous élève ou à ceux qui vous élèvent. Je parle des parents pour les enfants comme je pourrais parler de situations, comme je pourrais parler d’amis, comme je pourrais parler de beaucoup de choses pour vous aider à vous élever, en comprenant que, quel que soit votre âge, même si vous avez 80, 90 ans sur votre Terre, vous restez des élèves de cette Terre, de ce lieu qui est une école d’Amour magnifique, une véritable mise à l’épreuve permanente.
Certains d’entre vous, certaines d’entre vous nous demandent souvent : « Quand est-ce que je vais réussir ? Quand est-ce que je vais avoir une pause ? » Quand vous serez parmi nous, quand vous quitterez l’école. Pour autant ne soyez pas dupes, si certains d’entre vous aimeraient quitter cette école trop vite, cela va être exactement comme sur votre Terre quand vous avez quitté vos études trop vite.
Pour ceux qui quittent les études trop vite, souvent plus tard, ils le regrettent et disent : « J’aurais dû poursuivre mes études. J’aurais dû poursuivre ce cheminement », pourtant vous ne l’avez pas fait. C’est pourquoi je vous le dis, je vous invite à ne jamais avoir de regrets, à vous dire que vous avez la chance d’être dans cette école de vie, dans cette école d’amour qu’est la Terre.
Obéir à sa Conscience Supérieure, c’est en fait se libérer du poids de cette existence. Ce poids, j’ai de la peine à l’évocation de ce passage dans votre vie, parce que ce poids est très lourd et je suis en totale compassion avec chacun, chacune d’entre vous.
Lorsque vous vous dites : « Je dois – Je dois – Je dois – Il faut – Il faut », tant de solitudes sont prononcées ici, tant de déconnexions de votre famille d’âmes sont prononcées ici. Ensemble avec la Vie, si vous ne croyez en rien, dites simplement : « Ensemble avec la vie, je vais faire ce chemin. » Si vous croyez à vos Guides, à vos anges, dites-vous sérieusement : « Aujourd’hui c’est difficile, malgré tout, avec mes Guides, mes anges, je vais faire ce chemin. » Et si vous ne croyez en rien, dites simplement ʺavec la vieʺ. Pourquoi je dis cela ? Parce qu’en vérité, je vous le dis, le Père, la Mère céleste, c’est la Vie qui vous traverse. En somme, quand vous dites ʺavec la Vieʺ, tout compte fait vous appelez votre Conscience Supérieure.
Si vous dites : « La vie me veut du mal », vous allez éloigner vos parents célestes qui ne cherchent pas à vous faire du mal. À l’inverse, si vous vous dites : « Quoi qu’il arrive, la Vie me veut le plus grand bien », et ce ʺquoi qu’il arriveʺ est important, à ce moment-là, vous introduisez à nouveau dans votre vie cette énergie, cette substance, ces corps qui peuvent vous aider. Vous cesserez de dire ʺje doisʺ ou ʺil fautʺ, vous direz : « Allons-y. Faisons cela ensemble » avec une passion réelle, avec cette idée du passage, du passage vers un autre d’état d’être, un mieux-être, n’en doutez point, un mieux-être.
Chères âmes, la Vie ne vous a jamais abandonnées. Ce temps est difficile mais nécessaire. Dans une dizaine de vos années, beaucoup d’entre vous regarderont cette époque comme la grande époque de folie, celle où tout était exagéré, celle où il y avait tellement de principes de précaution qu’au final, vous ne saviez même plus ce que vous aviez le droit de faire. Sous prétexte de ne pas vous blesser, sous prétexte de vous protéger, on va vous enfermer de plus en plus. Allez-vous vous laisser faire ? Non. Je vous le dis, j’ai déjà la réponse. Non, vous n’allez pas vous laisser faire. Et c’est normal que cela provoque du rejet. C’est normal que cela provoque un peu de colère, trop à mon goût. En chacun d’entre vous, la privation de liberté doit éveiller le sens de la liberté.
Pensez-vous qu’être prisonniers dans une ville, surveillés par des caméras, des drones, sous prétexte de vous apporter la sécurité va vous rendre libres ? Non. La véritable liberté arrivera quand vous sentirez la possibilité de faire à nouveau confiance à votre voisin, à votre sœur, à votre frère, quand la peur cessera entre les gens parce que vous ne trouverez plus de divisions.
Que vous faut-il pour cela, chères âmes ? Vous faut-il une guerre ? Vous faut-il une arrivée extraterrestre ou une menace extraterrestre pour que vous vous sentiez à nouveau connectés en tant qu’humains, et que vous cessiez de dire : « Il y a les jeunes, il y a les vieux. Il y a les Français, les non Français. Il y a les hommes et les femmes » même ? Vous en êtes encore dans ce niveau de séparation.
N’attendez pas qu’un danger vous guette pour, dès aujourd’hui, entrer en bienveillance comme entrer en religion, et commencer à vous dire que la solution est commune, que face à un obstacle chacun redevient solidaire. J’ai dit ʺsolidaireʺ, pas solitaire comme certains l’ont entendu. Je comprends, j’ai fait exprès en parlant parce que, vous voyez, solitaire/solidaire, c’est d’une certaine manière l’opposé. La solidarité est faite d’êtres solides, ensemble, et pas faibles, seuls, justement.
Nous ne cesserons, et nous l’avons dit, de répéter à quel point il est utile que vous vous réunissiez, en petits groupes, sans faire de bruit, sans faire de vagues, pour refaire ce monde, pour créer votre propre synergie. Certains le feront dans leur cité, d’autres en pleine campagne, peu importe. Peu importe. Avant tout, il s’agit de recréer du lien, de recréer de la confiance, de la conscience.
Les événements qui vont venir, et que nous n’avons pas à exprimer, sont une grande opportunité pour placer ce monde dans l’action et en avant. Votre époque de révélations ne fait que commencer. Tous ceux qui pensaient avoir du pouvoir vont petit à petit, pas instantanément, petit à petit, le perdre. Tous ceux qui pensaient avoir le contrôle vont petit à petit le perdre, pour se laisser diriger par des phénomènes et des actes plus grands, plus importants, plus grands en termes spirituels, c’est-à-dire de recoller à des valeurs, à une morale.
Votre population sur Terre est si désabusée, qu’elle pense qu’avoir une nouvelle paire de chaussures ou une belle voiture est l’accomplissement d’une vie. Voilà, vous en êtes arrivés là. Vous savez, l’accomplissement d’une vie, c’est quand les gens se souviennent de vous. Ça, c’est une vie accomplie, de ce que vous êtes, pas de ce que vous avez.
Est-ce que vous vous souvenez de qui a une belle voiture, à la fin de votre vie ? Vous ne vous souviendrez que des rencontres que vous avez faites, que des moments que vous avez partagés. Vous ne vous souviendrez que de cela, et vous êtes dans cette école qui vous aide à travailler cela. Alors, je vous le dis : Courage ! Bien sûr, courage, vaillance, témérité ! Ne laissez pas ces valeurs aux chevaliers. Vous êtes chevaliers, chevalières. Ne laissez pas ces valeurs à quelques-uns. Devenez ce chevalier, cette chevalière de la Lumière. Courage, vaillance, ténacité, audace aussi. Et l’audace est sans doute ce qui fait peur à beaucoup d’entre vous, d’être audacieux.
« Ce monde est difficile, si je suis audacieux, on va me tomber dessus. » On va me tomber dessus, qui est ce ʺonʺ ? Pensez-vous être séparé de ce ʺonʺ ? Si la réponse est oui, sûrement oui, ʺonʺ va vous tomber dessus. À l’inverse, si la réponse est non, si vous commencez à vous sentir unis, si vous avez commencé à créer une communauté, ʺonʺ ne vous tombera pas dessus. Par conséquent, n’ayez pas peur d’être audacieux.
Votre audace pourra se dérouler à côté de votre métier, dans des circonstances différentes. Avant tout, il s’agit, ici, de faire confiance à vos instincts je le répète, car votre Conscience Supérieure ne vous parle qu’en termes d’instinct. Écoutez cette petite voix et, ce qui est important — parce que c’est ce qui empêche la plupart d’entre vous de connecter cette Conscience Supérieure — ce qui est important c’est de comprendre que quand vous recevez une idée, une intuition, un commandement, peu importe, de la part de votre Conscience Supérieure, cela n’est pas un ordre immédiat, cela signifie : dirige ton regard vers…, prend la direction de… Concrètement, cela ne vous demande pas un changement instantané, de quitter famille, emploi, peu importe, demain matin, uniquement de vous diriger vers, car votre Conscience Supérieure connaît le temps et connaît votre temps. Elle ne hurle pas à vos oreilles, elle chuchote. Elle est dans la suggestion.
Si vous faites confiance à cet instinct, si vous dirigez votre vie vers cet instinct, vers cette conviction, vers cette audace, si vous prenez le temps de faire chacun des pas, et si vous avez la patience, qui est une autre vertu du chevalier, de faire ces pas, dans ce cas, ne doutez pas de votre succès, car, en vérité, vous n’êtes pas seul sur ce chemin, et tout sera fait pour que chaque pavé de votre chemin soit posé avant que vos pas n’y soient même accompagnés. Chacun de vos pas se fera sur une route tracée si vous avez confiance, si vous n’êtes pas pressé car, ici, est aussi un des grands freins de votre Humanité, le côté « Comment on fait pour changer tout de suite ? Comment on fait pour entendre tout de suite ? Comment on fait pour Être, tout de suite ? » Eh bien, on ne peut pas. On ne peut pas. Vous ne pouvez pas.
Bien sûr, les miracles existent, tout de même en vérité, les changements se font dans la douceur, dans le respect du temps de chaque pas. Avez-vous appris à marcher en une seule journée ? Non. Cela vous a pris du temps. Et aujourd’hui, marchez-vous à quatre pattes ? Non. Parce que vous savez marcher. Comprenez ce que je veux dire par là. Acceptez ce temps d’apprentissage. Acceptez ce temps d’évolution. Acceptez que cela prenne un temps, parce que c’est non seulement un temps de transformation de vos circonstances extérieures, mais, n’en doutez point, ce sera avant tout et surtout une modification intérieure qui vous sera proposée sur ce chemin. Une véritable modification intérieure ne peut se faire que lentement, car votre psychologie a besoin de modifications de croyances, de modifications de comportements, de modifications d’attitudes, de modifications de ses réflexes de paroles et de pensées. Cela nécessite pas mal d’exercices, pas mal d’entraînements, du courage, de la ténacité et de l’audace. Évidemment, c’est mon invitation, chères âmes. C’est mon invitation auprès de chacun d’entre vous, auprès de chacune d’entre vous.
Et puis, pour les enfants, apprenez aussi à les libérer des ʺil fautʺ ou ʺtu doisʺ. Il est bien qu’ils soient encadrés, par ailleurs, il est bien aussi que vous sachiez leur accorder un espace de liberté en le leur précisant. Je suis sûre que chacun a compris ce que j’évoque ici, et que ceux qui doivent entendre ont entendu.
Ici et maintenant, je suis prête à recevoir vos questions, à essayer de répondre à quelques-unes d’entre elles.
Ainsi, chères âmes, en passant le relais à mon canal, pour qu’il me relaie vos questions, dites-moi, que puis-je faire pour vous ? En quoi pouvons-nous vous aider ?
Une question que j’entends avant de la voir, c’est que pouvons-nous mettre en œuvre pour faciliter ce changement ?
La réponse ici est assez simple, la bienveillance. Cela ne signifie pas la naïveté, cela signifie de veiller au bien de chacun, de veiller à ce que chacun soit bien, soit heureux. Ce petit pas, ce petit sourire, cette petite attitude, ce petit compliment, ce petit don pour un pauvre, ce petit objet que vous avez fabriqué pour le donner à quelqu’un d’autre, tout cela c’est l’or de votre monde, c’est l’or de votre cœur. C’est cela. Cela, vous pouvez le faire chaque jour. Y a-t-il un jour, un seul, où vous pouvez ne pas sourire ? Cette occasion vous sera offerte, mais allez-vous la saisir ? Prenez-la. Prenez-la.
Une question évoquée ici est : est-ce que les Consciences Supérieures ont une identité masculine et féminine ? Ou féminine d’ailleurs, j’imagine.
Je dirais oui, et je dirais non. Évidemment vos Consciences Supérieures ne sont pas sexuées, car il n’existe pas la notion de relations sexuelles dans notre monde d’énergie. Donc, si vous envisagez la notion de masculin et féminin en tant qu’identité sexuelle, elle n’existe pas ici. Par contre, si vous envisagez la notion masculine et féminine en tant que caractéristique identitaire de l’homme ou de la femme, en termes de caractère, dans une sorte de correspondance relativement radicale avec votre monde, dans ces circonstances, oui, vos Consciences Supérieures ont une identité masculine ou une identité féminine plus marquée, plus prononcée chez l’un ou chez l’une.
C’est pourquoi je vous ai parlé de Père céleste ou de Mère céleste, parce que certaines Consciences Supérieures ont une activité plus autoritaire qu’on pourra prêter à une énergie masculine du Père céleste, et d’autres, une autorité plus dans l’enseignement et dans la compréhension, qui sera une identité féminine dans ce cas. Oh ! je sais, beaucoup d’entre vous vont me dire : « Lady Portia, te voici dans la caricature toi aussi. » Non. J’essaie de vous dire que cette notion de masculin et de féminin sacrés existe au Ciel.
Et permettez-moi d’ailleurs de vous dire que d’essayer de dissoudre cela sur Terre nous paraît très étrange, parce que vous essayez d’avoir maintenant sur votre Terre des identités non genrées. Vous le serez de toute façon dans l’autre monde, pourquoi l’être dans le vôtre ? Si Dieu avait voulu que cela soit ainsi, cela aurait été ainsi, n’en doutez point. L’idée est : acceptez ce que vous ressentez d’être une bonne fois pour toutes, mais ne vous confondez pas avec un exemple où vous pensez être heureux. Reconnaissez en vous ce qui vous rend heureux et soyez-le. Surtout, ne laissez personne vous dire si vous êtes un homme, une femme, ou je ne sais pas quoi.
Bien sûr, l’identité de sexe existe et n’en doutez point, bien sûr qu’elle existe. Pour autant, votre identité masculine ou féminine, cela nous paraît déjà une nuance suffisante, et de votre côté, c’est vrai que vous avez implanté beaucoup de nuances à cela, des nuances inutiles en fait. Des nuances qui sont inutiles parce qu’elles créent à nouveau des séparations, elles créent à nouveau des divisions.
Soyez ce que vous avez envie d’être, ne vous posez pas la question de savoir si c’est accepté ou pas. Soyez ce que vous avez envie d’être, avant tout ne laissez pas quelqu’un d’autre vous proposer des choix auxquels vous n’avez même jamais pensé. Laissez-vous être ce que vous êtes. Les réponses sont déjà là, ce n’est pas à quelqu’un de vous les apporter. Ce n’est pas à quelqu’un de vous dire, de cocher les cases comme vous dites, pour décider si vous êtes ceci ou cela. Vous le sentez. Vous savez.
Chaque enfant, chaque être dès son adolescence sait exactement qui il est, qui elle est. C’est cela l’idée, d’être simple ; d’être simple, de ne pas décomposer tout en petits morceaux inutiles.
Pour conclure, vos Consciences Supérieures ont des aspects masculin et féminin, et n’ont pas de caractéristiques sexuées.
Pouvez-vous nous parler du concept de flamme jumelle ?
À un autre moment Lady Nada viendra vous parler des flammes jumelles. Tout de même ici, je peux juste vous dire qu’en vérité ce que sont les flammes jumelles, ce ne sont ni plus ni moins que les enfants de votre Conscience Supérieure. Je vous l’ai dit au début de mon discours, les Consciences Supérieures génèrent des identités dont vous faites partie, des êtres dont vous faites partie. Je vous ai parlé de la notion de Père, de plus vous avez des frères et des sœurs. Et ces frères et ces sœurs, dans l’énergie, sont vos flammes jumelles.
Vous avez transformé l’idée de flammes jumelles en l’idée de couple idéal. Vous faites une erreur, clairement. Les flammes jumelles sont des couples d’apprentissages, mais ne sont pas les couples idéaux. Vous avez suffisamment de notions d’âmes sœurs où, là, n’ayant pas la même Conscience Supérieure, vous allez pouvoir conjuguer des amours différentes.
Les flammes jumelles s’entendent très très bien, en pratique elles vont travailler l’ego. Cela correspond à un travail de l’ego. Les âmes sœurs, elles, vont travailler la complémentarité, une complémentarité idéale. Voyez qu’ici le travail est différent. En conséquence, juste pour cesser de vous faire croire que les couples de flammes jumelles sont les couples idéaux, comprenez qu’en vérité, cela signifie surtout que vous avez les mêmes parents d’âme supérieure.
Continuons. Poursuivons.
Comment entendre au mieux notre Conscience ?
C’est une question qui se pose souvent. Il existe de grandes et multiples méthodes, à nouveau, je l’ai déjà dit, comprendre votre intuition, comprendre les petits indices que votre Conscience pose, car il ne s’agit pas de l’entendre, première erreur, mais de la comprendre.
Je vous l’ai dit tout à l’heure, votre Conscience Supérieure est la Vie. Cela signifie donc qu’elle vous parle au travers de la vie qu’elle est, puisqu’elle est la vie. Elle n’est pas une petite voix à côté, votre Conscience Supérieure, elle est la Vie.
En effet, bien sûr certains sont capables de l’entendre, seulement c’est très rare. Ces êtres-là sont ce que vous appelez des poissons volants. Cela existe, cependant tout le monde n’est pas un poisson volant. Tout le monde, par contre, est vivant. Tout le monde est implanté dans la vie, et, en vérité, la Conscience Supérieure vous parlera toujours à travers la vie, à travers les expériences, à travers les coïncidences, à travers des phrases qui se répètent, à travers une chanson, à travers quoi ? À travers tout.
Alors quand vous demandez à entendre, vous imaginez entendre avec vos oreilles ou avec votre pensée. Cela dit, j’insiste, la véritable question serait plutôt, comment comprendre mieux notre Conscience ? En comprenant qu’elle est la Vie. Car quand vous regarderez la vie qui est autour de vous non pas comme une série d’événements, plutôt comme un dialogue avec les événements, petit à petit, vous allez comprendre ce qu’est cette conversation qu’essaie d’avoir votre Conscience Supérieure avec vous, car c’est de cela dont il s’agit. La vie est une conversation avec votre Conscience Supérieure.
C’est déjà cela, vous êtes déjà en communication bien sûr, une communication passive, un langage de sourds diraient certains. Si vous allez vers une communication active, si vous allez vers la vie en lui faisant confiance à cette vie, la communication va s’harmoniser, et vous allez comprendre ce que votre Conscience Supérieure vous veut, pas entendre, mais comprendre. Voilà.
Est-ce que tout le monde va s’éveiller ?
Non. Non, mes amis. Non, il y a encore une grande proportion de votre planète qui va rester endormie à tout mon dialogue. Vous êtes au début de ce cheminement, au début de ce changement d’état d’esprit, et peut-être même vivrez-vous une époque qui séparera en deux des êtres spirituellement éveillés d’un côté, et des êtres qui vivent dans un monde de peurs maîtrisées de l’autre, néanmoins un monde de peurs.
Non, tout le monde ne va pas s’éveiller. En parallèle, il faut les premiers pas, il faut les premières gens, il faut les premières personnes, et vous en faites partie. C’est pourquoi ayez la foi, car pour aimer la Lumière, il faut en voir une de Lumière. Si vous ne regardez que l’obscurité, vous ne serez pas attiré. Et c’est cela que je vous invite à être, soyez les petites lumières de chacun. Même si vous êtes la seule lumière de votre ville, de votre quartier, de votre étage, de votre appartement, rayonnez. Soyez heureuse, heureux. De la sorte, vous allumerez aussi les mèches, les chandelles, de tous vos voisins, de tous vos proches.
L’éveil planétaire va se passer sur une bonne dizaine d’années, plus même probablement. En tout cas, laissez-moi vous dire ceci, et c’est très clair, la masse critique est atteinte pour que votre monde change positivement à terme, après toutes ces épreuves que vous passez. Donc, même si le monde semblera parfois coupé en deux peut-être un instant, cela ne durera pas très longtemps, car, vous voyez, le monde des êtres que vous appelez éveillés, parce qu’il ne s’agit que d’une appellation, ce monde-là sera résiliant à toutes les épreuves. Cela veut dire qu’ensemble, vous saurez vaincre tous les manques d’énergies, les manques de nourriture, ou peu importe les types de manques qui peuvent arriver, parce que vous serez une communauté qui ne sera pas dépendante d’un système autoritaire. Alors que toutes les communautés qui seront dépendantes d’un système plus ou moins autoritaire s’écrouleront dès que ce système sera défaillant.
Comprenez que c’est ainsi que la planète va s’élever. Comprenez que ce que beaucoup d’entre vous vont vivre paraîtra une utopie, un doux rêve pour certains, cependant quand ils verront que ce rêve est permanent, ils y viendront. Et cela va prendre du temps, chère amie. Soyez patiente. Votre génération n’est pas entièrement celle qui va s’éveiller, soyons clairs.
Comment rester confiante quand on a la sensation que rien ne bouge et d’être impuissante, savoir comment agir ?
Il est extrêmement drôle de vous entendre dire que rien ne bouge alors que je vous ai dit au début de mon discours, que les pôles sont en train de s’inverser — de votre planète, les pôles magnétiques —, que vous êtes dans un bras galactique particulier dans des circonstances particulières. Vous avez la sensation que rien ne bouge, malgré cela en vérité, si vous regardez bien ce qu’il se passe, vous allez voir que tout est en train de s’écrouler. Tout est en train de s’écrouler, toutes les vérités vont finir par rayonner et raisonner. Pour le moment, vous avez l’impression narrative que rien ne bouge, pour autant cela n’est pas la réalité, c’est ce que l’on essaie de vous faire croire.
Observez mieux. Observez vos contemporains. Écoutez un peu, changez votre manière d’entendre les informations et vous verrez qu’il y a beaucoup de mouvements. Ce mouvement est un mouvement, soyons clairs, destructeur. L’Ancien Monde est en train de s’autodétruire, mais il se reconstruira. Réellement, il y a du mouvement. Peut-être devrais-je me contenter de vous dire croyez-moi, pourtant je vous le dis, si vous observez ce monde s’écrouler, le fait qu’il y ait un écroulement est un mouvement. Peut-être pas un mouvement que vous appelleriez positif, quoiqu’en vérité, et je le répète — comprenez que j’ai déjà tout dit dans mon premier discours — c’est un mouvement nécessaire.
Quant à comment agir, c’est plutôt comment se sentir, dans votre cas chère amie. Sentez-vous bien. Cessez de vous sentir angoissée à chaque instant, comprenez que tout ici est fait pour votre plus grand bien.
Comment bien utiliser notre personnage, notre ego, pour être obéissant à notre Conscience Supérieure ?
Votre ego ne peut pas être obéissant. Votre ego est un système qui justement est indépendant, qui est là pour maintenir le corps en vie et pas pour obéir. C’est même antinomique cette notion d’ego et d’obéissance, un ego ne peut pas obéir. Un ego est là pour l’autosurvie du corps. En conséquence, il va créer des pensées, des circonstances et des croyances pour l’amener à diriger le corps, à diriger les événements, à croire qu’il maîtrise alors qu’il ne maîtrise rien.
Dès lors, pour répondre à votre question je répondrai ceci, votre ego n’est pas utilisable. Il s’agit justement de lâcher prise de l’ego, et de vous demander donc plutôt comme question : que puis-je faire pour les autres, que de vous demander que puis-je faire pour être mieux, moi. Naturellement, que puis-je faire pour que nous soyons plus heureux, nous, car l’ego est dirigé vers le moi et ce que vous Êtes est dirigé vers le nous.
C’est ainsi que je vous invite à y réfléchir. N’essayez pas de modifier votre ego. Écoutez-le. Malgré tout, il s’agit ici de cesser d’obéir à l’ego, je le répète, pour obéir à sa Conscience Supérieure, concrètement de faire plus confiance à ses instincts qu’à ses pensées qui paraissent des pensées logiques, déduites, et d’aller vers ses instincts, sans urgence. Car la vraie et véritable clef est d’aller vers ses instincts sans urgence, mais avec détermination, courage, ténacité encore une fois, bien sûr. Bien sûr.
Comment être sûr que votre Conscience Supérieure vous a parlé et non votre cœur, vos envies, vos désirs, vos besoins, n’est-ce pas ?
Je le répète, l’indice, je viens de vous le donner. Si votre envie est pressante, elle vient de l’ego. Si votre envie est profonde, au contraire pas pressée, elle vient de votre Conscience Supérieure.
Si vous avez envie de vite déménager, de vite quitter votre boulot, de vite créer une société nouvelle, ces envies viennent de votre cœur comme vous dites, ou de votre ego, soyons clairs. Par contre si cette envie est profondément ancrée en vous, véritablement patiente, sage, prête à accepter que les opportunités se présentent, là, on va parler de votre Conscience Supérieure, chère amie. Ici est le moyen.
Votre Conscience Supérieure est d’une grande patience puisqu’elle est prête à attendre même plusieurs de vos existences pour se réaliser. Je ne dis pas que vous allez tout réaliser dans une autre existence, je dis que comprenant cette patience de plusieurs existences, vous comprendrez que dans une existence, elle est de toute façon dans un grand esprit de sagesse et de patience. La patience de quoi ? La patience d’attendre le bon moment, le bon endroit, la bonne circonstance où vous êtes déjà. De la sorte, faire confiance en la vie justement, c’est sans doute le premier pas. Comprendre cela.
Est-ce qu’il peut se former des unions et des couples entre Consciences Supérieures ?
Non, pas vraiment, parce qu’en vérité, les Consciences Supérieures sont toutes frères et sœurs. La notion de couple indiquerait que vous seriez complémentaires à deux. La notion de Conscience Supérieure, c’est d’être complémentaire dans le Tout. Dans ce cas-là, nous parlerions d’un ʺmulticoupleʺ à une échelle planétaire. Comprenez-vous cela ? C’est ainsi que je vous le dis.
Comment faire avec des personnes de la famille qui sont dans le jugement, les fausses croyances quant aux gros mensonges que l’on nous sert dans les médias ?
Laissez-les apprendre à leur vitesse. N’essayez pas de les convaincre. Vivez votre vie le plus indépendamment possible de ces réflexions. Si elles vous voient heureuse dans vos choix, et si vous les voyez heureux dans leurs choix, n’est-ce pas là votre envie réelle que ces gens soient heureux ?
Si quelqu’un est heureux dans son erreur, laissez-le être heureux dans son erreur. Quand il s’apercevra que c’est une erreur, vous l’aiderez, surtout ne passez pas votre temps à lui dire que c’est une erreur, parce que ce n’est pas une erreur, c’est son chemin, c’est son apprentissage. En conséquence, ne court-circuitez pas trop cet apprentissage. Aider, oui. Sauver à tout prix croyant détenir la vérité, non, car peut-être que vous ne détenez pas complètement la vérité.
Ainsi, laissez-les être. Soyez dans la tolérance. Si elles ne sont pas tolérantes, cela leur appartient. S’il vous faut temporairement vous éloigner de ces êtres, qu’il en soit ainsi. Je sais, c’est difficile, néanmoins cela va vous permettre de créer une famille de cœur aussi, et pas seulement une famille de corps, car le cœur ici est à l’ouvrage.
Y a-t-il une corrélation, une connexion entre les flammes jumelles et nos transincarnations ?
Soyons clairs, vos flammes jumelles sont vos transincarnations.
Lady Portia, je m’efforce vraiment d’être dans la bienveillance et de pacifier mes relations, mais les pointes, critiques et médisances des autres me blessent. Comment ne pas me laisser atteindre ?
Si vous vous laissez atteindre, c’est que vous avez un travail à faire au niveau de l’ego, de celui qui pense qu’il a raison. ʺJeʺ a raison. J’ai raison. Tant que vous pensez ʺj’ai raisonʺ, vous serez atteint.
L’idée n’est pas de penser avoir tort, je ne suis pas ici en train de vous dire d’être à l’opposé ou de changer d’avis, d’opinion, ce que je suis en train de vous dire, c’est que si les autres vous blessent, alors ne leur laissez pas ce pouvoir. Ce que je veux dire par là, c’est encore une fois, laissez-les à leur opinion. Autorisez qu’ils aient une opinion différente.
S’ils vous critiquent, s’ils font des médisances, s’ils vous blessent, pensez-vous que Jésus n’a pas été critiqué ? Pensez-vous que Joshua n’a pas été blessé, n’a pas reçu de pointes ? Cela fait partie du chemin, voyez. Aimez les gens qui vous blessent. Aimer les gens qui vous blessent, qui vous laissent, qui vous font des pointes, qui sont médisants à travers vous, qui sont méchants avec vous, ça, c’est l’Amour de Jésus. Ça, c’est l’Amour du Christ.
Ainsi, chère amie, soyez heureuse, car si cela vous arrive, c’est que votre Esprit Supérieur considère que vous pouvez avoir le même amour que Jésus, que vous avez la même capacité. Car celui qui arrivera à aimer celui qui le critique, pas à vivre tous les jours avec, mais à lui accorder le fait d’être son frère ou sa sœur, alors celui-là connaîtra le véritable Amour de Dieu, le véritable Amour du fils. Comprenez cela.
Si cette épreuve vous est proposée, c’est qu’il vous est proposé de connaître le plus grand des Amours. Le plus grand des Amours, c’est d’être capable d’aimer pour deux. C’est cela le plus grand des Amours. Si celui qui est en face de vous ne vous aime pas, à ce moment-là, aimez pour deux, et remerciez-le : « Grâce à toi, je vais pouvoir aimer pour deux. »
L’épreuve est là, chère amie. L’épreuve, c’est de comprendre qu’on vous propose ici un acte d’amour immense, un acte d’amour puissant, un acte d’amour important. C’est ainsi.
Chères âmes, je vais arrêter ici mon discours, et vous aurez compris qu’en vérité, j’avais déjà répondu à vos questions dans mon premier passage avec vous. Souvent, vous le remarquerez, nous donnons les réponses. C’est pourquoi, quand vous posez des questions, nous vous rappelons que nous vous l’avons déjà dit.
J’ai fait cela expressément ce soir en tant que préceptrice, pour vous dire que vous êtes invités à relire nos textes, à relire nos dialogues, à relire nos échanges avec vous, pour comprendre qu’en vérité, vous aviez déjà les réponses dans notre discours, mais que vous n’avez pas cherché à les percevoir. Vous avez presque cru que notre rôle était celui de poser la question et la réponse en même temps. Ce n’est pas grave, c’est normal dans ce monde duel.
Je vous accompagnerai encore. Nous vous accompagnerons encore de notre amour, de nos réponses, peut-être même de nos questions, car nous sommes là pour vous aider aussi à vous poser les bonnes questions, et pas uniquement à vous donner toutes les réponses. C’est vous qui êtes à l’œuvre dans cette école. Nous vous aiderons mais vous ferez, car vous êtes dans le monde de l’action.
Soyez bénis dans votre action. Puisse chacun de vos pas recevoir la Lumière. Puissiez-vous d’ailleurs rayonner cette Lumière que vous êtes, et remercier la Vie, car elle est ce que vous êtes et vous êtes ce qu’elle est.
Soyez bénis.
Canalisé par par Sylvain Didelot
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