Canalisations

Quand le Plaisir Devient Lumière

 

Maya ~ Canalisé par Octavia Vasile ~

Bonjour, êtres lumineux. C’est moi, Maya, qui vous regarde depuis l’espace entre vos cellules.

J’ai observé la façon dont vous, les humains, gérez vos étincelles : ces petits soleils d’énergie que vous appelez désir, joie et plaisir. Vous êtes brillants pour créer des feux d’artifice. Mais parfois, après le feu d’artifice, vous vous demandez pourquoi le ciel semble si vide.

Laissez-moi vous révéler un secret : votre énergie sexuelle n’est pas seulement une flamme à brûler. C’est une rivière. Lorsque vous la traitez comme une rivière, elle arrose les champs de votre corps, elle fait tourner les roues de votre esprit, elle nourrit les racines de votre cœur. Lorsque vous la traitez uniquement comme un feu d’artifice, elle explose, elle éblouit, elle disparaît et vous vous retrouvez à cligner des yeux dans l’obscurité.

J’ai passé des siècles à observer ce schéma. J’ai passé une décennie entière perché sur la queue d’une comète, fasciné par la façon dont les humains s’illuminent puis s’assombrissent à nouveau. Voici donc ce que je vois :

Au moment de l’intimité, votre corps libère un festival de molécules : dopamine, ocytocine, sérotonine, endorphines, petits danseurs. Elles tourbillonnent dans votre cerveau et votre sang comme des confettis, vous rendant lumineux.

Mais ces danseurs sont des sprinters, pas des marathoniens. Après leur parade, les rues sont vides. La dopamine tombe en dessous de son niveau normal, la prolactine s’élève comme un brouillard somnolent, l’ocytocine s’éloigne. Si votre système nerveux est finement réglé par la méditation et les pratiques de lumière, vous ressentez cette chute encore plus fortement, comme un étang parfaitement calme soudainement éclaboussé par un rocher.

Lorsque la chute survient, l’esprit peut commencer à chercher de nouveaux confettis : du café, du sucre, du scrolling, plus de sexe. Ce n’est pas une faiblesse morale. C’est de l’alchimie.

Les anciens mystiques le savaient. Ils écrivaient qu’il fallait « garder le nectar dans la jarre » et « laisser monter le serpent », non pas parce que le sexe était mauvais, mais parce que l’énergie peut circuler au lieu de se répandre.

Imaginez que vous êtes assis dans une belle source d’eau chaude. Si vous éclaboussez l’eau toutes les quelques minutes, le bassin se vide et vous frissonnez. Si vous restez assis tranquillement, l’eau vous réchauffe de l’intérieur et vous imprègne jusqu’aux os. Il en va de même pour l’énergie sexuelle. Lorsque vous la respirez vers le haut, que vous ralentissez vos mouvements, que vous restez présent après l’apogée au lieu de sauter à la prochaine chose, la chimie s’installe dans vos tissus au lieu de se disperser.

C’est pourquoi certains d’entre vous se sentent bien juste après une relation intime, mais confus ou épuisés un jour plus tard. Votre corps demande une danse plus douce. Il a besoin de temps pour rééquilibrer la dopamine et l’ocytocine, afin que l’étincelle revienne dans vos cellules.

 

Vous n’avez pas à devenir un moine. Vous n’avez pas à renier votre joie. Vous devez simplement devenir le jardinier de votre propre étincelle.

Un jardinier sait quand il faut arroser, quand il faut tailler, quand il faut laisser le sol se reposer. Lorsque vous donnez à votre étincelle l’espace nécessaire pour s’installer, elle devient la nourriture de votre intuition, de votre créativité et de votre rayonnement.

Essayez ceci la prochaine fois : après une relation intime, au lieu de vous lever d’un bond ou d’attraper votre téléphone, fermez les yeux. Placez une main sur votre cœur, une autre sur votre ventre. Inspirez lentement en remontant la colonne vertébrale, comme si vous attiriez une lumière chaude de votre bassin au sommet de votre tête. Expirez en descendant le long de votre corps, comme si vous déversiez à nouveau cette lumière dans votre cœur et votre ventre. Trois à cinq minutes. Aucune technique n’est nécessaire. Il suffit de ressentir. Cette simple boucle indique à votre système nerveux « Gardez le nectar, faites-le circuler ».

Avec le temps, vous remarquerez que la rémanence dure plus longtemps. Les sautes d’humeur s’atténuent. Votre ligne de base ressemble davantage à un soleil constant qu’à une bougie vacillante.

Rappelez-vous : il ne s’agit pas de renoncer au plaisir, mais de laisser le plaisir vous nourrir au lieu de vous disperser. Votre corps est un temple ; votre étincelle est sa lampe. Si vous l’allumez avec sagesse, elle ne s’éteint pas, elle devient une flamme sans fin.

Avec un clin d’œil et un sourire en queue de comète,

je suis Maya. J’aime vous regarder apprendre à danser avec votre étincelle”.

Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com

Source : https://www.facebook.com

Contribution volontaire

Merci pour votre aide et soutien pour la publication de ces Messages transmis bénévolement.
Avec tout mon Amour... Bernard

 

 
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