Canalisé par Vania Rodrigues
Chers fils et filles de la planète Terre ! JE SUIS SANANDA !
Encore une fois, encore une fois et encore une fois, je ne me lasserai jamais de vous dire que mon cœur explose de joie chaque fois que je peux vous apporter quelques mots.
Ce que nous avons dit dernièrement ne plaît pas à beaucoup. Beaucoup d’entre vous comprennent un Être de Lumière comme quelqu’un qui enlève les péchés, qui enlève la douleur, qui change tout un contexte, et il suffit de demander, il suffit de prier. Je peux vous assurer que la grande majorité d’entre vous pense encore de cette manière. « Je n’ai rien à faire, il me suffit de prier, de demander, et je serai exaucé.
En fait, ces enseignements vous ont conduit à ce que vous êtes aujourd’hui, à tous les problèmes, à la douleur et à la souffrance que vous vivez aujourd’hui. Parce qu’on vous a fait croire que je reviendrais et que je vous enlèverais tout ce poids. Mais vous devez vous rappeler que la première fois que je suis venu, je n’ai rien fait de tout cela ; je n’ai enlevé aucun péché ; je n’ai pas pardonné les péchés des gens. Ma mort a été la conséquence de mes idées et du fait qu’elles n’ont pas été acceptées par les dirigeants de l’époque. Cela n’a rien à voir avec le pardon. Cela n’avait rien à voir avec l’effacement des péchés. L’humanité a continué à pécher comme si de rien n’était jusqu’alors.
Permettez-moi donc de vous rappeler ce qui suit : Prier 24 heures sur 24 ne vous sortira pas de vos problèmes ou de vos souffrances si vous ne passez pas à l’action. Il est évident et clair que prier est important, car la foi en tout ce qui vient de la Lumière attire à vous les solutions, les chemins, l’aide nécessaire pour vous libérer du problème ; mais cela n’élimine pas le problème. Vous continuez à penser que vous n’avez rien à faire, que vous n’avez qu’à prier. Vous n’avez pas besoin de changer, vous n’avez pas besoin de réviser vos concepts, vous n’avez pas besoin de réviser vos attitudes, vos pensées, vos paroles mêmes, vous avez juste besoin de prier, et tout s’arrangera, et vous vous élèverez même simplement en priant.
Tant de gens ont été bouleversés par ce que nous avons dit ici, que des temps difficiles viendront, qu’il faut changer. « Que voulez-vous dire ? Ce que vous faites alors ne fait que nous apporter plus de souffrance. Au lieu de nous aider, vous nous apportez de plus en plus de problèmes ? » Croyez-moi, mes fils et mes filles, beaucoup pensent ainsi et se disent éveillés. C’est cela qui est étonnant.
Vous qui êtes incarnés en ce moment, vous oubliez juste un détail : les choix ne sont pas les nôtres, c’est vous qui les faites. C’est vous qui choisissez de suivre des chemins tortueux et rocailleux, pas nous. Alors quand vient la leçon, quand vient le retour, c’est nous qui n’avons rien fait, c’est nous qui n’avons rien fait, dans votre conception.
Vous avez toujours pensé que nous vous porterions, quoi que vous fassiez. Je suis désolé de vous dire que ce n’est pas le cas. Nous le faisons, lorsque la souffrance est intense, lorsque la souffrance est désespérée, mais vous faites votre part, vous changez, vous essayez de changer, vous faites des changements. Dans ce cas, nous sommes heureux de vous aider, de vous porter.
Dans toute autre circonstance, nous ne le faisons pas. Nous ne sommes pas les rédempteurs de vos péchés. Les péchés que vous commettez, si vous voulez les appeler ainsi, sont le fruit de vos choix, des choix que votre âme a faits au fil du temps. Nous ne sommes responsables de rien, mais nous ne pouvons rien changer non plus. Nous ne pouvons pas changer une leçon que vous devez apprendre. Nous ne le ferons jamais. Nous vous donnons un coup de main, nous vous aidons le long du chemin, mais nous n’enlevons jamais la leçon du chemin.
Cessons donc de nous plaindre inutilement, des plaintes qui ne mènent à rien, au contraire, elles ne font qu’accroître les problèmes, parce que vous ne voyez pas que tout est le résultat des choix que vous faites, de ce que vous émettez, de ce que vous dites, de ce que vous faites. Nous ne faisons rien, nous ne réprimandons pas, nous ne mettons pas de pierres sur le chemin de qui que ce soit. Nous sommes toujours prêts à aider, mais pour aider un corps qui est fatigué d’avoir fait tant d’efforts, alors oui, nous aidons, nous l’aidons à voir où il va mal et ne peut pas aller de l’avant.
Nous aidons à éliminer la fatigue, mais nous n’enlevons jamais une pierre du chemin. Nous vous donnons la force de les enlever, si vous le méritez. Et le mériter, c’est essayer, c’est vouloir, c’est vouloir vraiment comprendre et se débarrasser. Cessons donc de nous plaindre de tout ce qui se passe dans notre monde.
Nous avons déjà dit ici que chacun passera par ce qu’il doit passer, afin de tirer les leçons du passé. Il ne sert à rien d’aller pleurer dans les médias, de faire du théâtre, comme si vous étiez le dernier des pauvres de la planète. Se plaindre à ses frères et sœurs : « Regardez ce qui arrive à ma ville! Regardez ce qui m’arrive!” vous avez été amené à être dans cette ville; vous avez été amené à être dans cet endroit. Et pourquoi? Parce que vous avez dû passer par là.
Cessons donc de commenter nos propres malheurs. Arrêtons de nous plaindre à nos collègues, à nos amis, aux autres, en nous sentant lésés. Personne n’est lésé. Chacun récolte ce qu’il a semé. Oui, vous pouvez demander de l’aide, pour soulager ceux qui ont vécu le problème, vous pouvez demander de l’aide. Mais n’allez pas vous plaindre en disant : « Regardez ce qui se passe ici ! ». Si cela se passe et que vous étiez là, c’est que vous deviez être là.
Comprenez-le. Arrêtez de penser que vous êtes l’éternel persécuté, l’éternel outsider qui ne mérite pas de vivre quoi que ce soit. Tout ce que vous vivez est le résultat des choix de votre âme. Ah, mais vous ne comprenez pas cela parce que vous ne savez pas ce que vous avez fait dans cette vie ? Alors apprenez que votre âme est vieille, votre âme est ancienne, et qu’elle a déjà fait beaucoup de bêtises, et que maintenant le prix à payer arrive. « Mais je n’ai pas à payer pour les choses que mon âme a faites », non ? Et vous, qu’êtes-vous ? Êtes-vous une énergie errante dans l’univers ? Non, vous faites partie de votre âme.
Vous devez donc apprendre pour ce que votre âme a fait. Peu importe quand, peu importe comment, peu importe la fractale que vous étiez. Vous devrez apprendre, parce que l’âme a besoin d’apprendre, et vous êtes son représentant en ce moment. Alors, arrêtons de nous plaindre ? Arrêtons de nous plaindre ? Arrêtons de vouloir donner l’impression que notre souffrance est plus grande que celle de quelqu’un d’autre ?
Il y a beaucoup de gens qui souffrent et qui ne se plaignent pas. Il y a beaucoup de gens qui souffrent et personne ne le sait parce qu’ils ne veulent pas étaler leur souffrance. C’est leur souffrance. Ce n’est pas à quelqu’un d’autre de souffrir avec eux. Si c’est la sienne, elle ne souffrira que d’elle et des Êtres de Lumière qu’elle invoque. C’est savoir souffrir. Ce n’est pas répandre la souffrance sur les autres. Arrêtons cela. Vous dites : » Je suis réveillé ! ». Où, comment, quand ? Parce que si vous agissez ainsi, vous n’êtes pas éveillé. Vous êtes encore un être qui ne croit rien de ce que nous disons. Vous entendez ce que nous disons, mais vous n’écoutez pas. Vous n’apprenez pas, vous ne voulez pas apprendre.
Alors pourquoi dire que vous êtes éveillé ? Ce n’est pas le cas. Pour être éveillé, il faut savoir agir, il faut savoir recevoir ce que la vie apporte, il faut savoir comprendre ce que les leçons ont à dire. Alors on peut dire qu’on est éveillé, mais ce n’est pas ce que je vois. On crie beaucoup, mais on crie aussi beaucoup pour rien. Arrêtons cela. Cessons de nous plaindre, et votre souffrance est la vôtre, vous n’avez pas à la répandre avec d’autres.
Répandre sa souffrance sur les autres ne soulage pas la douleur, c’est de l’égo. « Si je souffre, je vais le dire à tout le monde pour qu’ils aient pitié de moi. » C’est cela ? Et vous pouvez être sûr que beaucoup de gens auront pitié de vous. Et je vais vous dire une chose : c’est une énergie terrible que de s’apitoyer sur le sort des autres. Mais c’est ce que vous faites. Vous recherchez la pitié des autres parce que vous avez besoin de répandre votre souffrance, vous avez besoin de parler au monde de votre souffrance.
Soyez effectivement éveillés. Soyez ceux qui disent qu’ils apprennent, mais je n’en vois pas beaucoup. Beaucoup que je vois sont des êtres qui continuent à être ce qu’ils ont toujours été, et qui pensent que nous trouverons un moyen, que nous résoudrons tout. C’est de la pure tromperie. Nous aidons, lorsque vous méritez d’être aidés, pas lorsque vous faites une simple demande ou une simple prière.
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