Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron
La base reste la verticalité de l’énergie qui traverse le corps et l’intensité de la présence. Et qu’est-ce qui initie cette verticalisation de l’énergie et cette intensité de présence ? C’est l’amour. Par amour pour l’amour, par amour pour le-la Vénérable, rassembler l’énergie. Ainsi naturellement l’énergie se verticalise. Ainsi naturellement la présence s’intensifie.
Et naturellement lorsque l’énergie est rassemblée et lorsque la présence a ce niveau d’intensité qui se nomme intense – non pas un peu plus intense ou beaucoup plus intense, comparé au laxisme qui règne parmi l’humanité, alors un peu plus intense paraît intense – le critère est que la présence intense amène automatiquement cette assise dans le cœur qui ouvre tout, amène automatiquement ce silence intérieur qui initie la clarté du discernement. Ce n’est plus la tête qui essaie de savoir mais la clarté qu’est le centre du front qui connaît et reconnaît.
L’intense présence signifie que le corps s’élance. Le corps humain, le savez-vous, s’étend à plusieurs kilomètres. Car le corps humain, vous le savez, est loin d’être limité à la coquille dense tridimensionnelle. Celle-là est nourrie par le corps de lumière.
Ce qui ramène le contact conscient du corps de lumière avec le corps physique, ce qui permet de réaliser que le corps physique est corps de lumière, c’est l’amour. Et l’amour est la pleine présence. L’amour est la plénitude de la vie qui sait qu’elle est la vie. L’amour est la plénitude du tout qui se reconnaît à travers chaque parcelle de création et qui s’émerveille parce que la vie n’est qu’émerveillement.
L’intense présence est cette spontanéité de l’amour qui est transparence et qui révèle la simple gloire de la vie. L’intense présence est la réalité du tout est possible, parce que tout est possible à celui et à celle qui choisit d’être humain divin. Tout est possible.
Bien sûr, selon les lois du laxisme, l’être humain est esclave et victime de ses propres chaînes et de ses propres enchaînements. Et la loi du laxisme a généré les croyances dans l’inévitable de l’enfermement ou des limites. Il est plus judicieux de reconnaître l’état de laxisme et de choisir d’intensifier la présence incessamment car l’intensité de la présence ouvre à l’infini de la présence. L’on n’arrive jamais. L’on tend vers l’infini avec passion et enthousiasme et tout se simplifie.
L’intense est le plein du plein. Il ne s’agit pas d’un peu plus intense, d’un peu moins laxiste, il s’agit de la vie qui se rend hommage. Et la vie est éternel jaillissement, la vie est éternel émerveillement, et la vie est la simple grandeur de l’être qui, en tout et partout, reconnaît le visage du-de la Vénérable concrètement, simplement parce que son corps est flamme de lumière. Tous les aspects de l’individualisation alors sont nourris.
Aimer. C’est tellement beau d’aimer, n’est-ce-pas ? Alors pourquoi ne pas choisir d’aimer la vie passionnément au point de lui rendre sa perfection ? Pourquoi ne pas choisir d’aimer son corps passionnément au point de lui rendre la perfection de son fonctionnement, la perfection de sa beauté ? C’est beau d’aimer, n’est-ce pas ? Alors qui et quoi pourrait empêcher l’humanité de dire oui à cet acte d’amour qui donne à chaque cellule la plénitude. Parce que seul l’amour guérit, n’est-ce pas ? Seul l’amour plénifie. Aimer, c’est donner et redonner ce rythme cosmique qui est le chant de la vie, le chant de la création qui chante dans les cellules.
Voyez, la présence s’intensifie. Les individualisations se fondent. Il n’est qu’un seul Être, qu’un seul cœur, qu’un seul corps.
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