Vous êtes tous reliés à ceux que vous croyez avoir perdus (1/2)

Canalisé par Aurélia LEDOUX

Message de Catherine

Je suis là pour te parler, pour partager avec toi de nouveaux instants.

Ici, dans le monde d’après, le temps passe par vagues successives, de très étrange manière.

Nous avons parfois l’impression de flotter en une sorte de brouillard cotonneux, ce sont des moments d’infini bien être. Nos proches prévenants et attentifs sentent quand nous avons envie d’être seuls, ou d’être entourés.

J’ai su me hisser au delà de la guérison, en un lieu de bien être total. Tout ce qui me tenait rattachée au passé, a fini par lâcher prise. Je me sens plus libre que jamais, d’explorer, d’envisager d’autres vies. Il m’a été possible d’explorer bien des lieux du système solaire, autrefois habités. La vérité est totalement différente de ce qui m’a été présenté alors, en mon ancienne vie.

Nous ne sommes pas seuls, l’être humain de la Terre n’est pas seul. Il est constamment choyé, entouré, accompagné, par de brillantes civilisations, très attentives à sa meilleure évolution possible. Ces êtres célestes se tiennent dans et à l’intérieur de la Terre. Il leur est plaisant de veiller nos pas, tels des parents découvrant de quoi est capable leur enfant.

Les êtres stellaires sont là pour nous, pour nous accompagner en donnant le meilleur d’eux-mêmes. Une douce germination de belles idées se tient en nous, en notre civilisation. Il existe tant de possible endormis qui s’éveillent. Il faut les cultiver avec soin, les laisser croître d’eux-mêmes.

Nous, les êtres du haut plan, nous tenons à vos côtés, comme des frères et des sœurs, des parents parfois. Nous explorons le sentier, nous murmurons pour vous les meilleures choses qui puissent vous inspirer.

Je sens parfois que je m’éloigne de ceux que j’aime, mais c’est pour mieux les retrouver, pour qu’ils avancent davantage.

Tout le monde va bien ici. Il y a ceux qui sont là depuis longtemps, et ceux qui s’approchent du sentier lumineux. Les familles se retrouvent ici bas, mais pas forcément au même moment. Nous voguons de vie en vie. Il existe tant de vies ! Chaque fragment semble ne durer qu’un instant quand on considère une vie dans son ensemble. Et pourtant, si nous approchons notre regard davantage, nous en percevons toute la richesse, toute la complexité. Notre mémoire est ainsi.

Il en est de même pour ceux que nous avons connu autrefois, parents, enfants, époux d’autres temps, d’autres époques révolues. Tout prend sens dès que nous franchissons la rive. Tout s’illumine.

Il existe aussi nos guides, rayonnants de lumière, qui sont là pour nous accueillir. Chaque vie, toute vie obéit à un fil, celui de l’amélioration d’une âme, de son perfectionnement ultime, en vue de rejoindre le haut plan.

De vie en vie, nous tendons vers ce meilleur. Parfois nous trébuchons, nous vacillons, puis nous retrouvons le chemin lumineux, clair et accueillant.

Elle me montre un superbe paradis de verdure, qui fait penser à un jardin botanique, avec des plantes d’une taille spectaculaire, des arbres majestueux. On voit des personnes qui se promènent. Leurs silhouettes sont légèrement vaporeuses, avec l’impression qu’elles flottent paisiblement. Je ne vois pas leurs pieds. Il existe des groupes agréables. Tous les êtres ont l’air de se trouver en symbiose. Cela fait un peu comme une grande énergie lumineuse qui les relie. Je ressens une joie intense. Il existe des artistes, des musiciens, des groupes d’enfants, de personnes plus âgées. C’est comme si le temps s’était arrêté.

Elle me montre des massifs épanouis de plantes extraordinaires, aux feuillages rosés. Il s’y trouve non loin des grappes de fleurs de grande taille, de toutes les couleurs. Les édifices qui se dessinent au loin sont tous de forme arrondie, en pierre blanche. Ils sont parfaitement intégrés au paysage.

Les perspectives sont frappantes. Il existe des points de vue spectaculaires, où l’on voit à plusieurs kilomètres, des successions de jardins, de fontaines, de jolies demeures fleuries. Ce lieu est celui du repos, de la contemplation, du bien être.

La scène change, elle me montre également une ville, avec de beaux édifices brillants, tels du cristal. Certains sont colorés, irisés, et décorés de motifs ajourés infiniment délicats. Cela fait penser à de la végétation. Les artistes ont entouré chaque ouverture d’un cercle d’or. Il existe un grand nombre de personnes en ce lieu. Ils déambulent avec grâce, on sent une sorte de recueillement mystique, de joie profonde jaillir de chacun. C’est comme s’ils avaient pu obtenir un grand nombre de réponses, une grande satisfaction.

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