Canalisations

Voilà ce temps, cette époque, où les véritables Guerriers de Lumière se révèlent à l’humanité

Canalisé par Sylvain Didelot

Bonsoir enfants de Lumière. À vos côtés en cet instant, je suis l’Archange Raphaël, le Guérisseur disent certains. Je l’espère avec vous, je l’espère pour vous.

Quand je dis ʺje l’espèreʺ, cela signifie que j’aimerais poser notre énergie bienveillante sur chacun d’entre vous, et que chacun d’entre vous guérisse de ma Présence, de l’énergie de la douce Flamme vert émeraude que j’essaie de disséminer dans ce monde. De plus, lorsque je prononce ces mots, lorsque je dis ʺj’espèreʺ, je pose le fait que vous êtes votre propre guérisseur aussi, et que si vous n’acceptez pas les énergies qui vous sont envoyées parfois du Ciel, eh bien, vous ne les recevrez pas.

Votre puissance humaine, votre puissance Divine est dans votre capacité à accepter ou à refuser un message et une énergie, qu’elle soit guérisseuse ou non. Car derrière chaque message que nous envoyons, aussi bien que derrière chaque message que vous recevez de la part d’un de vos frères, d’une de vos sœurs, de médias, de gouvernements, chacun de ces messages vous invite à l’accepter ou à le refuser.

 

Le refuser signifie que vous ne désirez pas que cela soit votre vérité à vous, sans imposer à d’autres. C’est important de comprendre que l’Amour, cette force immense, n’est pas forcément un grand OUI à tout.

Pour beaucoup d’entre vous, vous êtes des parents, des frères ou des sœurs qui ont été en mesure de dire non à vos enfants, à vos frères ou à vos sœurs lorsque ceux-ci commettaient des actes qui n’allaient pas dans le sens de la Lumière, pas dans le sens de ce partage, de cet amour et de cette communion. À ce moment-là, vous avez été capables de dire non. C’est aussi votre force. Et ceci ne veut pas dire que vous ne les aimez pas bien au contraire, vous les aimez tellement que vous ne pouvez pas tout accepter. C’est important de comprendre qu’accepter ce qui est ne signifie pas dire oui à tout.

Alors, dire non ne veut pas non plus dire exclure une réalité ou se trouver dans une position de reniement, de déni : « Non, ça n’existe pas. Non, ce n’est pas vrai. Non, c’est une illusion ». Bien sûr que votre monde est illusoire cependant il va avoir, ce monde, des impacts sur l’énergie que vous avez décidé d’incarner, et en cela votre présence est demandée. Votre présence Divine est demandée sur cette Terre, dans cette illusion.

De la sorte, ne soyez pas dans le déni, s’il vous plaît. Sachez dire non quand cela est important. Sachez aussi accepter les forces bénéfiques provenant sans cesse, et j’insiste sur ces mots sans cesse, de ce que vous appelez encore le Ciel, l’Au-delà, l’Autre Dimension.

Acceptez de recevoir des forces qui sont des forces évolutives et non pas des forces involutives. Acceptez de les recevoir surtout actuellement comme ce sont des forces qui encourageront à la paix, à l’amour, au partage, à la bienveillance, tandis qu’on essaie de vous amener à la guerre, au repli sur soi, à la peur. Et je dirais, effectivement, à la malveillance, et à vouloir du mal d’une partie de la population par rapport à une autre, cherchant sans cesse à vous diviser en catégories, dont chacune d’entre elles chercherait à défendre sa petite place parmi la grande place, dira-t-elle toujours, alors qu’il n’y a pas de petite ou de grande place, seulement des êtres humains en conjonction dans une grande expérience d’Amour nommée existence.

Voilà ce temps, cette époque, où les véritables Guerriers de Lumière se révèlent à l’humanité, où nous allons voir maintenant se lever des êtres en capacité de prononcer un non, salutaire, un non, bienveillant, un non, plein d’amour, nullement dans une bataille mais dans un positionnement, une certitude et une force qu’il est temps de poser sur ce monde et dans votre propre espace personnel parfois, car le monde commence dans votre maison, dans votre demeure intérieure et extérieure.

Ce monde est pure Lumière, les jeux d’ombre y sont révélateurs de ce que vous avez certainement à travailler encore dans cette force d’Amour qui vous est demandée, une force si puissante qu’elle pourrait vous permettre de tout transformer en un instant. Alors, cette attaque de forces réductrices, de forces involutives, est là aussi pour vous révéler à votre propre Lumière, à votre propre courage, pas le courage de faire une guerre, ceci n’est pas du courage, à l’opposé, le courage de vouloir la paix, de savoir que cette paix un peu imposée départage, ceci c’est du courage.

Le courage, le cœur à l’ouvrage, est-ce que le cœur va vers toutes les batailles ? Non, pas forcément — pour certaines oui, sans doute —, détruire n’est jamais un acte Divin, ceci ne va pas dans le sens de l’Amour. La construction va dans le sens du Divin.

Vous savez, ici, il s’agit de ne pas confondre le courage et la vaillance. Oui, il faut être vaillant pour combattre, et « à cœur vaillant, rien d’impossible »[1] disait un de vos ancêtres.

Vous êtes dans cette époque-là, dans cette époque où il ne faut plus rester passif envers soi-même, et inversement être actif envers SON monde. Je n’ai pas dit, nous n’avons pas dit ʺenvers LE mondeʺ mais envers SON monde et, je le répète, c’est important, votre monde commence dans votre demeure. Je ne parle pas du corps, je parle bien de votre maison, de votre appartement, de votre village, de votre ville, de votre circonscription, département, province, peu importe. Commencez à poser votre esprit et votre volonté, là où vous avez une ʺrayonnanceʺ, une résonance. Faites-le debout. Ne restez pas passif. Arrêtez d’observer des images ou des textes en vous disant qu’ils sont jolis, sympathiques ou à l’inverse, qu’ils sont horribles et qu’il va falloir faire quelque chose. Faites-le ! Faites-le.

Priez, marchez, dansez. Avant tout, offrez le mouvement de votre nature Divine à ce monde, parce que dans le mouvement vous recevrez cette énergie du Ciel, dans le mouvement, vous recevrez cette énergie unificatrice qui en ce moment vous tombe dessus. Et je vois moi-même bien des gens refusant cette énergie céleste, car penchés dans cette solution du « on n’a pas le choix. On ne peut rien faire. On aimerait bien, mais on ne peut pas. » C’est faux, c’est faux !

 

Lève-toi, enfant de Lumière, regarde à quel point tu es merveilleux et Divin ! Regarde à quel point ta nature Divine profonde est forte et puissance ! Cesse de croire en autre chose que ta propre Lumière finalement. Regarde-toi. Observe-toi enfant de la Lumière. Tu as choisi de t’installer et de vivre dans un monde duel, dans un monde difficile, dans un monde éprouvant donc un monde de mises à l’épreuve, pas un monde de souffrances systématiques mais un monde de mises à l’épreuve. Cela, n’en ayez point de doute. Quel courage, justement, quelle Lumière et quelle force il faut avoir pour accepter de vivre, là, ici, maintenant ! Comme dans d’autres époques encore bien éprouvantes elles aussi.

J’ai vu certains d’entre vous dans d’autres temps, dans d’autres espaces, dans d’autres époques, et je vois se répéter souvent les mêmes schémas. « Vais-je agir ou vais-je réagir ? » La clef est là : Votre pouvoir est dans l’action, pas dans la réaction. Votre capacité, c’est d’émettre de la Lumière, pas d’attendre qu’elle tombe du Ciel. Elle vous assistera, elle sera énergie pour que vous soyez Lumière, vous, cette force du Ciel. Vous êtes la Lumière de ce monde.

Par conséquent, ne vous inquiétez pas des mouvements d’énergies, des mouvements de troupes, des mouvements même intellectuels à l’intérieur de vous. Posez cette agitation. Choisissez. Levez-vous. Tiens-toi debout. Homme, lève-toi. Femme, lève-toi. Enfant, lève-toi, car le Ciel est là, te répétant encore et encore que ce monde dont tu rêves est à ta portée plus que jamais, malgré toute apparence.

Le temps et l’époque vont vous mener à montrer votre valeur lumineuse, votre capacité à aider, à progresser, à faire progresser vos frères et vos sœurs, vos voisins d’abord. Il s’agira ici, d’être dans ce véritable courage qui est de traverser des zones d’adversité ensemble.

Puis il y a tous ces Êtres déjà réunis dans la Lumière, déjà réunis dans l’Amour qui sont autour de vous. Il y a toute cette Nature dont vous voyez qu’elle commence à se développer à nouveau, à revivre, à festoyer, à donner tellement de raisons à continuer à donner des fruits. Elle nous invite cette Nature, elle nous invite cette vision du monde à nous relever nous aussi. Elle nous invite à fleurir à nouveau, à croire en la Nature, à ne pas se désespérer de quoi que ce soit.

Après vous avoir dit que oui, le temps est au courage, je tiens à vous dire que ce monde reçoit énormément de Lumière, énormément d’Amour. En conséquence, il s’agit de regarder, de voir l’invisible, de percevoir l’invisible, pas notre assistance angélique, elle est là bien sûr, mais bien ce qu’il se passe dans le monde visible : ces êtres qui commencent à dépolluer la planète, ces êtres qui entre eux s’entendent parfaitement bien sans chercher à créer de différences, ces êtres qui sont dans le partage et la bienveillance, et qui commencent à s’apercevoir que les ressources qu’ils ou elles ont en trop peuvent être partagées, données, distribuées encore et encore, et encore.

J’aimerais vous dire que le Jardin d’Eden est à portée immédiate, je peux juste vous dire que vous êtes sur ce chemin. Vous êtes sur cette route, vous êtes sur cette voie.

Et puis, voilà que je voudrais porter ma Lumière sur cette apparence qu’est votre corps. Voilà que je voudrais poser ces particules de Joie, ces particules d’Amour sur vous.

Souvenez-vous concernant votre corps qu’il existe une matrice parfaite, qu’il existe un modèle de votre corps qui est en parfaite santé, en parfaite harmonie, en parfaite adéquation, comme neuf diriez-vous. Ce modèle est présent dans une dimension qui est déjà présente sur Terre.

C’est pourquoi vous êtes invité à juste vous dire simplement quelques mots parfois, réellement avec une foi totale, entière, une sorte de connaissance absolue de ces mots :

« J’accepte de recevoir la matrice originelle et parfaite de mon corps, pour cette incarnation-là. — J’accepte de recevoir la matrice parfaite de mon corps pour cette incarnation. »

Ce sont quelques mots qui acceptent.

Alors peut-être faut-il poser cette question-là : qu’est-ce qui en vous n’accepte pas, d’être en parfaite santé, en parfait état, dans un monde d’une grande bienveillance ? Qu’est-ce qui ne l’accepte pas en vous ? Qu’elle est cette part de vous qui ne l’accepte pas ?

Cette part, c’est celle qui ne se pardonne pas. C’est celle qui n’a pas pardonné un événement du passé, du présent ou du futur. C’est celle qui cherche encore des coupables et surtout en vous-même quelquefois. Cette autoculpabilisation, cet autosabotage, voilà ce qui peut vous empêcher d’atteindre cet état-là, cette énergie-là.

Acceptez de vous pardonner. Pardonnez-vous d’abord d’avoir cru que vous étiez uniquement le corps. Pardonnez-le-vous. Comprenez que vous êtes bien plus qu’un corps.

Vous le savez, quand vous rêvez, quand vous êtes dans des états dits modifiés de conscience, vous êtes capable de penser et d’interagir avec ce monde, en pensées.

Et là, je vous pose cette question, mes amis, est-ce que vous pensez que vos pensées sont dans votre corps ? Est-ce que vous pensez que vos pensées sont dans un réservoir à l’intérieur de votre cerveau ? Est-ce que vous pensez que votre raisonnement lui aussi est une sorte de câblage filaire, neuronal, diriez-vous ?

Non. En vérité, aucune pensée n’est dans le corps.

Dans le corps vous avez un personnage, un ego, qui est comme un fantôme dans cette machine, qui la maintient en vie. Le rôle de l’ego, c’est aussi de maintenir le temps stable, puisque la nuit, puisque le jour, dans des moments difficiles différents, vous vous évadez figurez-vous. Et pendant que votre esprit part ailleurs, il n’y a plus de temps. Vous n’êtes plus dans le même temps. Quand vous revenez dans votre corps, il faut que l’expérience soit cohérente, il faut que l’expérience soit entière, et c’est là que cet ego vous repositionne dans le bon temps et le bon espace.

 

En fait, cet ego est dans le corps mental, qui est lui-même dans le corps physique. Il sert à positionner votre esprit ici, par contre il n’est pas pensées. Il n’est pas vos pensées. Il raisonne avec vos pensées, c’est-à-dire que vous entendez des pensées, et derrière, vous entendez ce jugement de la part de cette énergie que nous pouvons appeler ego, qui va trouver que votre pensée est correcte ou pas correcte, qu’elle est juste, qu’elle n’est pas juste. Voilà que vous vous autojugez, donc ? Que se passe-t-il donc dans un tel état ? Posez-vous la question.

En vérité, vos pensées sont issues de cette part de vous qui est en dehors de vous. Vos pensées proviennent d’une part de vous-même qui est déjà avec nous, qui est déjà dans ce que vous appelez dans l’Au-delà, de plus, vos pensées proviennent aussi de ce mental Supérieur, de ce Moi supérieur, de cette Conscience supérieure qui est votre véritable parent. Par voie de conséquence, vos pensées, vous ne les produisez pas en fait, vous les entendez. C’est difficile à entendre, je sais que ce discours est difficile même à comprendre. Vous entendez vos pensées.

Que sont vos pensées, alors ? Eh bien, vous envoyez un état émotionnel comme une sorte de message. Votre état émotionnel, la somme de vos énergies est reçue par votre Conscience supérieure qui finalement répond en disant : ʺtu es en train de rayonner ou de dire ceciʺ. Alors, enlevez ce ʺtu es en train deʺ, et vous n’entendez en définitive que la fin d’un message que vous appelez vos pensées.

Même si vous étiez en ce moment en train de penser « je ne comprends pas ce qu’il raconte cet Archange », c’est parce qu’à un moment vous aurez émis l’émotion qui exprime quoi, des points d’interrogation, une sorte de pression, une sorte de déséquilibre en vous que vous aurez envoyé comme énergie à l’univers. Et l’univers répondra : ʺAh ! Tu ne comprends donc pas Raphaëlʺ, qui sera traduit de votre conscience-ego justement, de cette partie égotique, par ʺtu ne comprends pasʺ => « Je ne comprends pas. » Dès lors, vos pensées sont un système de réception de votre émotion.

Travaillons cela si vous le voulez bien parce que nous allons comprendre à quel point c’est important.

Maintenant, nous allons ensemble faire un petit exercice qui va juste générer une émotion. Nous n’allons pas penser, réfléchir ou prononcer le moindre mot, juste nous mettre dans un état vibratoire émotionnel.

Alors, vous pouvez fermer vos yeux,

et simplement imaginer que vous avez devant vous un enfant : un enfant avec les yeux pleins de Lumière, un enfant avec des yeux pleins d’Amour, un être qui est là, qui a quelques années. Le regard de cet enfant est si pur, si grand.

Et vous voyez, vous percevez, cet enfant qui s’approche de vous.

Il vient vers vous comme s’il ne vous avait pas vu depuis tellement longtemps,

et vous allez pouvoir l’embrasser de vos bras.

Voyez les pensées qui arrivent maintenant.

Elles sont de quel ordre ?

C’est merveilleux ! Je l’aime et il m’aime, ou je l’aime et elle m’aime !

Ces pensées-là sont une réponse à votre émotion. Ces pensées-là sont une réponse à votre énergie.

Notez que cela a une cause et une conséquence physiologiques dans votre corps. Ce que vous avez produit comme émotion, ce que vous avez ressenti, récupéré comme émotion et comme pensée a un impact sur votre corps.

Peut-être y en a-t-il parmi vous quelques-uns qui sont dans la frustration, tout simplement du seul fait qu’ils n’ont pas réussi à visualiser ce que je viens de dire. De la sorte, leur pensée leur a dit « je ne vois rien, je n’entends rien, je n’arrive jamais à visualiser », et cette pensée a déjà eu un impact sur votre corps. Cela a déjà créé un état émotionnel puissant en vous.

Je vous dis ceci pour que vous vous aperceviez qu’en fin de compte, dans une grande majorité des cas, ce sont vos pensées, l’acceptation de celles-ci qui provoque des états du corps, qui provoque par conséquent la plupart du temps, concrètement, des états de dysfonctionnement du corps aussi quand vous acceptez trop de pensées perturbantes qui, somme toute, viennent seulement poser une interrogation, en l’occurrence pas poser un point final à votre réflexion.

Quelquefois même, vous entendez en vous une pensée du style « mais alors, je dois vraiment être bête » et vous vous arrêtez là. Ne vous arrêtez pas là. Ne vous rendez pas malade justement de cette parole qui est fausse, puisqu’elle est là pour que vous soyez capable de rebondir, de vous lever comme je l’ai dit précédemment, et de vous dire : « Non. Non, je ne suis pas bête. Je suis dans mon mode de penser. Je suis peut-être dans mon propre monde, dans ma définition du monde, pour autant non, je ne suis pas bête. Je suis la fille, le fils du Divin. »

 

C’est quoi être bête, sérieusement ?

De ce fait, comprenez que vos pensées dans votre tête sont en fait des propositions, de simples propositions. Voyez vos pensées complètement différemment.

Prenez un temps d’arrêt de temps en temps. Est-ce que j’accepte ma pensée, est-ce que je la refuse ? Et à la place de refuser, vous pourriez dire : est-ce que je vais la changer ?

« J’ai cette pensée que ce monde part droit à la catastrophe ». C’est faux, les amis. Il ne part pas à la catastrophe, ce monde se transforme. Oui. Ce monde s’améliore aussi. Oui. Oui. Je sais que vous avez envie de dire non. Je sais que vous avez des pensées contradictoires du style « non, il ne s’améliore vraiment pas. C’est même de pire en pire chaque jour. » C’est faux. Prenez un peu plus de recul, les amis.

Voyez, à chaque fois que quelque chose doit être reconstruit, il faut que quelque chose soit détruit. C’est le sens même de l’enseignement d’un autre être qui s’appelle Shiva, il faut qu’une destruction intervienne pour qu’une construction apparaisse. Il faut que quelque chose soit à son paroxysme du pire pour aller mieux.

Vous l’avez vécu même dans le processus d’autoguérison de votre corps, un processus puissant, un processus important. Avant de passer dans ce processus d’autoguérison, vous passez souvent par une phase que vous appelez aigüe d’une maladie. Pendant quelques heures ou même quelques jours, vous allez être éventuellement au paroxysme d’une fièvre, d’un tremblement, d’un affaiblissement, et tout de suite après votre énergie va remonter. Votre « combat » intérieur aura été gagné. Il faut passer par cette phase aigüe. Il ne faut pas l’ignorer, sans quoi vous allez, au bout du compte, créer généralement une maladie plus grande tôt ou tard.

De la même manière, acceptez que le monde soit un système qui s’autoguérit, seulement qui passe par un paroxysme là aussi, pour créer son autodéfense, pour pouvoir mobiliser ses troupes blanches. Dans votre corps vous parlez de globules blancs, moi je vais parler de cette Fraternité Blanche que vous êtes aussi tout compte fait, dont vous faites partie pour beaucoup d’entre vous. Il s’agit d’être les anticorps de ce monde, ceux qui ne vont pas s’arrêter du fait que ce qui semble s’opposer est trop gros ou difficile, réellement ceux qui savent, qu’ensemble, tout est possible. Oui, ensemble tout est possible, et nous sommes là aussi.

Je reprends le début de mon discours en vous disant que je vous envoie plein de Lumière, plein d’énergie, plein de force de guérison, néanmoins, allez-vous l’accepter ? Vous en sentez-vous digne puisque c’est la question que vous vous posez ? Vous, pas moi. Pensez-vous que je vous dirais que j’envoie de l’énergie si je vous pensais indigne de la recevoir ? Non. Vous êtes digne de recevoir cette énergie. Vous êtes digne de recevoir ce qui vous traverse là, ici, maintenant, et qui potentiellement dans votre corps provoque tout un tas de microchangements, fait circuler les énergies un petit peu différemment.

Je cherche à fluidifier l’espace en vous, à vous libérer, à vous montrer depuis le début de mon discours que oui, il faut se lever, oui, il faut être dans l’action, mais que tout est encore possible pour vous et pour la multitude. Tout est encore possible.

Votre état vibratoire, votre énergie, votre joie sont plus que jamais nécessaires, car elles sont la vibration qui permet l’arrivée de la Lumière sur cette Terre.

Comment employer des mots terrestres pour vous faire comprendre ce que j’essaie de vous dire ?

Nous entendons vos prières en ce moment, de manière planétaire : « Aidez-nous. Ne laissez pas faire cela. » Nous envoyons toute notre Lumière, tout notre Amour, et nous aussi nous prions et nous disons : ʺÉcoutez-nous. Recevez cette Lumière.ʺ C’est comme si vous lanciez un appel sans attendre de réponse la plupart du temps, croyant que nous allons, depuis là où nous sommes, agir sur la matière alors que nous n’y sommes pas incarnés.

Nous le pouvons éventuellement et avec l’intercession Divine de votre Conscience supérieure, pour ceux qui y sont associés complètement. En revanche, pour les autres, nous ne pouvons que mettre à disposition une énergie, mettre à disposition des informations qui vont éclairer ce monde, nous l’espérons.

Pour les recevoir, il faut accepter de recevoir, et à l’occasion, de temps en temps, chères âmes, chères Consciences incarnées, vous poser dans l’instant et dire :

ʺJ’accepte de recevoir la Lumière. J’accepte de recevoir les informationsʺ.

Par contre, ne dites pas cela en vous disant : « Oh ! il ne va rien se passer. On verra bien. Je ne sais pas. » Recevez. Croyez.

Alors que tout a été fait pour détruire votre foi par les forces involutives de ce monde, les forces évolutives de ce monde et des autres, cherchent à vous dire :

ʺEnfant de Lumière, réveille-toi à ta propre foi. Enfin, crois, vraiment ! Sache, au plus profond de ton être, qui tu es, et reçois. Ne crois pas que tu vas recevoir, sache profondément que tu reçois, quoi qu’il arriveʺ car à chaque instant, vos pensées sont des propositions, et les énergies tombent sur cette Terre comme la pluie.

Certaines de ces énergies sont uniquement des énergies de maintien en vie, et ces énergies-là vous les avez appelées prana, par exemple, ou d’autres noms lumineux. Ces énergies sont reçues par votre corps physique. Toutefois, il y a d’autres énergies informationnelles, qui peuvent atteindre votre corps mental, votre corps émotionnel, spirituel, atmique, bouddhique, éthérique, astral, peu importe le nom de ces multitudes de couches qui représentent votre expérience sur Terre.

À présent, nous acceptons de recevoir de votre part quelques questions. Si elles sont proportionnelles à mon discours, je vous écoute.

Qu’avez-vous à me demander ou à nous demander afin de prolonger un peu ce discours de courage, de bienveillance que nous posons sur vous pour vous dire : « ne vous inquiétez pas. Ce monde se transforme pour sa Lumière et vous êtes une part de cette Lumière, vous êtes une part de cet Amour », et vous êtes invité à comprendre que vos pensées sont des propositions que vous pouvez accepter ou refuser, tout simplement.

Vous nous posez cette question qui n’est pas liée à mon discours mais qui est liée à la guérison en général de comment guérir une addiction ?

 

Je peux vous aider. L’Archange Jophiel aussi peut vous aider en cela. Comprenez que derrière toute addiction il y a un processus qui consiste à vous faire plaisir. Or, si vous voulez vous faire plaisir par quelque chose qui a une puissance forte de plaisir, c’est que vous ne trouvez plus de plaisir dans les choses simples. Alors je vous le dis, faut-il qu’on vous enlève quelque chose dans votre vie pour que vous voyiez à quel point c’est important ?

Souvent, les gens qui se réveillent et se soignent d’addiction sont des gens qui, finalement, auront perdu à travers cette addiction quelque chose, auront perdu quelque chose d’important. C’est pourquoi je vous le dis, priez-moi, Raphaël, ou priez l’Archange Jophiel pour vous aider dans ce point, de plus, comprenez que vous êtes invité à retrouver le goût réel des petits plaisirs de ce monde.

Les petits plaisirs de ce monde sont très nombreux. Ils vont du moindre brin d’herbe — réfléchissez, aimeriez-vous voir la verdure ou être en plein désert ? C’est votre choix, certains préfèrent être dans le désert —, mais si vous êtes dans le décor que vous choisissez, soyez heureux ! Si vous mangez ce que vous avez choisi, soyez heureux ! Si vous allez là où vous avez choisi, soyez heureux ! Et soyez heureux de choses simples, du contact que vous avez avec vos amis, vos frères, vos sœurs, de ces petits moments-là. Ils ne sont pas habituels et normaux, ils sont des exemples de joie et de bonheur qui vous sont donnés chaque jour mais vous passez à côté. Vous passez à côté pour la seule raison que vous avez été habitué à vouloir plus de joie, plus de paix, plus d’amour, sans voir que tout était déjà là chaque jour. Vous voulez ʺ100ʺ en une fois plutôt que de vouloir ʺ1ʺ à chaque instant.

Invitez-vous à comprendre ceci. Invitez-vous à retourner à des plaisirs simples. Priez-nous pour vous aider dans cette addiction, avant tout comprenez, comprenez d’abord cela, tout est déjà là. Toute cette possibilité de paix, de bonheur et d’amour, toutes ces possibilités sont déjà là. Regardez à nouveau ce monde. Ne le voyez pas avec vos lunettes déformantes plutôt avec vos lunettes roses, avec ces lunettes faites d’amour et vous verrez l’amour dans la nature, vous verrez l’amour dans le moindre objet. Toutes ces choses pour lesquelles vous poseriez votre colère ou votre assentiment si elles n’étaient pas là, admirez-les, quand elles sont là. Respectez-les, quand elles sont là. La gratitude est la force qui supprime les addictions. Alors, soyez dans cette force de gratitude.

Vous nous demandez à quoi ressemble le prana ?

Le prana ressemble, quand vous le voyez à travers vos yeux physiques, à des points lumineux étant capables d’avoir leurs propres mouvements, leurs propres énergies. Ce sont généralement des points lumineux qui descendent vers vous. Ils ont leur propre énergie de vie, cette énergie a sa propre énergie. Et il y a beaucoup de manières de voir ou percevoir ce prana, c’est comme une pluie d’or, si je devais la caractériser.

Vous nous demandez comment refuser une pensée non bénéfique ? En nous connectant à une bénéfique ? nous posez-vous comme question.

« Ce n’est pas mon souhait, je désire la Paix, je désire l’Amour, je désire la Joie. Seigneur, je t’offre ces pensées négatives et j’accepte la Lumière. »

L’idée est donc en effet d’effacer une pensée négative par une pensée positive, diraient certains, c’est surtout de vous dire, vis-à-vis de ce qui vous a traversé, tout de suite : « NON. Ce n’est pas mon désir. Non. »

Il ne s’agit pas, je le répète, d’être dans le rejet ou le déni, simplement de vous dire « cette pensée, je la libère. Cette pensée, je me la pardonne ». C’est-à-dire, je me pardonne même d’avoir eu cette pensée, dans la mesure où elle correspond en fait à ce qui semble être, dans l’apparence. Donc, pas de déni, je la libère, je l’offre au Ciel. Je l’offre à l’univers et je demande à ce qu’elle soit transformée.

Et puis, effectivement, je vais tourner mon regard vers ce qui va et pas vers ce qui ne va pas, vers ce qui est en paix et pas vers ce qui est en guerre, juste tourner mon regard et dire « voilà, cette paix que je ressens sur ce regard-là, je peux la diffuser ».

Parce que c’est ça le truc, c’est de capter vos pensées. Vous n’en avez pas l’habitude, vous ne vous écoutez pas ou plutôt vous êtes dans une écoute hypnotique de vous-même, c’est-à-dire que vous n’arrivez pas à réagir et être capable de dire « non, je ne sais pas d’où vient cette pensée mais je n’en veux pas. »

Comprenez que vos pensées sont des propositions. Elles ne sont pas vous, elles ne vous définissent pas. Elles sont ce qui rayonne et résonne par rapport à l’énergie que vous envoyez dans l’univers.

Alors, quand vous entendez une pensée négative, posez-vous au moins cette question : ʺqu’est-ce que j’ai émis comme émotion qui m’a renvoyé cette pensée ?ʺ Et mettez le processus à l’inverse : ʺJe vais me mettre dans une position de rayonner une énergie différente. Je vais infiltrer une pensée parmi ces pensées pour rayonner autre chose et recevoir donc autre choseʺ, car c’est un cycle. Vos pensées produisent des émotions, les émotions produisent des pensées, par contre souvenez-vous, dans ce cas ce n’est pas la poule et l’œuf, ce fameux dilemme, le premier, c’est toujours l’émotion. C’est toujours l’émotion qui est à la source de vos pensées. Après, des pensées viennent valider cette émotion ou en créer une autre. Il s’agit par conséquent de créer une émotion différente pour changer ses pensées.

C’est ainsi.

 

Ne devrions-nous pas accepter de vivre l’expérience de la souffrance plutôt que de vouloir s’en débarrasser pour justement en guérir vraiment ?

Certains choisissent ce chemin, Madame, mais ce n’est pas un chemin obligatoire. Il y a toujours d’autres chemins d’apprentissage que celui qui passe par la souffrance.

Si vous utilisez le chemin de la souffrance, c’est que vous souhaitez vraisemblablement un chemin accéléré, probablement un chemin plus rapide, c’est vrai, que certaines autres formes d’apprentissage. Cependant, vous n’êtes pas venu sur ce monde pour apprendre uniquement par la souffrance.

Vous êtes venu vivre, apprendre, par l’épreuve, oui, toutefois l’épreuve n’est pas toujours une souffrance. Parfois, l’épreuve est une question : Veux-tu aller là ou là ? C’est déjà une épreuve que de choisir dans son intention, dans son cœur et avec ce qui est aligné avec nous.

Passer par le corps, faire de ce corps un corps de souffrances est un moyen, néanmoins ce n’est pas obligatoire, je vous le dis. Entendez-moi, ce n’est pas le seul chemin, c’est un chemin. Il est tout à fait vénérable pour bien des gens. Il aura été sans doute le meilleur enseignant pour bien des gens. Malgré tout, je l’affirme encore une troisième fois, ce n’est pas un chemin obligatoire, en aucun cas.

Puis-je espérer guérir mon corps à ce stade ? Ai-je encore à évoluer ?

Il n’est aucun stade d’aucune maladie qui ne puisse être éclairé de la Lumière.

Je ne parle pas forcément ici d’une guérison du corps physique dans la mesure où, parfois, la guérison c’est de rejoindre l’Au-delà. En tout cas, il n’est aucun stade, je le répète, d’aucune maladie qui ne puisse être éclairé du Divin, qui ne puisse permettre à la Lumière de passer à travers vous, à une compréhension sincère et profonde de votre nature Divine de pénétrer votre corps, à ce schéma parfait dont je parlais de vous atteindre. Cela demande beaucoup de foi.

Voyez, supprimer un léger mal de tête demande une petite foi éventuellement diront certains. Si vous étiez capable d’avoir cette petite foi absolue, même pour un grand événement, elle aurait le même effet.

Vous pouvez soulager une petite douleur de la même manière que vous pouvez soulager une grande douleur. Or, simplement, en effet, vous avez l’impression qu’il faut une foi immense, plus grande, quand il s’agit d’une grande maladie, et une petite foi suffirait pour une petite maladie ? En vérité il n’y a pas d’échelle à la foi. Guérir un mal de crâne ou ce que vous appelez un cancer en phase terminale ne demande pas plus de foi mais la même foi par contre.

Ce sont les obstacles à cette foi qui sont sans doute plus nombreux. En l’occurrence, la demande à l’univers, cette demande d’énergie, cette demande que la Lumière vous traverse, cette demande est la même, quelle que soit l’intensité de ce que vous vivez. Ainsi, il faudra travailler les obstacles à cette Lumière. « Je ne suis pas digne. Il est trop tard », ce genre de choses sont des obstacles. Il n’est jamais trop tard.

Comprenez que cette Lumière va traverser votre corps et, soit, guérir, soit, vous apprendre à faire avec, soit, vous montrer le sens profond de ce que vous êtes en train de traverser. Il faut que cette Lumière soit demandée avec foi, amour et intelligence de ce moment, c’est-à-dire en Conscience du fait que tout ceci va vous amener à votre plus grand bien, à la plus grande version de vous-même.

Il en est ainsi.

Est-ce que nous savons qu’il est difficile de croire quand on vit des moments difficiles ?

C’est sans doute dans ces moments-là que croire est un véritable exercice. Nous le disons souvent, aimer quelqu’un que vous aimez déjà, c’est facile, tandis qu’apprendre à aimer ? Apprendre à aimer c’est difficile. Or, c’est clairement le but de votre existence.

Comment as-tu aimé ? Qu’as-tu fait pour les autres ? Voici ces questions primordiales, essentielles, qui vous seront posées à tous et à chacun quand vous nous rejoindrez.

 

Comment as-tu aimé ? Pas ce qui est facile d’aimer. Bien entendu, cela comptera, et c’est fort, puissant, intéressant, en revanche, comment as-tu appris à aimer ? Comment as-tu appris à pardonner ? Comment as-tu appris à poser la Lumière sur l’ombre ? Là est le défi.

Dans ces circonstances, bien sûr que parfois il est difficile de croire. Tout de même quand ceci est posé, c’est bien parce que vous avez décidé de vous mettre dans cette épreuve de foi, dans cette épreuve d’amour, et le but est là. Et je vais vous le dire, plus la difficulté est grande et plus votre force d’amour possible est immense, car, soyons très clairs, vous ne vous mettez jamais dans une épreuve qui ne puisse vous mener à la victoire. Jamais. Quoique vous en pensiez. Jamais, vous ne vous êtes posé une épreuve qui ne puisse vous amener à votre parfaite victoire sur la Terre et dans les Cieux.

Cela signifie donc que oui, il va vous falloir développer des qualités pendant ces moments de manque de foi, pendant ces moments de manque d’énergie, pendant ces manques de manière générale. Combler ces manques, apprendre à corriger ces blessures est bien le sens même de votre existence. Et c’est là que vraisemblablement il va falloir, plus dans ces moments-là que dans d’autres, dire « J’accepte de recevoir la Lumière de l’Invisible » pour comprendre qu’en vérité, vous n’êtes pas non plus seul dans cette épreuve.

Parce que vous avez mis à vos côtés bien des Guides, bien des anges et bien des forces, que vous n’entendez peut-être pas, que vous ne comprenez peut-être pas, pourtant qui de toute façon répondront à votre appel que celui-ci soit sincère ou non, appelez-nous tout de même à votre aide. Quand je dis ʺsincère ou nonʺ c’est que quand une personne appelle à l’aide, même si elle n’y croit pas elle vient d’appeler à l’aide, par conséquent, d’une certaine manière elle y croit déjà, sinon elle ne prononcerait même pas cet appel.

Alors, nous sommes là pour vous aider à passer ces épreuves, mais comprenez que chacune d’entre elles est un trésor merveilleux, qu’elle soit dans le corps ou en dehors du corps, tout simplement.

Vous nous demandez des bonnes idées, de bonnes initiatives pour agir.

Nous en avons envoyé à des milliers, des millions de personnes, pour autant combien se sont dit après : « Ah, mais moi, tout seul je ne pourrai pas. — Ah ! Oui, peut-être, mais — Oui, mais. » Reprenez ces idées que nous avons envoyées. Cessez de vous dire que seul on ne peut rien. C’est vrai, toutefois vous trouverez des gens à vos côtés si vous sentez la justesse de ce que vous faites, la justice de ce que vous faites.

Vous savez, des Guides comme Marie, Jésus, Bouddha, le Prophète Mahomet, Shiva, tous ces Guides-là, tous ces Guides en ce moment lancent un appel à la foi, un grand appel à la croyance, un grand appel au ʺrepentez-vousʺ, c’est-à-dire à vous dire simplement « Réveillez-vous quoi ! », juste ʺréveillez-vous !ʺ, juste ʺlevez-vous !ʺ, juste ʺrayonnez cette paix, cet amour qu’on essaie de vous enlever ! Rayonnez la joieʺ. Vous pouvez le faire. Même si on vous a tout enlevé, vous pouvez encore le faire.

 

Voilà ce qu’est l’action juste, ce n’est pas autre chose qu’Être juste, que d’agir juste. Il faut l’Être, pas simplement — je ne vous parle pas ici d’une action pour une action — pour paraître. « Oh je suis dans le bon combat ! », non, non, non, non, non, non. Soyez vous-même l’exemple, de temps en temps quand vous le pouvez, dès que vous le pouvez, de tout cela, de tout cela.

Soyez bienveillant avec vous-même, s’il vous plaît, car souvent vous êtes très dur avec vous-mêmes, très dur.

Comment ce monde va-t-il évoluer, va-t-il se guérir, manifester l’amour ?

Ce monde évolue déjà, ne vous en inquiétez pas.

Soyez bénis dans la Lumière.

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Source : https://sylvaindidelot.com

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