Transmission de Maya de Erra ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
“Bonjour, cher bizarroïde.
Oui, vous, celui qui se demande parfois s’il existe une expression faciale correcte pour « ascensionner ».
Celle qui se sent coupable de ne pas être définitivement heureuse après avoir acheté cette bouteille d’eau infusée de cristaux.
Celui ou celle qui ne cesse de changer de rôle comme lors d’une fête costumée galactique :
Professeur avisé. Introverti mystique. Enfant intérieur blessé. Licorne éclairée.
Laissez-moi vous dire quelque chose d’important : écrivez-le avec des paillettes s’il le faut :
Vous n’avez jamais été destiné à être une marque cohérente.
Vous êtes venu ici pour être sauvagement incohérent de la manière la plus authentique possible.
Pour être une petite tempête, un petit rayon de soleil, une créature étincelante un peu confuse qui mange parfois du beurre de cacahuète à même le pot à 2 heures du matin et qui pleure pendant les documentaires sur les arbres.
Vous êtes venu sur Terre non pas pour vous faire approuver, mais pour vous rappeler à quel point il est amusant d’être pleinement, merveilleusement et honteusement vous-même.
Savez-vous combien d’êtres dans l’univers ont auditionné pour votre rôle avant que vous n’arriviez ici ?
Des milliards.
Et vous avez quand même obtenu le rôle.
Cela signifie que vous êtes la personne idéale pour oublier votre texte et inventer votre propre danse à la place.
Permettez-moi de le dire haut et fort, avec des rires interdimensionnels :
Arrêtez d’essayer d’être bon en tant qu’être humain.
Être humain, c’est comme faire de l’improvisation sans scénario et avec des éclairages bizarres.
Il n’y a pas de prix pour l’expression faciale la plus appropriée sur le plan spirituel.
Personne ne distribue de trophées pour la « Meilleure définition des limites tout en souriant simultanément avec votre troisième œil ».
Et ces rôles que vous continuez à jouer ?
La mère, l’épouse, le mari, l’enfant parfait…
Celui qui ne se met jamais en colère mais qui mijote secrètement comme une bouilloire.
Ils sont tous adorables, mais ce ne sont que des accessoires.
Alors, comment s’aimer soi-même ?
Vous enlevez le masque.
Vous enlevez l’autre masque qui se cache sous le premier.
Vous enlevez le costume, le ton de voix emprunté, les chaussures serrées que vous avez mises pour que quelqu’un d’autre se sente à l’aise.
Et en dessous de tout cela, vous êtes là : toujours en train de respirer, toujours divin.
Vous vous aimez en n’éditant pas les parties bizarres.
En laissant votre âme éructer des vérités au milieu d’un moment parfaitement maîtrisé.
En riant de votre propre sérieux spirituel et en le laissant se fondre dans une flaque de rire cosmique.
Vous vous aimez en réalisant que les rôles sont temporaires, mais que c’est votre fréquence, cette essence bizarre, bancale et sauvagement irréprochable, qui est le véritable spectacle.
Alors, retirez votre rôle. Renvoyez le metteur en scène intérieur. Annulez l’essayage du costume.
Et marchez sur la scène de votre vie avec rien d’autre que votre honnêteté et un sourire légèrement tordu.
C’est cette version de vous que nous aimons le plus.
Celle qui n’en fait pas trop.
Celle qui dit : « Je n’ai aucune idée de ce que je fais, mais je fais confiance à la vibration ».
Celle qui est déjà libre, si seulement vous arrêtiez de répéter et commenciez à danser.
Avec la lumière des étoiles, du thé fait de rires et une chaussure légèrement détachée,
Maya de Erra
(Votre amie galactique qui a aussi essayé une fois d’être parfaite pendant 37 minutes et c’était épuisant.)”
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://www.facebook.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
