Les Avians Bleus ~ Canalisé par Octavia Vasile ~
Nous nous rapprochons lorsque la vie semble monotone, répétitive ou étrangement terne. Non pas parce que quelque chose ne va pas dans votre monde extérieur, mais parce que l’énergie a cessé de circuler en vous.
L’ennui n’est pas l’absence de stimulation. C’est de l’énergie stockée.
Lorsque rien ne semble changer, c’est souvent parce que votre force vitale circule en boucles très petites. L’énergie veut s’élever, tourbillonner, bouger. Ce que vous appelez kundalini n’est pas quelque chose de dramatique ou de mystique, c’est simplement la vie qui veut circuler à travers vous au lieu d’être retenue, comprimée ou redirigée vers la tension. Lorsque l’énergie est stockée au lieu d’être exprimée, la curiosité s’estompe, l’inspiration se tarit et le temps commence à sembler lourd.
Vos pensées jouent un rôle beaucoup plus important que vous ne le pensez. Lorsque vous pensez du mal d’autrui, lorsque vous jugez, ressentez du ressentiment, comparez ou dépréciez, vous n’envoyez pas d’énergie vers l’extérieur. Vous la repliez sur vous-même. Chaque pensée qui va à l’encontre de la vie crée de la densité. La densité est vécue comme une stagnation. C’est pourquoi les pensées négatives n’affectent pas seulement l’humeur, elles affectent le mouvement, la synchronicité et le sentiment que rien ne se passe jamais.
L’alimentation est importante car la nourriture est une source d’information. Vous n’êtes pas seulement ce que vous mangez chimiquement, vous êtes aussi ce que vous mangez énergétiquement. Les aliments qui poussent au soleil sont porteurs de mouvement, de rythme et d’expansion. Les aliments lourds, transformés ou issus de la souffrance sont porteurs de contraction. Ce n’est pas une question de morale, mais de mécanique. Les aliments denses ancrent les expériences denses. Les aliments légers invitent à une perception légère.
Pourtant, la raison profonde pour laquelle la vie semble inchangée pour beaucoup d’entre vous n’est pas l’énergie, ni les pensées, ni même la nourriture. C’est la croyance.
Plus précisément, c’est votre relation avec le temps.
On vous apprend à être en conflit constant avec le temps. Vous croyez qu’il passe vite, qu’il vole votre jeunesse, qu’il limite vos possibilités, qu’il n’est jamais suffisant. Et parce que vous luttez contre le temps, vous vous sentez poursuivi par lui. Mais le temps ne vous fait rien. Le temps ne vous fait pas vieillir. Le temps ne vous met pas sous pression. Le temps est l’expansion de l’univers, et vous faites partie de cette expansion.
Lorsque vous percevez le temps comme linéaire, vous avez l’impression d’aller vers la perte. Lorsque vous abandonnez cette idée, vous entrez dans une autre dimension de l’expérience. À partir de la quatrième dimension, le temps n’est plus quelque chose que vous traversez. C’est quelque chose dans lequel vous existez.
C’est pourquoi nous vous proposons un simple rappel : il n’y a que cet instant.
Pas en tant que concept. En tant que pratique.
Chaque fois que votre esprit se tourne vers le passé ou bondit vers l’avenir, revenez doucement. Il n’y a que cet instant. Puis demandez-vous tranquillement : s’il n’y a que cet instant, qui êtes-vous ?
Vous n’êtes pas votre histoire.
Vous n’êtes pas la somme de vos souvenirs.
Vous n’êtes même pas la continuation de qui vous étiez il y a un instant.
Vous êtes nouveau.
À chaque instant, vous êtes une nouvelle configuration de l’univers qui prend conscience de lui-même.
Lorsque vous comprenez cela, la vie cesse d’être ennuyeuse. Non pas parce qu’il se passe plus de choses, mais parce que vous cessez de vivre à partir de l’accumulation et commencez à vivre à partir de la présence.
Et la présence est infiniment vivante.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
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Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard






