Canalisations

Atena : Je viens des Pléiades

 

Canalisé par Foelia

Il y a un appel d’Atena.

Laina

Oui, allons-y ensemble. Élevons-nous profondément !

Drôle de manière de le dire !

L’humour peut nous transporter sur les fréquences de la joie. Mais ici, ce n’est pas seulement de l’humour, c’est aussi une convocation à considérer une réalité : tu penses qu’il te faut rejoindre le vaisseau-monde d’Atena en transposant ta conscience du sol vers une orbite terrestre donnée. Or, ce n’est pas le bon chemin, tu le sais.

C’est vrai.

Atena est en nous, elle n’est pas à quelques kilomètres d’altitude.

Atena

Je suis là, Foelia. Je suis venue à ta rencontre pour répondre à ta question et t’expliquer un peu plus adéquatement d’où je viens.

Nous avons parlé des Pléiades. C’est mon monde d’origine, celui sur lequel j’ai fait la plus grande partie de mon apprentissage, celui sur lequel j’ai vécu, expérimenté, intégré bien des aventures, qui font de mon âme une demeure assez vaste pour contenir aujourd’hui de nombreuses consciences en éclosion.

Exactement comme Laina t’a traduit mon appel, je vais te répondre que les Pléiades ne sont pas des mondes auxquels vous pouvez accéder par l’extérieur. Dans votre compréhension des choses, qui est d’un certain point de vue très fantaisiste, ou dirons-nous simplement enfantine, il suffirait d’envoyer un vaisseau solterien vers cet amas d’étoiles pour y rencontrer d’autres humanités. Je dois vous apporter bien des nuances sur le sujet, afin que vous puissiez, peu à peu, mieux intégrer les nouvelles notions de géographie cosmique.

Note bien : on ne voyage pas à l’extérieur de soi. Je dirais même qu’on ne voyage jamais à l’extérieur de soi, pour la simple et bonne raison que ce que vous nommez l’extérieur est une simple projection cinématographique, qui a pour toile de fond votre propre âme. Ce que vous parvenez à distinguer de vous, c’est justement ce que vous parvenez à projeter sur cette toile, avec l’état de conscience qui est le vôtre en un point précis de l’espace et du temps.

 

Entrez avec moi dans cette contemplation. Quittez à petits pas l’idée qu’il est possible de vous mouvoir à l’extérieur de vous.

Puis-je poser une question ?

Bien sûr, Foelia. J’attends tes questions. Formule-les !

Nous nous déplaçons tous les jours vers l’extérieur, que ce soit à pied ou en empruntant d’autres moyens de transport, d’autres véhicules. Est-ce une illusion ?

Je vous invite à considérer cette manière d’analyser vos déplacements comme enfantine. Ce n’est pas une illusion, mais c’est une manière de voir qui ne vous permettra pas de comprendre d’où je viens, ni d’où vous venez. Laissez-moi vous guider pour ouvrir votre champ.

Avec joie, Atena ! Je suis excitée de sentir qu’une nouvelle porte va s’ouvrir dans ma compréhension.

Considérez que vous ne vous déplacez jamais, que votre conscience est bel et bien immobile. Considérez que, lorsque vous parcourez un chemin dans la matière, c’est un film qui est projeté : un film dans lequel le décor avance, à mesure que vos pas ou votre véhicule se déplace. En réalité, il n’y a aucune corrélation entre le fait que vous empruntiez un véhicule ou vos pieds et le fait d’avancer. C’est une invention de votre esprit, une interprétation. Vous avez inventé qu’il fallait un véhicule pour parcourir une distance et, à chaque fois que vous souhaitez effectuer un déplacement, vous revenez à cette invention de votre esprit pour illustrer le fait que vous bougez. Je devrais même dire : pour vous convaincre que vous bougez. En effet, cette idée est tellement ancrée en vous qu’il vous est presque impossible d’envisager une autre vision des choses.

Une autre façon de voir la réalité est de considérer que c’est vous qui attirez le décor à votre conscience, et que c’est vous qui faites défiler ce décor. Cela remonte à l’époque où on a inventé la notion de trajet. C’était une notion commode pour cartographier tous les mondes enchevêtrés. La réalité, c’est que, par la notion de trajet, vous codifiez le déplacement d’un état de conscience vers un autre. Ce n’est qu’un ajustement du regard qui vous propulse d’un coin à l’autre de l’espace ou du temps. Originellement, il n’y avait pas de notion de déplacement. Disons que la conscience se postait à l’endroit qu’elle choisissait de connaitre.

Je parle au passé pour vous faire sentir un peu de l’histoire de notre cosmos. J’aime ainsi vous montrer comment l’état de conscience qui vous est familier aujourd’hui s’est peu à peu construit.

En conscience, je peux être où je le souhaite en un seul instant, pour toute la part de moi-même qui n’est pas soumise aux lois des mondes denses, dans lesquels toutes les rencontres se présentent. Il m’a par contre fallu parcourir tout le cosmos, depuis sa création, pour vous rejoindre dans la densité où résonnent à présent ces mots. Cela n’est pas contradictoire, parce que, comme je vous l’ai montré, mon vaisseau-monde est fait d’innombrables corps, animés par d’innombrables consciences, qui ont dû se rencontrer dans les mondes denses, afin de décider de s’agréger pour former ce grand corps qu’est mon vaisseau. Et un vaisseau tend toujours à faire correspondre sa vitesse de déplacement à celle de la conscience de son commandant.

Que veux-tu dire ? J’ai l’impression de rentrer dans quelque chose qui devient complexe.

 

En conscience, je peux, comme chacun d’entre vous peut l’apprendre, me rendre instantanément en tout point du cosmos. Mais mon corps dense, celui qui se construit patiemment depuis le commencement des temps, qui est une partie de celui de ce cosmos entier, est un agrégat d’une myriade d’âmes aux parcours divers. Il a fallu que ces âmes, d’abord perdues dans l’immensité, choisissent de se rencontrer. Pour cela, il a fallu qu’elles parcourent des mondes denses et s’y donnent rendez-vous, créant ainsi des chemins de rencontre, des voies de communication entre elles. Chacune de ces âmes a appris à jouer un rôle unique et original, et l’assemblage de toutes ces originalités de parcours a pu commencer à former un corps, qui a pu abriter une conscience unifiée.

Cela ne doit pas vous surprendre, puisque chacun de vous est bel et bien le pilote d’un tel assemblage. N’êtes-vous pas, chacun, celui qui dirige des milliards de cellules, chacune étant spécialisée dans une fonction particulière, qui permet à l’ensemble de remplir une mission particulière en se déplaçant dans un état de conscience particulier ?

Donc, il y a ces corps formés de mille chemins qui se sont rencontrés.

Oui, et ces corps sont sous l’influence directrice d’une conscience, n’est-ce pas ? Tout comme votre corps physique est sous l’influence de votre conscience. Ainsi, la conscience directrice d’un corps rayonne une certaine gamme d’informations à toutes les micro-consciences qui le constituent. Ma conscience étant multidimensionnelle, toutes les micro-consciences qui me suivent et travaillent sous ma direction apprennent peu à peu l’existence multidimensionnelle. Autrement dit, mon vaisseau apprend, de jour en jour, à se déplacer de plus en plus vite. Un jour, il se déplacera instantanément, comme je peux le faire avec ma conscience.

Dès lors, la vitesse de la lumière n’est pas la vitesse la plus grande !

Certainement pas. Elle n’est que la vitesse moyenne à laquelle votre conscience humaine moyenne peut actuellement se déplacer. Et, je te le dis, cette vitesse n’est pas une constante, parce qu’elle dépend de la mobilité de votre conscience propre. Chacun peut faire reculer ses propres frontières, et ainsi accélérer la vitesse de sa lumière-propre.

Waw. Quelle contemplation !

Je vous invite à entrer de plain-pied dans ce nouveau paradigme, en ne considérant plus vos déplacements comme extérieurs, mais bien comme intérieurs : une simple décision de focaliser votre conscience en un point de vous-mêmes. Ce point peut être très proche de votre état de conscience du moment ; le déplacement matériel vous parait, dès lors, très court. Mais ce point peut aussi se trouver bien loin des coordonnées de la fréquence sur laquelle vous vibrez ; vous voyez alors ce point comme, par exemple, une étoile très lointaine, à l’autre bout du cosmos.

Aujourd’hui, bien des points du cosmos viennent vous rejoindre. Vous allez découvrir que l’état de conscience de ces autres êtres qui viennent à votre rencontre, était peut-être voisin du vôtre. Vous allez comprendre que des chemins de rencontre ont été créés entre ces différents états de conscience, qui relient par exemple Solter aux mondes des Pléiades. Et vous allez constater que, ces chemins, c’est vous ! Ce sont vos âmes, qui ont vécu des vies ailleurs, qui constituent les canaux entre votre conscience solterienne et d’autres mondes, sur lesquels vous avez déjà expérimenté. Vous êtes un chemin vivant, en tant que pèlerin du cosmos, reliant toutes vos incarnations menées aux quatre coins de la création. Toutes ces mémoires convergent et nous aidons à ce que soient rapidement déblayés ces canaux qui les relient. Vous découvrirez alors que « les Pléiades » ne sont plus une constellation si éloignée de vous, pour ne citer que cet exemple.

Un monde, c’est un état de conscience partagé par plusieurs êtres. Lorsque je dis que je viens des Pléiades à votre rencontre, c’est parce que j’apporte cet état de conscience, qu’un certain nombre d’entre vous connait déjà, pour avoir fréquenté ces longueurs d’ondes particulières dans leurs voyages cosmiques.

Vous n’avez pas besoin de concevoir des vaisseaux tridimensionnels pour atteindre ces mondes éloignés. Vous avez seulement à ouvrir votre conscience. Certes, pour y déplacer de la matière dense, il faut de l’énergie, et celle-ci dépend de votre état de conscience, mais pour atteindre ces mondes par l’intérieur, il vous suffit de trouver les codes d’accès. Et, pour chacun d’entre vous, ils se trouvent dans votre mémoire cosmique, la mémoire de vos voyages sur d’autres mondes et d’autres dimensions. Vous êtes les représentants de ces chemins. Et, à l’heure actuelle, sur votre petite planète, sont venues s’incarner une immense variété d’âmes, aux parcours et aux maturités très diversifiés. Votre planète est un point de convergence, qui a pour vocation d’être utilisée comme « porte des étoiles ». Elle sera un vortex remarquable pour le déplacement matériel des entités dans cet univers. Mais cela n’est pas le plus important. Ce qui est important, c’est que vous compreniez la rencontre de toutes ces mémoires que vous portez. Cette rencontre est magnifique et tellement riche !

Tout ceci me parait très dense, Atena ! Qui pourra comprendre ?

Ce sont des réalités pour lesquelles il faut apporter un vocabulaire commun. C’est exactement là-dessus que nous travaillons en densifiant la musique de mon témoignage en mots. Merci Foelia, de remplir ainsi merveilleusement ton voeu, ton contrat d’âme. Comprendront ceux qui ont besoin de comprendre, ceux pour qui c’est l’heure de l’ouverture. Chacun possède son propre rythme, et sa propre feuille de route. Nous semons des signes, simplement.

 

Quand tu dis que tu viens des Pléiades, que cela signifie-t-il alors ? Quel est « l’état de conscience des Pléiades » ?

Il y en a plein ! Je ne pourrais te les dépeindre en quelques mots. Le plus juste témoignage, c’est le sentiment qui t’habite en cet instant. Et à chacun de vous, qui lisez ou entendez ces mots, je pourrais dire la même chose. Vous ne rencontrerez pas d’êtres extraterrestres ou extradimensionnels, ou encore extraplanaires, mieux qu’en tentant de vous syntoniser avec la musique qu’ils diffusent, et que vous pouvez absorber de l’intérieur. Nous nous manifestons de plus en plus à travers mille formes de création. C’est par votre imagination que vous créez la rencontre la plus pure avec nous, et c’est par votre créativité, d’abord individuelle, puis collective, que vous créez les plus beaux ponts entre nos états de conscience.

Notre voeu est que les corps humains solteriens puissent bientôt apprendre à s’accorder sur toutes les fréquences des mondes lumineux d’où nous provenons, nous, les serviteurs des anges et archanges. Et vous êtes en train d’apprendre. Vous êtes en train de vous laisser imprégner par ces nouvelles vibrations que nous apportons, tantôt à travers de nouveaux concepts, de nouvelles compréhensions, tantôt à travers de nouveaux sentiments profonds, dont les artistes sont les meilleurs traducteurs.

Recevez tous nos sourires, de la part de notre flotte intergalactique. Merci de nous recevoir dans vos coeurs, et merci d’être, à votre tour, les transmetteurs de cette ouverture pour les générations à venir.

Merci Atena ! Nous avons tellement de chance !

Derrière le mot « chance » se cachent toutes les responsabilités que vous avez acceptées de porter, et tous les talents acquis au cours de vos aventures infinies. Il n’y a de chance que celle que l’on se crée.

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Source : https://foelia.net

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