Canalisé par Marta
Salutations, mes chers enfants bien-aimés !
Aujourd’hui, je souhaite vous parler de votre attitude à l’égard des valeurs matérielles pendant la période de transition.
Chacun d’entre vous possède l’un ou l’autre bien. Certains d’entre vous ont des biens modestes, d’autres des biens importants.
Et maintenant, ce n’est pas tant sa quantité et sa qualité qui revêtent une grande importance, mais votre relation avec lui.
Elle reflète le niveau de votre conscience, et donc le niveau de vos vibrations.
Pendant de nombreux siècles, la possession de biens a fait partie intégrante de la vie de l’homme.
Et son statut social se mesurait à l’aune de cette propriété.
Cela se poursuit encore aujourd’hui. La seule chose qui change est la qualité des accumulations.
Ainsi, par exemple, si la richesse se mesurait autrefois au nombre de têtes de bétail, elle se mesure aujourd’hui au nombre de voitures, de yachts, de biens immobiliers achetés et à la taille du compte en banque.
Bref, avec le développement du progrès technique, les types de biens ont changé, mais pas l’attitude de leurs propriétaires et de leur entourage à leur égard.
Depuis l’Antiquité, la richesse est reconnue comme le principal indicateur du statut social d’une personne.
Pourtant, les gens ont toujours traité et traitent encore différemment les biens matériels !
Certains se vantent de leur richesse, l’exhibent, d’autres en profitent en secret, dans la solitude, et d’autres encore essaient de partager avec les autres la joie de la posséder.
D’autres se satisfont de ce qu’ils ont et ne cherchent pas à accumuler, parce qu’ils ne se soucient pas du jugement des autres et de l’opinion commune sur le bien-être.
D’autres enfin se sentent désavantagés et font tout pour remplir les critères d’une personne prospère et donc réussie aux yeux des autres.
D’où le mot « loser », qui symbolise celui qui n’a pas réussi à construire sa vie selon les stéréotypes généralement admis du monde tridimensionnel.
La division entre riches et pauvres est devenue particulièrement douloureuse ces derniers temps, alors que les médias regorgent d’images de la « belle vie » que, selon eux, tout le monde devrait s’efforcer d’atteindre.
La société de consommation formée dans le monde moderne a tellement rétréci les frontières de la conscience humaine que les gens ont perdu la capacité de vivre comme leur Âme le leur dit, qui est la seule à savoir ce dont cette personne a besoin exactement et combien pour être heureuse.
Et maintenant, mes Chers, il est temps d’aborder consciemment cette question et d’écouter non pas l’opinion publique, mais votre Soi Supérieur, gagnant ainsi votre individualité et votre propre vision de ce qui vous rendra vraiment heureux.
Nous en reparlerons plus en détail la prochaine fois.
Le Père Absolu, qui vous aime infiniment, vous a parlé
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://en.vozrojdeniesveta.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard