Message d’El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron
Deux plans simultanés et parallèles. L’un la joie profonde, la félicité, la nature de l’Être. Elle ne peut qu’être omniprésente. Elle ne peut qu’être partout. Elle ne peut qu’être la vie. Elle est ce qui est. Et puis les expressions de la joie, les empreintes des civilisations qui ont altéré la relation avec la joie. Comme si la joie, au lieu d’être l’inévitable, devient un trophée à gagner. Les corps émotionnels et égotiques entrent ainsi en relation avec les expressions de la joie depuis une lutte, quelque chose à conquérir, quelque chose à incarner. Il conviendrait d’offrir cela et de s’établir dans l’inévitable que seule est la joie.
Ce Maître qui est venu changer les concepts de l’humanité, Maharishi, l’a dit. Il est descendu des Himalayas pour rappeler à l’humanité que la vie est la joie profonde. C’est cela qu’il convient d’animer. Non pas une lutte pour conquérir une expérience de joie, mais offrir tous les voiles qui feraient douter que la joie est un inévitable. Exactement comme pour la réalisation de l’Être, l’Être n’est jamais à atteindre. Il suffit d’offrir tous les voiles qui voileraient l’inévitable de sa nature.
Ainsi l’attention est portée différemment. Animer, inviter ce caractère inévitable de la joie profonde parce que, par évidence, l’infini ne peut qu’être la joie profonde. L’infini, l’absolu, ne peut qu’être l’océan du bonheur. De cet océan naissent les opposés, les expériences, l’océan reste l’océan. L’océan contient toutes les expériences, tous les opposés. Il en est la synthèse, le nectar. Cela est l’évidence.
La nature de l’absolu est d’être félicité. C’est un fait. Ramener cela comme une évidence et offrir sans même les disséquer ou entrer dedans, tous les voiles qui pourraient faire douter de cette évidence ou montrer que la relation avec la joie doit être celle d’un conquérant envers une conquête.
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