Canalisations

La lune d’Akabir et autres rencontres

Canalisé par Foelia

Nous y voici ! Laina, je te sens te rapprocher. Où allons-nous aujourd’hui ? J’imagine auprès d’Atena, qui nous parlera de la nouvelle lune ?

Laina

Je ne suis pas seule, figure-toi. Nous sommes nombreux autour de la table.

Je sens une lumière dorée.

Il y a plusieurs axes à aborder, et nous avons à choisir lequel.

Je veux bien tous les aborder.

Hihi ! Ça te ferait beaucoup de travail. Merci pour ton dévouement, Foelia !

Je suis d’abord intriguée par ce que nos amis à la lumière dorée souhaitent communiquer. Mais je vous laisse le soin de faire passer en priorité ce qui est prioritaire.

 

Eh bien je te présente à ces amis de la flotte d’Ishtar, qui ont à coeur de partager leur conscience avec nous.

Ishtar

Un de ces êtres m’adresse un wam :

Rejoins-nous, Foelia, si tel est le désir de ton coeur. Il ne s’agit pas tant de nous servir que de te servir de nous, et plus précisément, te servir en nous. La quintessence de notre partage est la rencontre de coeur à coeur, mais aussi l’ouverture d’une porte vers une conscience de non division.

Nous disons « non division » pour marquer le travail joyeux qui consiste à se rassembler, soi-même puis avec les autres, dans un effort de réconciliation sans cesse rechoisi. Parler d’unité est une chose, mais découvrir que la division est le moteur de la prise de conscience de ce qu’est l’unité en est une autre, bien plus parlante et constructive.

Le discernement que vous avez à conquérir individuellement, puis collectivement, est celui-là : Pouvez-vous détecter, à chaque instant, les paroles et les actes qui divisent ? C’est la première marche du travail. Lorsqu’un être, un groupe d’êtres, ou même un objet, est pointé du doigt comme coupable d’un dysfonctionnement, soyez certains qu’un autre être ou groupe d’êtres est en train de tenter de vous accabler d’un poids qui ne vous revient pas. Et il y réussit ! Il y réussit à chaque fois que vous vous laissez aller à croire à cette illusion de division. Apprendre rapidement à détecter ces processus vous revient. Et cela est un travail.

Comment pourriez-vous baliser ce travail pour que nous puissions le comprendre et l’accomplir ?

Il est simple, amis de terre et de densité. Le travail consiste à ne laisser passer à travers vous aucun discours de division. Parfois, la division est très claire : l’accusation est clairement formulée contre ceci ou cela, celui-ci ou celui-là. Parfois, la division se pare du manteau de la liberté, de la paix, ou même de la beauté. Ne succombez pas à ces mirages. Cherchez toujours l’intention derrière les mots prononcés, et derrière les actes accomplis.

C’est parce que ces tentatives ne passeront plus par vous que vous cesserez de leur donner votre énergie et qu’elles s’assècheront, sans besoin d’effort autre. C’est parce que vous aurez appris à détecter ces pratiques, qui fonctionnent tant que vous en êtes inconscients, que vous pourrez reprendre la main sur votre faculté à dire « oui » ou « non », et à décréter quel chemin vous souhaitez fouler.

Vous voulez la paix ? Éduquez-vous à la paix, apprenez à la choisir. C’est un travail. Un travail qui commence par le discernement, celui qui vous permet de distinguer, de mieux en mieux, toutes les graines de guerres, de conflits, contenues dans les récits qui se colportent à la surface de votre monde, attendant de s’infiltrer en chaque créature qui lui tend la main. Ne soyez plus de ceux-là, si tant est que vous souhaitiez vraiment participer à la construction de la paix.

C’est le travail essentiel qui doit être mis en oeuvre cette année, afin que vos champs de promesses soient labourés et prêts à faire fleurir les graines de paix et de beauté que vous apportez sur Solter, vous, enfants des étoiles.

Ils se taisent et je sens qu’on pourrait encore en dire beaucoup, poser des questions pour préciser ceci ou cela… mais le silence porte plus de sens que la discussion. Aussi, je m’incline et remercie.

Laina

Merci Foelia. Tu as recueilli et traduit ce que tu as pu.

Il y a maintenant un autre collège de gardiens dont nous pouvons nous faire les réceptacles. Le souhaites-tu ?

Oui. Si tu me le proposes, je choisis de te faire confiance, mon amie de toujours !

 

Voici un être à la barbe brune qui s’adresse à moi. Le vert est la couleur dominante de son rayonnement.

Gardien de la santé

Laina l’a bien dit : nous sommes en quelque sorte des gardiens. Gardiens de la santé de votre monde, qui passe bien sûr par votre propre santé. Nous allons nous appuyer sur l’apport de nos confrères pour attiser votre vigilance.

Apprenez à remarquer comme les récits colportés sont associés à des énergies, qui peuvent être autant porteuses et enthousiasmantes que déstabilisantes. Ces récits ne voyagent jamais seuls. Comprenez qu’ils sont tantôt les supports, tantôt la conséquence visible d’égrégores. Ces mannes d’énergie sont utilisées volontairement par certains êtres qui ont cette connaissance, bien plus souvent que vous le pensez peut-être. Il y a, à la surface de votre monde, des êtres dont l’intelligence froide est assez aiguisée pour manier ces réservoirs de force à leur avantage. Peut-être croyez-vous encore naïvement que certains mouvements de forces sont dus au « hasard », ou à une somme d’opportunismes fragmentés et peu conscients. Détrompez-vous ! Une forme de magie opère bel et bien en ce moment-même sur vos esprits endormis. Et c’est le fait de continuer à dormir qui vous rend sensibles à la déstabilisation colportée par certains récits, préparés à cet effet.

Si je parle de magie, c’est pour nommer des forces qui dépassent votre entendement actuel. Bien sûr, un jour proche, vous comprendrez tous ces processus de manière bien plus claire, et ce qui était « magique » deviendra « logique ». En attendant, voici notre invitation, celle des gardiens de la santé de votre monde : lorsque vous diagnostiquez un malêtre en vous, ne pensez pas nécessairement aux microbes, ni uniquement à la nourriture matérielle qui vous a peut-être intoxiqués. Ayez une vigilance accrue sur les récits que vous avez peut-être ingérés sans vous en apercevoir. Ils possèdent une charge virale, capable de rabaisser votre humeur jusqu’à la déprime. Dans ces strates affaiblies de vos êtres, les émotions négatives ont moins de contenant et se déchainent jusque dans vos cellules.

Ne croyez pas que ce récit que je vous propose cherche à attiser en vous une peur, mais bien une vigilance, ainsi qu’un encouragement à voir un peu plus loin que le bout de votre nez. Souvenez-vous des paroles de nos collègues : apprenez à détecter les récits de division. Cela vous apprendra du même coup à discerner leur qualité nutritive et vos éventuelles indigestions, ou intoxications. Désigner un coupable extérieur, fût-il un méchant microbe, vous maintient dans les vibrations de la guerre. La paix, c’est aussi la recherche de votre responsabilité. Redevenir maitre de votre santé passe par là. Votre santé n’est l’affaire d’aucun organisme extérieur à vous. Cherchez votre responsabilité dans tous vos maux. Il y en a une, je puis vous l’assurer. Non pour vous rajouter de la culpabilité – car votre responsabilité est de la dépasser – mais pour agir depuis votre souveraineté, votre volonté propre.

Vigilance donc aux ondes néfastes colportées par des récits diviseurs auxquels vous seriez exposés.

Si vous êtes intoxiqués, le travail de guérison peut venir de la conscientisation de l’ingestion d’un récit polarisé. Dès que vous en prendrez conscience, désidentifiez-vous, et vous retrouverez peu à peu l’amplitude de votre juste respiration : celle de la joie, de l’enthousiasme, de la présence.

Merci de m’avoir écouté, frères et soeurs de la densité. Ces heures requièrent des leçons rapides, mais surtout des coupes prêtes à les recevoir et, surtout, à les mettre en pratique.

Merci, frère gardien. Une perle de plus à ajouter au collier de la nouvelle conscience !

Laina

Il est temps de regagner nos quartiers auprès d’Atena, si tu as encore cette énergie, Foelia.

 

Je l’ai, Laina ! Allons-y ! Je te suis.

Nous nous retrouvons, par un simple mouvement de notre pensée, aux côtés d’Atena, à moins que ce ne soit elle qui nous ait attirées à elle. Je ne saurais dire.

Atena

Il n’y a que des invitations, Foelia. Pour une vraie rencontre, il faut deux coeurs ouverts. Les deux nôtres le sont, ce qui nous permet de nous retrouver en communion de pensée. Rien de magique. Il ne s’agit que de la science du coeur.

Et, tu as vu juste. J’ai à déposer entre tes mains de nouvelles propositions en ce qui concerne la possibilité de vous sensibiliser à la course de vos astres. D’ailleurs, s’agit-il vraiment de leur course ? Ou de leur regard posé sur vous, vous exhortant à vous hisser toujours au-delà de votre condition dense, vous encourageant à ciseler des mondes de plus en plus transparents, au sein de ce grand corps qui est le nôtre ?

Chaque grain de lumière, je vous l’ai déjà dit, est l’émissaire d’une onde vocale, elle-même sortie d’une bouche avec une mission précise : féconder la matière dense. C’est par elle, la lumière, que ce que vous nommez encore maladroitement les « photons » viennent à votre rencontre avec leur message. La question de ce message pose la question de son émetteur, n’est-ce pas ?

À chaque fois que vous regardez une étoile, vous recevez un code, une information, qui se traduit instantanément en vous, en votre conscience. Cette information se fait graine pour le présent, ou pour le futur, selon votre empressement à l’arroser. Il n’y a pas de distance infranchissable entre votre conscience incarnée et les étoiles visibles. Justement, si elles vous sont visibles, c’est parce que vous pouvez en recevoir la musique, le parfum, autant que la caresse. Les photons qu’elle vous envoie viennent-ils frapper votre rétine par le fruit d’un étrange hasard, ou est-ce à chaque fois un rendez-vous ? Posez-vous devant cette insondable beauté.

C’est tellement touchant, Atena, que j’en ai les larmes aux yeux !

Les larmes sont souvent les témoins d’un coeur qui vient de s’ouvrir à un nouveau pan de la beauté qu’il contenait sans encore le savoir. La rencontre d’un ressenti qui voit la lumière pour la première fois depuis… si longtemps. Retrouvailles. Bénies soient ces larmes-là.

Certaines étoiles sont envoutantes, n’est-ce pas ? Toutes abritent quantité de mondes mystérieux, tantôt très étrangers, tantôt très familiers. Chacun son histoire cosmique. Tout comme celle du photon qui vient à votre rencontre, votre histoire est une trajectoire. Combien avez-vous déjà parcouru les espaces et les temps, sillonné ce cosmos à la rencontre de vous-mêmes ? Combien de mondes les yeux de votre âme ont-ils déjà contemplés ? Tous ! Je vous le dis. Il y a un peu de vous dans tous les mondes, dans tous les replis de la trame cosmique.

Redressez-vous, enfants des étoiles. Il n’est dit nulle part que votre trajectoire s’arrête sur une planète un peu plus sombre ou un peu plus dense. Le photon ne meurt jamais et finit toujours par rebondir sur les murs de ses prisons transitoires, portant son message à travers l’immensité, son message de rappel : « Je viens du coeur de l’univers et j’y retourne. M’accompagnez-vous ? »

Ne considérez dès lors plus l’astrologie comme une science à comprendre. C’est vous-mêmes que vous cherchez dès que votre enthousiasme vous pousse à regarder les étoiles. Lorsque vous les contemplez, vous recevez l’image de votre corps actuel. Vous pourriez, par exemple, scanner le ciel grâce à votre ressenti, tout comme vous le faites peut-être parfois pour votre corps physique. En dialoguant avec les astres, vous dialoguez avec vos corps, tous vos corps.

C’est avec cette expansion de conscience possible que je vous encourage à vous intéresser à vos saisons, à vos cycles lunaires, solaires et stellaires.

Je ne veux rien affirmer à votre place, mais ressentez-vous l’énergie de votre nouvelle lune, celle d’Akabir ? De la lumière de quelles étoiles se fait-elle le réceptacle ? Ressentez, puis regardez. Faites le lien entre votre ressenti et les étoiles qui se reflètent en elle. Ainsi, c’est bien par le ressenti que vous apprendrez à connaitre la personnalité de tous les luminaires qui vous sourient, qui sourient à votre trajectoire.

J’ai choisi de vous guider sur la floraison possible des graines d’information que vous avez été cherché volontairement au coeur de notre galaxie, lors du dernier solstice. Aussi, ne ressentez-vous pas legout de leur parcours ? Les étapes de développement ?

Apprends-nous à ressentir, Atena ! À quoi devons-nous faire attention ?

Apprenez à détecter les plus infimes variations de vos corps. Cela peut se faire de manière binaire pour commencer. De quoi manquez-vous, maintenant, à la nouvelle lune ? Quelle est la nature du trou qui voudrait bien se combler en vous ? De quoi avez-vous vraiment faim ? Lors de la pleine-lune d’Akabir, cette nourriture sera disponible et viendra combler ce manque, vous donnant une force nouvelle. Profitez de la lune ascendante pour conscientiser l’axe du manque qui se comble. C’est un jeu. Peut-être allez-vous identifier des manques qui ne se combleront pas dans les deux semaines qui suivent ? Peut-être allez-vous, par « chance », déceler en vous des manques qui se résorberont totalement en deux semaines. Vous pourrez alors émettre l’hypothèse que la nourriture qui est venue combler votre faim vous est parvenue.

Lona ne vous l’a pas encore dit, à vous qui avez choisi de vous intéresser plus consciemment à votre nutrition, mais la lumière est votre premier mets. Certes, Sol est votre principal père-nourricier, mais les autres étoiles, aussi éloignées qu’elles soient, impriment leur quintessence en votre matière bien plus que vous le croyez peut-être. Pouvez-vous vous représenter que Sol brille d’une lumière que lui-même reçoit « de plus loin » ? L’énergie qui s’accumule en lui comme en un carrefour de veines cosmiques provient bien du coeur du cosmos. La lumière qu’il vous adresse est composée d’innombrables grains aux provenances diverses. Il les déverse sur Solter selon sa volonté de culture. Ainsi pouvez-vous par exemple comprendre ses « éruptions ». Réaction hasardeuse, répondant à quelque loi de cause à effet ou action volontaire et consciente pour organiser son propre réseau de croissance ? Posez-vous la question.

 

Votre lune possède cette vertu de vous questionner, à chacun de ses cycles, sur ce qui vous manque, et qui n’est que l’appel de la vie à se manifester à travers vos envies. À quelles étoiles demanderez-vous la nourriture dont vous avez besoin ? À quel « coin du ciel » ?

Voyez la lune d’Akabir comme celle qui vous aidera à déceler ce qui vous manque pour mieux pouvoir le demander aux étoiles. Ce que vous avez reçu du coeur de la galaxie est un plan, le plan d’un projet. Peu importe sa forme, peu importe son ampleur. Comment encore croire qu’il y a de petits projets et de grands projets, lorsqu’on se pose un instant devant l’infinitude des mondes ? Ce projet doit descendre jusque dans la matière. Il aura un résultat visible, mais ce ne sera que la surface. Il sera surtout le résultat d’une descente de la conscience, ayant pris une trajectoire particulière entre le coeur de la galaxie et votre vie incarnée. C’est ainsi que vous pouvez le considérer de manière plus large. De quel manque la réalisation de votre projet souffre-t-elle actuellement ? La lune d’Akabir vous aide à le détecter et à le nommer, et dès lors à le combler. La lune d’Akabir est donc celle des solutions par excellence, des intuitions qui élèvent la conscience sur le plan des solutions.

Voici de quoi stimuler votre attention dans cet axe. Si nous faisons le tour de vos saisons avec la lune pour compagne de contemplation, c’est aussi pour que vous puissiez prendre conscience de ce rythme qui gonfle et dégonfle, qui va d’apnée vide en apnée pleine et revient à son point de départ, qui n’est jamais vraiment le même. Nous pouvons plonger dans des détails de plus en plus fins. Nous pouvons d’ores et déjà nous questionner sur les vagues et leurs creux. Où se situe la crête de la vague ? À quelle date exacte ? De quel « coin du ciel » amplifie-t-elle le rayonnement ? Quel « coin du ciel » nous invite-t-elle à mieux rencontrer à cette date, ce jour-là ? Amusez-vous à gouter ces photons venus des étoiles et se réverbérant sur les planètes et leurs satellites, ainsi que sur d’innombrables corps denses et moins denses.

As-tu une question, Foelia ?

Oui. J’aurais envie de te laisser parler encore et encore pour me plonger dans cette symphonie cosmique ! En même temps, la partie de moi qui aime classer, diviser, mettre dans des cases, se met en service dès que tu nous montres de nouvelles choses. Est-ce un mal ?

Non. Chacun de vous a sa porte d’entrée de prédilection. L’invitation est juste de ne pas vous cantonner à vos habitudes de perception, mais bien de développer toutes les autres. Classe autant que tu veux, mais ne t’identifie jamais à ton classement. Un classement peut servir de marche-pied. Il n’est pas ridicule de classer de manière fine, de mettre dans des cases de plus en plus petites la réalité pour mieux l’englober dans sa compréhension… pourvue que vous ne vous mettiez pas vous-mêmes dans ces boites que vous avez créées pour aiguiller votre faculté d’attention, pour un temps.

Ces boites peuvent même s’avérer très utiles, puisqu’elles peuvent devenir des briques, et qu’avec ces briques, associées créativement, nous pouvons bâtir de beaux mondes. C’est toujours la question de l’identification qui vous englue dans vos créations. C’est une maitrise à développer : créer sans se confondre avec ce qu’on a créé.

Une autre question ?

 

Comment avancer dans l’émergence des nouvelles cités, dont la tienne ?

Nous avançons de cette manière. Notre relation qui se tisse prépare les actions matérielles. C’est par notre relation que nous agirons. Sans relation, sans cette chaine d’amour qui relie la matière et l’esprit du coeur de l’univers, rien ne se crée. Je ne parle pas de notre relation à nous deux, mais de la chaine sur laquelle nous occupons nos postes respectifs. Nous sommes, toi comme moi, des anneaux de cette chaine du subtil au dense. Plus nous prenons appui les uns sur les autres, plus la volonté première pourra s’exprimer de manière tangible. Notre cité se crée dans tous vos projets enthousiasmants, ceux dont vous avez reçu les plans de toute éternité.

Merci Atena ! Merci pour cette relation que tu nous offres.

Que nous nous offrons, Foelia. Nous sommes ensemble ! Un, et tous ensemble.

Partagé par : https://consciencedivine.com

Source : https://foelia.net

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