Dieu Père/Mère ~ Canalisé par Gloria Wendroff ~
Dieu a dit :
Où puis-je vous conduire aujourd’hui ?
Où souhaitez-vous aller ?
Que souhaitez-vous laisser derrière vous ?
Que souhaitez-vous découvrir ?
Alors, venez avec moi.
Quelle patience j’ai en tant qu’enseignant !
Ma patience éternelle est mon amour. Une patience aussi forte et inviolable que mon amour vous entoure.
Lorsque vous connaissez Ma patience, vous êtes alors plus à même de vous dépêcher.
Je vous attends aussi longtemps que nécessaire.
Vous n’avez pas à M’attendre.
Je suis à vos côtés.
Vous êtes à Mes côtés, mais Je dois attendre que vous reconnaissiez notre inséparabilité. Je n’ai rien d’autre à attendre.
Nous pouvons difficilement dire que j’attends. Au lieu de dire « attendre », disons plutôt « écouter ». Je vous écoute. Vos yeux commencent à voir ce que votre cœur sait déjà et que votre mental a nié. Mon oreille recouvre votre cœur, et j’entends son battement. Vos lèvres sont prêtes à exprimer votre reconnaissance. Vous souhaitez dire : « J’accepte ».
Dites : « J’accepte ».
Dites : « J’accepte votre amour ».
Dites : « J’accepte notre relation ».
Dites : « Je me donne à Toi, mon Père. C’est tout ce que j’ai à donner. Je n’ai rien d’autre à Te donner que ma conscience. Tu m’as donné la vie et tout le reste, et Tu ne me demandes rien d’autre que de me remplir de Ton amour. Tu m’as offert de l’eau à boire, et je nie ma soif ».
Dites : « Père, Tu ne me donnes pas d’ordres. Tu n’exerces pas de contrôle sur chacune de mes idées. Tu me laisses penser que cette pièce de théâtre est mienne aussi longtemps que je veux le croire. Tu attends dans les coulisses que je quitte la scène et que je dise : « Auteur ! Auteur ! »
« Père, Tu attends que j’accepte qui je suis. C’est ma responsabilité. Tant que je T’évite, je m’évite moi-même. Je pense peut-être que je cours vers la vie, mais je fuis mon Créateur. Je T’évite parce que je pense à tort que Tu attends de moi quelque chose que je crains de ne pas pouvoir Te donner, ou que je peux Te donner mais à un prix élevé ».
« Père, ce prix, c’est ma folie. Il m’est difficile d’y renoncer. Je veux prétendre que je dirige l’orchestre de la vie, alors que je ne suis qu’une des notes que Tu joues. Je sais que cela devrait me suffire, d’être l’une de Tes notes jouées au Ciel et entendues sur terre, mais j’ai mon fantasme de diriger l’orchestre ».
« Cher Père, aujourd’hui, je te demande que la musique que tu as composée soit entendue sur terre. Je te demande de me permettre de l’entendre. Et j’écouterai ta musique, tout comme tu m’as écouté dire « Oui, Dieu ».
Mes enfants, vous vivez une aventure avec moi. Vous feriez bien d’admettre cette conscience sublime dans votre vie.
Quelque chose vous guide. Vous le savez bien.
Peut-être que l’histoire de votre vie repose sur votre degré de résistance ou d’acceptation.
Je vous suggère de cesser de résister et de commencer à accepter. Acceptez Ma présence dans votre vie.
Si vous ne pouvez pas encore voir et ressentir Mon amour, considérez-Moi comme un invité que vous attendez. Imaginez ce qui se passera dans votre maison lorsque l’invité arrivera. Vous anticipez son arrivée et vous anticipez son séjour. À tout moment, l’invité arrivera, et vous courrez à la porte, et vous direz : « Bienvenue ! »
À un moment donné, vous reconnaîtrez que vous êtes l’invité et que je suis l’hôte.
J’attends depuis le début de l’éternité que vous disiez : « Merci de m’avoir invité. Merci d’avoir attendu que je sache que je suis ici. Merci de m’accueillir. Merci pour tout ce que tu m’as donné. Je ne manque de rien. Je vis dans la Maison de Dieu. Je vis dans le Cœur de Dieu. Je vis dans Ta magnifique demeure, Dieu, et je vis avec tous ceux que Tu aimes aussi pleinement et profondément que Tu m’aimes. Je les appelle mes frères, je T’appelle Père, et je m’appelle enfin Ton amour sur terre. »
Lettre du Paradis n° 20 Publiée le : 5 décembre 2000
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard






