Canalisations Lettres du Paradis

Lettre du Paradis : Qu’est-ce que Vous Apprenez ?

Dieu a dit :

Aujourd’hui est un bon jour pour constater votre formidable croissance. Vous avez grandi Ă  pas de gĂ©ant. Vous avez fait des sauts pĂ©rilleux dans la vie. Vous ĂŞtes très loin de ce que vous Ă©tiez il y a un an – ou mĂŞme il y a un instant. Pensez une minute Ă  tout ce que vous avez appris. Vous savez que c’est vrai, que vous avez appris, et que tout ce que vous avez appris, vous l’avez gagnĂ©. Pensez donc Ă  tout ce que vous avez acquis.

Comptez vos richesses en matière d’apprentissage. Et qu’est-ce que vous apprenez ? Vous apprenez vous-mĂŞme.

En rĂ©alitĂ©, vous n’apprenez rien. On dĂ©sapprend ce que l’on a appris prĂ©cĂ©demment. Le dĂ©nouement est ce que vous avez gagnĂ©. Vous avez dĂ©fait les nĹ“uds de votre cĹ“ur, et votre cĹ“ur s’ouvre. Vous qui aviez l’habitude de fermer votre cĹ“ur, vous apprenez Ă  l’ouvrir.

C’est si bon d’ouvrir son cĹ“ur. Comme des chaussures serrĂ©es, vous desserrez votre cĹ“ur. Comme une ceinture serrĂ©e, vous le desserrez. Comme un froncement de sourcils, vous le relâchez.

Personne d’autre que vous n’a serrĂ© votre cĹ“ur. Et maintenant, vous le desserrez. Vous le libĂ©rez pour qu’il fasse ce que font les cĹ“urs. Les cĹ“urs n’aiment pas ĂŞtre figĂ©s ou contractĂ©s. Il aime battre. Il aime s’Ă©lancer. Et comme votre cĹ“ur va, votre vie va.

Le saviez-vous ?

En libĂ©rant votre cĹ“ur, vous libĂ©rez votre vie. Plus vous permettez Ă  l’amour de sortir de votre cĹ“ur, plus votre vie est libre. En abandonnant la duretĂ©, votre vie, comme votre cĹ“ur, s’ouvre.

Au lieu de portes verrouillĂ©es, vous trouvez des Ă©crans pliĂ©s, des portes drapĂ©es, des portes ouvertes ou des portes sans portes. Vous trouvez l’ouverture. C’est votre cĹ“ur qui fait tout cela. Votre cĹ“ur peut tout ouvrir. Il peut ouvrir d’autres cĹ“urs.

Votre cĹ“ur est la clĂ© qui s’ouvre. Et votre perception est la clĂ© qui ouvre votre cĹ“ur Ă  l’ouverture.

Nettoyez le tableau noir de votre cĹ“ur. Effacez les chiffres du passĂ©. Effacez les dettes, les vĂ´tres et celles des autres. Dessinez les images que votre craie a dessinĂ©es. Ce ne sont que des dessins. Ces dessins Ă©taient destinĂ©s Ă  ĂŞtre effacĂ©s. Elles n’ont durĂ© qu’un instant, et cet instant est passĂ©. Pourquoi les conserver ? Pourquoi les garder ? Pourquoi les avez-vous gardĂ©es ?

Ce que vous dessineriez aujourd’hui, vous ne l’auriez peut-ĂŞtre pas dessinĂ© hier. Il est presque certain que vous ne l’auriez pas dessinĂ©. Vous ne savez mĂŞme pas ce que vous dessineriez aujourd’hui, et c’est un progrès. Vous ne savez pas Ă  l’avance. Vous ne dessinez pas les images Ă  l’avance. Vous laissez la vie venir. C’est l’ouverture de votre cĹ“ur.

Cela ne rend pas votre cĹ“ur capricieux. Cela rend votre grand cĹ“ur. Toutes les images dessinĂ©es Ă  l’avance contractent votre vie. Les images que vous faites Ă  l’avance ne peuvent que vous dĂ©cevoir. Soit vous n’obtenez pas votre image, soit vous l’obtenez, et dans tous les cas, vous ĂŞtes déçu. Dans tous les cas, ce n’est pas ce que vous pensiez.

S’en tenir Ă  des images dĂ©jĂ  tracĂ©es, c’est limiter ses choix et donc sa vie. Votre vie n’est pas figĂ©e. ArrĂŞtez de prĂ©tendre le contraire. La vie n’est pas faite pour rester immobile. La vie est faite pour bouger, et vous avec.

Essayer de tout garder en l’Ă©tat, c’est se refuser Ă  la vie. C’est de la rĂ©sistance, et la rĂ©sistance vous cause beaucoup de souffrance. Vous rĂ©sistez parce que vous pensez qu’il est prĂ©fĂ©rable de ne pas changer. Vous ne voulez pas que votre vie prenne de l’avance sur vous, alors vous rĂ©sistez. Vous prenez les rĂŞnes, et c’est cela le contrĂ´le. S’arrĂŞter, c’est contrĂ´ler. Se retenir, c’est contrĂ´ler.

J’ai de plus grands rĂŞves pour vous que vous n’en avez pour vous-mĂŞme. Vos rĂŞves reposent sur la sĂ©curitĂ©. Mes rĂŞves pour vous sont fondĂ©s sur la vision et la rĂ©alisation.

La sĂ©curitĂ© ne vous protège pas. Les pensĂ©es de sĂ©curitĂ© sont des pensĂ©es de peur, comme si lĂ  oĂą vous ĂŞtes Ă©tait plus sĂ»r que lĂ  oĂą vous n’ĂŞtes pas encore. La sĂ©curitĂ© est un faux concept. Il n’y a que la sĂ©curitĂ©, il n’est donc pas nĂ©cessaire d’y penser. Une petite pièce n’est pas plus sĂ»re qu’une grande pièce ou qu’aucune pièce. Les murs ne vous protègent pas. Les murs vous enferment. Laissez-vous aller.

Canalisé par Gloria Wendroff

Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com

Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com

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