Dieu Père/Mère ~ Canalisé par Gloria Wendroff ~
Dieu a dit :
L’une de vos idées fausses est que vous devez vous préparer pour Moi. Vous pensez que vous devez vous purifier. Vous pensez que vous devez changer votre vie. Vous pensez que vous devez faire quelque chose. Vous pensez que vous devez manger certains aliments magiques et pas d’autres. Vous pensez que vous devez dire certains mots et en éviter d’autres. Vous pensez que vous devez vous préparer. Vous pensez qu’il y a une procédure à suivre. Vous pensez que vous devez être différent avant de pouvoir vous présenter devant Moi. Ce n’est pas le cas.
Tout ce que vous avez à faire, c’est de croire en Moi. Si vous n’y arrivez pas, croyez en la possibilité que je sois là et que ce que je vous dis soit vrai.
Vous n’avez pas besoin de prendre un bain.
Vous n’avez pas besoin de porter certaines robes ou certaines couleurs.
Vous n’avez pas besoin d’une couronne sur votre tête.
Vous n’avez pas besoin de remplir certains critères. C’est le programme du monde, pas le Mien.
Vous êtes Mon enfant et vous pouvez venir à Moi à tout moment. Vous pouvez venir à Moi dès maintenant. Vous pouvez vous tenir devant Moi tel que vous êtes en ce moment. Vous n’avez pas besoin de vous coiffer. Vous n’avez pas besoin de lisser vos vêtements.
Je ne vois pas ces choses. Je vois votre lumière, et votre lumière illumine mon visage.
Comment vous sentiriez-vous si votre enfant perdu de vue depuis longtemps décidait qu’il n’avait rien à prouver, qu’il n’avait rien à vous montrer, qu’il n’avait pas besoin de réussir avant de revenir, qu’il n’avait pas besoin de préparer un discours, qu’il n’avait rien d’autre à faire que de venir à vous ? Cela suffirait. Ce serait tout ce que vous demanderiez. Tenir à nouveau votre enfant dans vos bras.
Dites-moi, comment vous sentiriez-vous si votre enfant perdu depuis longtemps apparaissait à votre porte ?
Vous avez vu votre enfant pendant tout ce temps. Vous l’avez suivie, mais il ne se croyait pas encore assez bien pour vous voir, tandis que vos yeux suivaient la lumière de l’amour qui appelait votre cœur. Vous n’avez pas vu les délits. Vous n’avez pas vu de succès extérieur non plus, et vous ne l’attendiez certainement pas. Vous avez vu l’essence lumineuse de votre enfant. Vous avez vu la joie que l’apparence de votre enfant donnerait.
Est-ce une sorte d’orgueil qui vous empêche d’accéder à votre destin ?
Votre destin n’est pas ce qui se passe sur terre.
Votre destin est votre chemin, et votre chemin est vers Moi.
Votre destin n’est pas ce que vous ramassez en chemin.
Votre destin est Ma porte.
Votre destin est de m’atteindre dans votre conscience.
Seule votre conscience est nécessaire.
Tout le reste, vous l’avez, et tout le reste est fait.
Seule votre acceptation attend.
Votre Père, le Roi, vous dit que vous êtes prête à vous présenter devant Lui. Il vous dit que vous êtes le véritable prince. Et vous dites : « Mais je n’ai pas la robe parfaite ! ».
Je vous réponds : “Ce n’est pas la robe qui fait de vous un prince. C’est votre naissance qui fait de vous un prince.”
Vous êtes tous des Moïse dans le Bulrush. Vous êtes tous les enfants de la royauté. Vous êtes tous Mes enfants royaux. Quelles que soient les circonstances dans lesquelles vous vous trouvez, vous êtes à Moi, et à Moi seul.
C’est votre histoire. Vous l’avez oubliée.
Ma question est la suivante : « Croyez-vous davantage à l’évaluation extérieure de votre naissance qu’à la Vérité ? »
Je ne pense pas que vous puissiez croire aux deux.
Je ne pense pas que vous puissiez croire que vous n’êtes rien d’autre que votre peau et croire en même temps à la vérité de votre naissance. Je ne pense pas que l’on puisse croire que l’on est un pauvre et un prince. Il n’y a pas de princes pauvres. Par définition, un prince est riche.
Vous devez donc accepter la vérité de votre richesse et non les conditions perçues.
Vous avez un énorme compte en banque à votre nom, mais vous avez oublié votre nom. Je vous demande de vous en souvenir. Si vous ne pouvez pas vous en souvenir, je vous demande de me croire sur parole.
Quelle parole prenez-vous ? Je vous offre la mienne. Je suis votre richesse, et Ma parole est une pièce de monnaie. Et Je dis que Je détiens de l’or pour que vous puissiez le réclamer. Je dis aussi que vous êtes Mon or et que J’aspire à ce que vous le revendiquiez. Lorsque vous connaîtrez ma valeur, vous connaîtrez la vôtre, car par essence, nous sommes une seule et même chose. Les accessoires n’ont pas d’importance. C’est l’essence qui compte.
Lettre du Paradis n° 18 Publiée le : 4 décembre 2000
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
