Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron
Voyez, deux plans simultanés. Le plan de l’ouverture, sur la base et la fréquence de gratitude, sur la base et la fréquence du choix conscient et permanent de n’honorer que la partie la plus belle, la plus vaste, la plus haute de soi. Et simultanément, les plans des habitudes, des modes fonctionnement compulsifs. Il suffit du moindre incident, du moindre événement pour que l’habitude et le fonctionnement compulsif reprennent le dessus.
Et simultanément est l’Être de lumière que Je Suis. Cet être est être de choix conscient. Cet être a sa demeure, si l’on peut dire, dans la fréquence vibratoire la plus élevée, la plus puissante, la plus performante.
Si l’attention est offerte à cet Être dans la simple intention d’accorder son fonctionnement à celui inhérent à cette fréquence vibratoire, alors les autres plans se sentent nourris et peuvent prendre refuge dans la vastitude d’être lumière. La relation est bien comme cela. L’Être de lumière rayonne et fait le choix conscient de l’autodépassement permanent. Les autres fréquences prennent refuge, c’est-à-dire s’inclinent et font le choix ultime de quitter les modes compulsifs pour, en conscience, choisir de s’aligner éternellement. Eternellement s’aligner comme on écoute la vibration d’un chant limpide et l’on aligne sa voix à cette vibration.
Ainsi peut jaillir la civilisation d’harmonie. En soi, elle ne prend pas sa place dans une ligne évolutive. L’Être de lumière que Je Suis est éternellement présence. Seule est la multidimensionnalité. Les autres plans peuvent choisir de prendre refuge, c’est-à-dire de s’incliner, de se fondre et d’accepter de s’aligner, d’être écoute et de choisir d’être l’écho vivant de la voix éternelle.
L’heure est au grand choix. L’être humain peut choisir d’honorer la multidimensionnalité et alors incessamment invoquer, s’aligner à l’Être de lumière qui est le niveau, la fréquence la plus exaltée de lui ou d’elle-même.
Dans cette plénitude d’honorer, d’incarner la fréquence la plus vaste, la plus haute, cette note unique dans la symphonie divine, le silence est adoré et respecté. C’est lorsque l’on honore et s’incline devant la beauté du silence qu’il révèle sa richesse. C’est de cette richesse qu’est nourrie la vision et qu’elle s’épanouit. Porter la vision n’est pas un acte mental, c’est l’offrande du cœur au fonctionnement cérébral pour que l’impulsion de l’intention s’épanouisse spontanément en matérialisation.
C’est du cœur du silence que peut jaillir le visage de l’humain sacré. Car dans le cœur du silence, rien n’a pu s’infiltrer qui vienne créer un masque ou ramène toujours au même mode de fonctionnement, peut-être un peu amélioré. Il ne s’agit pas maintenant d’améliorer un peu l’énergie de l’année qui s’ouvre. Il s’agit de la sortir de l’emprise du temps pour qu’elle soit le jaillissement de rayonnement de la version la plus belle de la création dans la simplicité de l’harmonie et l’infinie puissance.
Pour la création, l’heure est au grand alignement. Encore faut-il en faire le choix. Il n’est plus nécessaire et encore moins inévitable de revenir sur les rails des modes automatiques et des automatismes de fonctionnement. Chaque moment, être le choix vivant. La puissance de ce choix vient de l’attention tout offerte à l’Être de lumière éternellement présent qu’est chaque être. Un autre registre, un autre diapason à partir duquel se joue la symphonie de l’incarnation. Le choix est maintenant. Cela aussi est inévitable, inévitable de par la multidimensionnalité, inévitable de par la beauté de la vie.
La Terre a fait le choix. Il est merveilleux de s’aligner.
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