Maître Kuthumi, canalisé par Jahn J. Kassl
Cher Monsieur Kassl,
Tout d’abord, merci beaucoup pour votre travail. Je vous suis depuis de nombreuses années. Les messages que vous transmettez au monde sont si importants et, surtout en ce moment, si réconfortants et édifiants pour moi. Merci du fond du cœur.
J’en viens maintenant à ma question au monde spirituel : est-il juste d’euthanasier un animal de compagnie en phase terminale ?
Je me pose beaucoup de questions à ce sujet. D’un côté, on voit comment l’animal souffre et ne fait que végéter, mais d’un autre côté, je me demande :
« Qui suis-je pour avoir le droit de décider de la vie ou de la mort » ? Même s’il y a de bonnes intentions derrière tout cela, je ne connais pas le plan de l’âme de mon animal de compagnie. Peut-être que ce sujet vous a déjà été transmis par d’autres personnes et qu’il serait bien qu’il y ait un message à ce sujet qui puisse être inclus dans votre livre.
Merci beaucoup et meilleures salutations de votre pays voisin, actuellement encore très éprouvé,
Helga
PS : Le premier podcast était merveilleux et j’ai hâte d’enécouter d’autres.
Pauli
JJK : Nous étions nous aussi confrontés à cette décision difficile lorsque le moment est venu pour la chienne de Hannelore. Quelques mois seulement après le retour de Hannelore à la lumière, sa chienne Pauli est tombée malade. Elle a développé une tumeur, ne pouvait presque plus marcher et l’âge qu’elle avait atteint indiquait clairement que son heure était venue. Que faire alors ? Prolonger les souffrances, car chaque jour était une véritable torture pour Pauli. Nous avons décidé d’euthanasier Pauli. Avons-nous interféré dans le plan de son âme de manière illicite ?
MAÎTRE KUTHUMI : La souffrance physique ne fait pas partie du plan de l’âme, ni chez l’homme ni chez l’animal.
Cette idée, ce concept, faisait partie de l’ancienne matrice qui faisait croire cela aux gens.
La souffrance, quelle que soit sa cause, n’est pas un aspect divin et n’a jamais été voulue par Dieu.
L’homme
En raison de son libre arbitre, l’homme est lui-même capable de supporter la souffrance physique ou de décider d’y mettre fin. Le libre arbitre est au-dessus de tout et aucune religion ou idéologie n’a le pouvoir d’interférer avec cette liberté. Chaque personne choisit la vie, chaque personne aime la vie, chaque personne est pleine de vie. Et si la vie quittait le corps, si elle s’évaporait et si le corps n’était plus qu’un paquet de douleurs ?
JJK : Dieu donne et Dieu prend la vie, dit-on.
MAÎTRE KUTHUMI : Et quel est votre rôle en tant que partie de DIEU ? Prenez conscience de ce que vous êtes. Vous êtes la conscience divine infinie. Vous avez un corps, mais vous n’êtes pas un corps ! C’est à vous de décider quand et comment vous abandonnez votre corps. Que la douleur psychique ou physique conduise une personne à quitter son corps prématurément : Les deux relèvent de l’homme et personne sur cette terre n’a le droit de juger ou de condamner.
La vérité est que la souffrance et la douleur ne sont pas des maîtres, mais qu’elles servent à châtier l’homme. La souffrance et la douleur engendrent de nouvelles souffrances et de nouvelles douleurs. Abandonnez ces modes de pensée, abandonnez le concept de souffrance et tenez compte de cela : La joie vous fait respirer et seul l’amour apporte le bonheur ! Où est l’endroit de la douleur ? Vous ne le connaissez pas.
JJK : Cela signifie que pour les animaux, nous pouvons intervenir pour mettre fin à la souffrance. S’il n’y a pas d’autre solution, alors OUI ?
MAÎTRE KUTHUMI : Décidez librement, décidez avec le cœur, décidez dans l’amour ! Car s’il ne reste que la douleur, c’est que le plan de l’âme d’un animal s’est réalisé depuis longtemps !
Traduit de l’Allemand pour : https://consciencedivine.com
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Source : https://lichtweltverlag.at
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Avec tout mon Amour... Bernard