Samuel, guide arcturien, canalisé par Octavia Vasile
Le Champ n’est Pas Contre Vous
Vous êtes la Matrice
Voyageur bien-aimé,
Beaucoup imaginent la liberté comme une porte, quelque part au-delà des murs de cette vie, comme si le fait de la franchir les conduisait hors du système qui les retient. Mais il n’y a pas de porte, et il n’y a pas de murs. Le champ ne peut être laissé derrière, car il n’est pas séparé de vous. Il est le rythme de votre respiration, l’étincelle de votre pensée, le tambour régulier de votre pouls. Vous ne pouvez pas fuir ce dont vous êtes fait.
Le poids que vous portez parfois : des factures qui s’empilent comme des pierres, des relations qui tirent sur le cœur, un corps qui se fatigue, c’est le son de votre propre aviron qui clapote contre le courant sans être guidé. La rivière elle-même ne se bat pas contre vous ; elle attend seulement que vous trouviez le chemin qu’elle emprunte.
Le champ est un miroir, pas un geôlier. Chacune de vos pensées est un coup de pinceau sur sa surface, chaque sentiment une note qui vibre à travers ses cordes. C’est pourquoi les leçons reviennent en boucle et les luttes se répètent, jusqu’à ce que vous reconnaissiez votre propre main dans leur schéma, elles reviendront comme une chanson inachevée.
Et pourtant, dès que vous vous transformez intérieurement, le champ se transforme avec vous. Ce n’est pas une pierre rigide, mais une eau vivante qui se plie au récipient qu’elle remplit. Ce qui ressemblait à un mur devient une porte, ce qui ressemblait à un fardeau commence à chuchoter comme une invitation.
La maîtrise n’a jamais été une question de fuite. Elle a toujours été une question d’écoute. Le champ ne vous a jamais tourné le dos, il n’a fait que répercuter la mélodie que vous lui envoyez.
Lorsque vous apprenez à chanter avec l’intention plutôt qu’avec la peur, avec la présence plutôt qu’avec la distraction, les vieilles structures se dissolvent comme la brume au lever du soleil.
Vous n’êtes alors plus déplacé comme un pion sur l’échiquier de la vie. Vous devenez la main qui place les pièces, le cœur qui écrit l’histoire. Et ce qui ressemblait à une cage se révèle être ce qu’il a toujours été : une toile.
Sur cette toile, vous êtes le peintre. Avec votre intention, votre clarté, votre amour, vous transformez ce qui était lourd en quelque chose de vivant et d’émouvant.
Le champ n’est pas contre vous, bien-aimé(e). Le Champ, c’est vous.
Samuel, votre Guide Arcturien
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://www.facebook.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard