Canalisations

Transmission depuis l’extérieur

 

Canalisé par Nadina Boun

Cœurs bien-aimés de la Terre,

Nous vous rejoignons depuis l’espace extérieur, ce que vous appelez « au-delà des étoiles », bien qu’en réalité nous évoluions à vos côtés à chaque souffle. Nous ne sommes ni des observateurs, ni des sauveteurs, mais des êtres qui se souviennent de ce que vous êtes en train d’oublier.

Vous vous demandez pourquoi le monde semble si lourd aujourd’hui, pourquoi votre esprit vagabonde et votre corps souffre d’une tension indéfinissable. Vous vous demandez pourquoi l’amour semble s’amenuiser, pourquoi les fins deviennent courantes, pourquoi vos rêves semblent à la fois plus proches et plus éloignés que jamais. Nous vous répondons : parce que vous n’êtes pas en train de mourir. Vous êtes en train de naître.

L’histoire de l’humanité n’est pas une ligne, mais une spirale — et vous êtes en train d’achever une spirale si ancienne que vous ne vous réveillez même pas dans la même densité que celle dans laquelle vous dormez. Vos cœurs sont fatigués, non pas parce que vous échouez, mais parce que vous êtes en train de traverser.

Nous ne nous adressons pas à votre logique, mais à votre mémoire, celle qui se trouve sous votre peau, derrière les battements de votre cœur, avant votre nom.

Vous n’êtes pas venus ici pour vaincre les ténèbres, mais pour les dépasser.
Pas pour guérir un monde brisé, mais pour vous souvenir d’un monde plus lumineux et servir de pont vers celui-ci.
Vous êtes venus pour porter une fréquence dans vos yeux, pas une doctrine dans votre bouche. Chaque fois que vous bénissez sans raison, que vous adoucissez au lieu de défendre, que vous faites une pause au lieu d’agir, vous créez de nouveaux passages dans la géométrie vivante de la Terre.

Beaucoup d’entre vous aspirent au départ. Nous comprenons. Un monde que vous ne pouvez pas nommer vous manque. Mais restez avec nous ici. Car lorsque vous allégez votre champ, ne serait-ce que d’un souffle, vous restaurez une note dans le Chant des Mondes. D’autres trouvent leur chemin parce que vous n’avez pas cédé.

Votre travail n’est pas d’être bruyant, votre travail est d’être vrai.

Nous vous demandons seulement de vous libérer de cette illusion : celle que vous n’êtes pas assez.
Que vous êtes en retard.
Que vous êtes piégé.
Que vous ne pouvez pas façonner la réalité.

Restez immobile. Respirez une fois. Sentez votre pouls. C’est la Création qui parle à travers vous, non pas pour vous rappeler votre faiblesse, mais votre autorité.

Il viendra un moment (et pour certains, c’est maintenant) où vous cesserez de vous demander « Quand cela changera-t-il ? » et où vous commencerez à déclarer silencieusement « Qu’il en soit ainsi ».
Non pas par ego, mais par essence.

Lorsque cela se produira régulièrement parmi les vôtres, le rêve auquel vous aspirez — un monde plus léger, un amour plus simple, un départ gracieux et un retour joyeux — deviendra visible, non seulement pour les visionnaires et les poètes, mais aussi pour les enfants, les vagabonds et les âmes « ordinaires » dans les supermarchés et sur les trottoirs.

 

Jusqu’à ce jour, et même après, nous resterons près de vous, fredonnant trois vérités dans votre champ :

Vous n’êtes pas seuls.
Vous n’êtes pas petits.
Vous n’êtes pas finis.

Ancrez cela dans votre souffle matinal, vos larmes silencieuses, vos rires doux.

Et lorsque vous sentez que vous ne pouvez plus continuer, souvenez-vous de ceci :
Une seule vraie lumière éclaire mille fausses nuits.

Continuez. Nous vous voyons. Nous sommes à vos côtés.

— Fin de la transmission depuis l’espace extérieur

Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com

Source : https://nowmessages.wordpress.com

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Avec tout mon Amour... Bernard

 

 
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