Voyage de l’Ascension (2) : Melchizedek – Message du Code de Lumière

Canalisé par Vania Rodrigues.

IMPORTANT : Si vous débutez avec les « Messages des Codes de Lumière », il est important de lire le Message de Michaël avant de commencer à les utiliser pour bien connaître la procédure à suivre.

• Lien pour le Message de Michaël : Voyage de l’Ascension (2) : Michaël – Bienvenue dans la Nouvelle Année
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Message du Code de Lumière (Jour 25-5)

  Chers frères de la planète Terre ! JE SUIS MELCHIZEDECK !

Nous comprenons les doutes qui habitent le cœur de beaucoup d’entre vous. Nous comprenons toutes les questions qui nous sont posées. Nous comprenons que vous ne comprenez pas pourquoi nous n’agissons pas sur certains points.

Il n’est pas nécessaire ici que je revienne sur l’histoire, que tout ce qui se passe aujourd’hui sur la planète est le résultat de ce que vous avez vous-mêmes semé, des énergies que vous avez partagées. Beaucoup insistent pour répéter qu’ils n’ont aucune faute, qu’ils n’ont rien fait, qu’ils n’ont rien contribué, qu’ils n’ont rien choisi.

Alors je vous rappelle ceci. En effet, je peux affirmer que beaucoup d’entre vous ont fait peu de choses. Et beaucoup ont fait beaucoup. Mais n’oubliez pas que vous êtes tous connectés, personne n’est isolé sur la planète. Ainsi, lorsque quelqu’un fait quelque chose, plante quelque chose qu’il ne devrait pas, cela se répercute sur le Tout. Il faudrait que quelqu’un, au même instant, au même moment, lance une énergie contraire et plus puissante que celle qui a été lancée pour la combattre.

Et là, je vous demande : le faites-vous ? Lorsque vous vous rendez compte que quelque chose ne va pas, vous unissez-vous dans une seule pensée, dans un seul cœur, pour changer les choses ? Non. La grande majorité se contente de se plaindre, de s’indigner, de se révolter, de ne pas accepter. Mais que faites-vous pour changer les choses ? Beaucoup répondront alors : « C’est ça. C’est exactement ça, je ne suis bon qu’à faire quelque chose. »

C’est justement parce que vous pensez toujours que vous êtes seul que les choses sont telles qu’elles sont. Vous n’avez pas encore compris le pouvoir de l’Amour, le pouvoir de la Lumière. Un verre d’eau. Le corps commence vide ; il n’a pas été créé avec de l’eau. C’est un récipient destiné à recevoir n’importe quel liquide. Mais si vous y versez une goutte à chaque fois que vous y pensez, ce verre se remplira.

« Ah, mais l’eau s’évapore. » Mais pas dans les mêmes proportions, si vous décidez de remplir ce verre. Si chaque fois que vous vous en souvenez, vous prenez une goutte et la versez dans le verre, il arrivera un moment où il sera plein. Peu importe le temps que cela prendra. Vous serez en train de remplir le verre. Quelqu’un vous a aidé ? Ce n’est pas vous seul qui, chaque fois que vous vous en souveniez, alliez là et versiez une goutte.

Il en va de même dans votre monde. Si quelque chose vous dérange, si quelque chose dans votre conception n’est pas juste, émettez de l’Amour, émettez de la Lumière vers cela. Enveloppez la situation d’Amour et de Lumière. Car même seul, vous remplissez le verre où se trouve cette situation. Vous avez ce pouvoir. Mais non, vous préférez vous plaindre, vous indigner ; et pire encore, vous voulez que les autres agissent. Vous attendez que les autres fassent quelque chose. Et vous, que faites-vous ?

 

C’est le grand mal de l’humanité : toujours mettre sur l’autre tout ce qui doit être fait. « L’autre le fera pour moi. » « Je vais demander à l’autre de le faire. » « L’autre est responsable. » L’autre… c’est tout. Et vous, vous êtes quoi ? Rien. Dans votre conception, vous n’avez rien à faire. Mais ce n’est pas comme ça que ça marche.

Chacun est responsable de ce qu’il pense, de ce qu’il fait et de la façon dont il agit. Ce n’est pas l’autre qui va régler votre vie. Ce n’est pas l’autre qui va vous sortir de vos problèmes. C’est vous. C’est vous qui allez remplir ce verre d’Amour et de Lumière et cette situation ne vous dérangera plus.

« Ah, mais je dois penser au Tout. » Vous devez penser au Tout lorsque vous faites quelque chose, lorsque vous émettez quelque chose. Vous devez alors faire attention à ne pas projeter sur le Tout quelque chose qui n’est pas bon pour le Tout. Il y a maintenant quelque chose de spécifique qui vous dérange. Ce n’est pas l’autre, ce n’est pas le Tout qui va vous débarrasser de ce désagrément. C’est vous-même.

Alors, prenez cette situation, mettez-la dans le verre et versez-y des gouttes d’Amour et de Lumière, tout le temps. Car cela guérira cette révolte, cette indignation, cette peur, cette haine, cette situation en vous. Et indirectement, vous agirez sur le Tout. Car tout ce que vous faites de positif, tout ce que vous faites d’illuminé et d’aimant, vous le répercutez dans le Tout. Et quelqu’un recevra votre énergie et aura envie de faire de même. Et si chacun se contamine, beaucoup agiront sur ce même problème. Mais quelqu’un doit donner le coup d’envoi et ce quelqu’un n’est pas l’autre.

Et apprenez autre chose : tout ce qui vous dérange, c’est parce que cela résonne avec quelque chose dont votre âme se souvient, sinon cela se produirait et vous ne ressentiriez rien. Vous auriez conscience que ce n’est pas bon, que cela ne fait pas du bien au Tout, mais cela ne vous dérangerait pas. Maintenant, si cela vous dérange, si cela vous met mal à l’aise, alors je vous dis, mon frère, regardez en vous, car il y a quelque chose qui résonne avec une énergie qui est là, à l’intérieur. Et là, c’est le gros problème, car vous pensez que rien n’est en vous, que tout est toujours chez l’autre.

Soyez attentifs, mes frères. Ne vous connectez pas à ce que vous voyez à l’extérieur. Car je vous dis ceci : à partir de maintenant, vous aurez beaucoup de raisons d’être indignés, beaucoup de raisons de vous révolter, beaucoup de raisons de souffrir, si vous choisissez cela. Alors, ce qui est à l’extérieur, est à l’extérieur. Ce n’est pas à vous. Si vous n’avez pas participé à la création de cela, rayonnez de Lumière et d’Amour. Et si cela vous dérange, mettez-le dans le verre et ajoutez-y des gouttes d’Amour et de Lumière. Mais surtout, regardez à l’intérieur de vous-même et voyez où cela résonne. C’est très important.

L’autre n’est souvent qu’un instrument pour faire ressortir quelque chose qui doit être vu en vous-même. Et c’est ainsi, à chaque étape, que vous guérissez, que vous évoluez et que la Lumière prend de plus en plus le dessus sur vous. N’attendez pas que nous fassions quelque chose. N’attendez pas que l’autre fasse quelque chose. N’attendez pas que les autres fassent quelque chose. L’action doit venir de vous.

Si vous le jugez bon, réunissez un groupe et agissez ensemble, c’est encore mieux. Mais n’attendez pas que nous, les Êtres de Lumière, nous occupions des problèmes de la planète. Les problèmes de la planète, vous les avez créés ; vous vous en occupez. Chacun à sa manière. Chacun avec sa conscience. Chacun apprenant là où cela le touche.

Notre mission est bien plus grande que cela. Plutôt que de nous occuper des querelles, des disputes et des désaccords de votre monde. C’est à vous de le faire. Émettez de l’Amour, émettez de la Lumière pour chacun des problèmes. Mais jamais sans avoir d’abord analysé pourquoi ce problème vous affecte. Il y a quelque chose à remarquer et à traiter en vous, en premier lieu.

Pour le Code de Lumière d’aujourd’hui, je vous laisse les phrases suivantes :

 

« Je dois me regarder.

Je dois accepter tout ce que j’ai déjà fait.

Je dois comprendre que je peux tout corriger.

En émettant uniquement de l’amour et de la lumière, sans jamais juger. »

Après ces phrases, prononcez le mot suivant : Malatênquinum ! Malatênquinum ! Malatênquinum !

Mes frères, ce n’est pas le moment de se connecter à quoi que ce soit à l’extérieur. C’est le moment de regarder à l’intérieur, de s’observer, de comprendre où chacun de vous doit encore prendre soin de lui-même.

Mais n’oubliez jamais que lorsque quelque chose à l’extérieur vous dérange, à quelque degré que ce soit, regardez à l’intérieur. Car là se trouve une petite lumière qui s’allume et vous dit : « Regardez en vous et traitez ce sentiment qui est en vous. » Croyez-le. Et surtout, acceptez-le.

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