Canalisé par Vania Rodrigues.
IMPORTANT : Si vous débutez avec les « Messages des Codes de Lumière », il est important de lire le Message de Michaël avant de commencer à les utiliser pour bien connaître la procédure à suivre.
- Lien pour le Message de Michaël : Voyage de l’Ascension (2) : Michaël – Bienvenue dans la Nouvelle Année
- Code de Lumière de ROWENA (pdf) : Télécharger
Message du Code de Lumière (Jour 3-5)
Chers frères et sœurs de la planète Terre ! JE SUIS ROWENA !
J’aime distribuer des fleurs. En ce moment, je tiens dans mes mains un grand bouquet de roses roses. Imaginez ce bouquet dans votre esprit. Il est magnifique, il contient beaucoup de roses, quelques feuilles ; comme vous le souhaitez. Vous voulez y ajouter un nœud ? Vous pouvez y ajouter un nœud. Les roses sont-elles ouvertes ou fermées ? Je les préfère ouvertes. Et vous ? Pour qu’elles soient belles, mais pas trop ouvertes, sinon, par nature, les pétales commenceront à tomber. Disons que ce bouquet contient beaucoup de ces roses, un peu fermées, un peu ouvertes. C’est un bouquet très fourni.
Alors, en ce moment, je vous remets ce bouquet. Et que représente-t-il ? Il représente l’amour, la sérénité, la beauté, la paix, tous ces sentiments qui vous mènent à l’équilibre. Prenez-le dans vos mains. Sentez l’énergie que je viens d’y mettre et qui, en ce moment, se répand dans votre corps, vous apportant équilibre, sérénité, paix. Que ferez-vous de ce bouquet ? À la fin de ce message, il aura disparu, mais il aura rempli le rôle que je lui ai donné : vous apporter ce moment de paix et de sérénité.
Mes frères, le mal de ce monde est l’anxiété, le fait de vivre dans le lendemain, de vivre hors du temps présent. Et là, je demande à chacun d’entre vous : accélérez-vous le temps ? Vous n’avez pas ce pouvoir. Alors vous accélérez seulement vos corps, vos esprits, vos cellules.
Imaginez une machine. Elle a été créée, conçue, assemblée pour fonctionner à une vitesse déterminée. Une vitesse à laquelle ses pièces, ses engrenages, fonctionnent tous parfaitement. Et puis, par inadvertance, vous donnez un peu plus d’énergie à cette machine. Elle fonctionnera pendant un certain temps, mais elle arrivera à un point où elle brûlera parce que ses pièces s’useront. La force qu’elle déploiera pour fonctionner dépassera celle pour laquelle elle a été conçue. Elle cessera alors de fonctionner.
Imaginez que cette machine est votre corps. Vous avez été programmés et créés pour vivre en équilibre, dans le temps présent. Mais vous voulez accélérer le temps. Cependant, vous n’accélérez pas le temps, vous accélérez vos cellules, vous accélérez vos processus. Et là, je vous demande : votre corps a-t-il été préparé pour cela ?
Beaucoup pourraient me répondre : « Oui, il l’a été, car quand je cours, j’accélère tout. » Je suis d’accord. Votre corps a été préparé pour la course, pour un effort un peu plus intense. Mais vous devez comprendre que lorsque vous courez, un mécanisme créé dans votre corps le modifie entièrement et le prépare à courir. Le cœur bat plus vite, le sang circule plus vite, vous respirez plus vite. Toutes vos réactions chimiques sont accélérées, mais dans leur ensemble, car votre corps a été préparé pour vivre à cette vitesse.
Mais ne pensez pas que ce que vous faites à votre corps, en courant des kilomètres et des kilomètres, est sain, car ce n’est pas le cas. Cela dépasse ce qui a été prévu et n’apporte aucun bénéfice au corps. Tout doit être équilibré. Mais revenons à l’accélération.
Vous m’avez dit que courir, c’est la même chose qu’être anxieux. C’est ainsi que vous interprétez votre anxiété ? Parce que vous ne courez pas, vous êtes immobile. C’est votre cerveau qui crée ce mouvement supposé d’accélération du temps. Il s’accélère donc lui-même. Et le reste du corps s’accélère-t-il aussi ? Non. Le reste du corps commence à ne plus comprendre quoi faire, car vous êtes immobile. Il ne doit pas entrer dans la vitesse de la course. Mais le cerveau dit : « Accélère, marche plus vite. » « Mais pour aller où, si je suis immobile ? » demande le corps.
Et là, vous remarquez qu’il y a une divergence de compréhension ? Le cerveau veut accélérer, mais le corps dit : « Non, je suis immobile, je ne vais rien accélérer. » Mais ce déséquilibre entre le cerveau et les cellules provoque un grand déséquilibre dans le Tout. Parce que certaines cellules commencent à vouloir courir, d’autres non. Et là, je vous demande : avez-vous accéléré le temps ? Avez-vous réussi à faire en sorte que cela se passe plus vite ? Non, vous n’y êtes pas parvenu.
La seule façon de faire en sorte que quelque chose se produise plus rapidement est de le faire de manière accélérée. Vous voulez faire cuire un gâteau, mais vous voulez qu’il soit prêt rapidement, alors qu’il n’est pas fait pour cela. Il doit cuire lentement, afin d’être aéré, cuit et très beau ; ah, et savoureux. Mais vous voulez que ce soit rapide, alors que faites-vous ? Vous augmentez la température et que se passe-t-il ? Il ne cuit pas et brûle. Vous comprenez ? Comme tout a son temps, tout a son équilibre ?
Le fait que vous vouliez quelque chose maintenant, aujourd’hui, n’accélère pas le temps. Le temps… d’ailleurs, un temps qui n’existe pas. Le temps linéaire que vous vivez a été créé pour vous maintenir dans cette roue dans laquelle vous êtes entrés, celle de l’anxiété, de l’attente. « Et si ce que vous attendez ne vient pas ? Qui vous garantit que cela viendra ? Vous vous serez déséquilibré pour rien.
Alors apprenez, mes frères, que l’anxiété ne mène à rien. Mettez le gâteau à cuire à la bonne température. Et laissez-le simplement là. Au bon moment, il sera prêt et délicieux à manger. Alors, faites un petit exercice.
Lorsque vous désirez quelque chose, lorsque vous pensez à quelque chose, créez à côté de vous un panier, un panier poubelle, oui. Ce panier correspond à ce à quoi vous pensez, à ce que vous désirez. Alors, chaque fois que vous vous en souviendrez, vous direz : « Je jette toute mon anxiété à la poubelle. » Et jetez-la. Faites un geste comme si vous preniez quelque chose et le jetiez à la poubelle. Pas besoin d’en faire trop, pas besoin de réfléchir, pas besoin de se concentrer. Pas besoin non plus d’être en présence divine. C’est un geste… vous, vous, en tant qu’être humain, sans l’interférence de personne. C’est vous. C’est vous qui vous rééduquez. C’est vous qui vous mettez en équilibre.
Vous vous rendez compte que vous êtes anxieux ? Faites le geste avec vos mains, comme si vous preniez quelque chose en vous et dites : « Je prends toute cette anxiété et je la jette à la poubelle » ; et jetez-la dans la poubelle. Mes frères, vous êtes des êtres puissants. Vous ne reconnaissez et n’acceptez simplement pas le pouvoir que vous avez. Cela montrera à votre cerveau que vous ne voulez pas être anxieux. Même s’il essaie d’accélérer le temps, vous direz : « Je jette cette anxiété à la poubelle » et vous la jetez dans la poubelle. Alors le cerveau dira : « Hein ? Mais elle ne veut pas, il ne veut pas m’accélérer davantage ? » Et il commencera à comprendre qu’il devra sortir de ce cercle vicieux d’anxiété, d’attente.
Remettez tout ce que vous désirez à l’univers, à la Lumière. Et vous pouvez même améliorer encore ce geste. Lorsque vous pensez que vous êtes anxieux, jetez votre anxiété à la poubelle et dites : « Je suis Lumière ! Et je suis prêt à recevoir tout ce que la Lumière et l’univers m’envoient. » Vous acceptez alors que tout viendra en temps voulu. Car la Lumière n’accélérera jamais quoi que ce soit. Elle vous apportera ce dont vous avez besoin au moment opportun.
Beaucoup utilisent déjà ce mantra, tout le temps. Mais je veux vous dire une chose, mes frères : écrire le mantra ne sert pas à grand-chose. Il faut le vivre. Il faut croire en ce qui est dit ou pensé ou, allez, même écrit. Vous souvenez-vous de l’époque où, à l’école, beaucoup d’entre vous écrivaient plusieurs fois la même phrase en guise de punition ? Et là, je vous demande : saviez-vous ce que vous écriviez ou écriviez-vous simplement pour accomplir votre punition ?
Comment je le sais ? J’observe. Nous observons tous la vie sur Terre. Nous observons chaque mouvement, chaque action. Nous savons donc tout ce qui est déjà arrivé à beaucoup d’entre vous. Alors je vous dis : vivez le mantra ! Prononcez le mantra avec conviction, alors je vous dirai : soyez dans la Présence Divine. Unissez ces deux mouvements qui consistent à rejeter l’anxiété et à accepter de recevoir de l’univers, tout en son temps, tout au moment opportun.
C’est cela, mes frères. Et je dis à chacun d’entre vous qu’il n’existe aucun remède qui guérisse l’anxiété. Le remède est comme une béquille qui vous fait croire que vous allez mieux. Mais au fond, votre cerveau continue à donner des ordres ; seulement, le remède l’a en quelque sorte rendu aphone, sans voix. Alors le corps n’entend presque plus rien, mais il continue à fonctionner à plein régime, car c’est vous qui commandez. Et votre esprit est toujours là, anxieux comme toujours.
Alors, changez, changez votre façon de voir les choses. Remettez tout à la Lumière et à l’univers. Et tout viendra en temps voulu, sans anxiété. Sans que vous ayez besoin de quoi que ce soit d’extraordinaire, tout sera très simple, tout sera en équilibre.
Pour le Code de Lumière d’aujourd’hui, je vous laisse les phrases suivantes :
« J’apprends à croire en mon pouvoir.
Et je sais qu’avec le temps, j’y parviendrai.
J’ai le pouvoir de tout changer en moi et autour de moi.
Et je m’abandonne profondément à la Lumière pour que cela se produise. »
Après ces phrases, dites le mot suivant : Calcentáticum ! Calcentáticum ! Calcentáticum !
Et n’oubliez jamais, mes frères, que vous avez le pouvoir. Le pouvoir de changer vos vies et vos corps. Croyez-y. Recherchez l’équilibre. Soyez en équilibre. Et vous verrez certainement tous les résultats en temps voulu.
Traduit du Portugais pour : https://consciencedivine.com
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Source : https://anjoseluz.net
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard