Canalisations

Yeshua : Le Christ en Vous

Bien-aimĂ©, je suis toujours avec vous. Vous pouvez m’appeler Ă  tout moment et je suis lĂ , Ă  votre service. Je suis juste lĂ  pour vous apporter la prochaine bribe, ou le grand morceau, de la rĂ©alitĂ© avec un “R” majuscule. Parfois, vous ĂȘtes prĂȘt Ă  l’accueillir, parfois vous y entrez. Et parfois, vous dites “J’en veux plus”. Et cela vient Ă  vous, dans la mesure oĂč vous ĂȘtes ouvert Ă  cela. C’est une pĂ©riode que vous avez dĂ©jĂ  programmĂ©e dans ce que vous considĂ©rez comme des vies antĂ©rieures. Vous avez mis en place certains paramĂštres de ce que vous avez et attendriez et comprendriez cette rĂ©alitĂ©, minuscule “r”, et majuscule “R”, pour savoir “Qui suis-je ?”.

Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  posĂ© la question ? “Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ? Qu’est-ce que je suis censĂ© faire ici ? Je connais certaines choses, dites-vous, certains paramĂštres, mais je ne suis pas sĂ»r de la TotalitĂ©. Je pense que si je connaissais la TotalitĂ©, je serais peut-ĂȘtre submergĂ©.” En vĂ©ritĂ©, on ne vous donnera jamais plus que ce que vous pouvez supporter. Mais on vous donnera plus pour que vous puissiez le supporter. Alors, allez-y, demandez. C’est bien de demander. Acceptez ce qui vient Ă  vous et demandez-vous (j’ai vu que vous le faisiez) : “À quoi sert ce message ?

Qu’est-ce que cela signifie vraiment ? Qu’est-ce que je suis censĂ© faire avec cette information ?” Puis vous vous ĂȘtes dit : ” Je pense que je vais simplement jouer avec “.

C’est la meilleure approche. Permettez-vous d’ĂȘtre en vacances. Physiquement, oui, car vous entrez dans une pĂ©riode de voyage, peut-ĂȘtre ou de vacances, mais aussi pour prendre des vacances de “C’est comme ça que ça doit ĂȘtre”.

En vĂ©ritĂ©, il n’y a rien ni personne qui puisse vous dire que les choses doivent se passer d’une certaine maniĂšre. Vous ĂȘtes le chef de votre propre orchestre et vous orchestrez une vie merveilleuse. C’est pourquoi certains d’entre vous ont Ă©tĂ© attirĂ©s dans le passĂ© par la reprĂ©sentation d’un programme connu sous le nom de “It’s A Wonderful Life” (C’est une vie merveilleuse). Et oui, comme on dit, vous vous y ĂȘtes laissĂ© prendre, vous l’avez apprĂ©ciĂ©, vous avez dit “Ça fait du bien !”. Et oui, vous mĂ©ritez de vous sentir bien.

Vous orchestrez la mise en place de cette vie pour complĂ©ter ce qui vous a semblĂ© incomplet. Et pourtant, dans d’autres vies, vous avez dĂ©jĂ  tout achevĂ©. Vous ĂȘtes donc en train de reconstruire. Ce qui revient Ă  dire Ă  ceux d’entre vous, et il y en a dans ce groupe, qui ont tendance Ă  prendre la vie au sĂ©rieux. Bien que vous puissiez mettre cela de cĂŽtĂ© et dire : “HĂ©, vous savez que l’orchestration de tout cela, c’est ma rĂ©alitĂ©. Et si je n’aime pas ce qui semble ĂȘtre la rĂ©alitĂ©, je peux reprogrammer et re-juger. En d’autres termes, c’est seulement le jugement qui dit qu’il doit ĂȘtre validĂ© d’une certaine maniĂšre. Vous pouvez peut-ĂȘtre prendre du recul et vous dire : “Comment cela se prĂ©senterait-il si j’Ă©tais quelqu’un d’autre ? Oh, vraiment ? Et il me verrait comme une personne sage qui sait ce qu’elle fait ? Ah ! je les ai bien eus”

Avez-vous dĂ©jĂ  ressenti cela ? Bien sĂ»r que oui. MĂȘme lorsque vous ĂȘtes un petit, , connectĂ© Ă  l’Être Divin que vous ĂȘtes, et que vous avez dit “Je vais jouer un peu. Je vais leur suggĂ©rer qu’ils ne me connaissent pas vraiment, et que j’en sais plus qu’eux.” Alors les petits viendront vers vous et vous diront des paroles de sagesse. Ils vous diront des choses auxquelles vous avez peut-ĂȘtre pensĂ©, ou auxquelles vous avez l’habitude de penser, ou auxquelles vous pourriez penser, et ils vous donneront l’Ă©lan nĂ©cessaire pour regarder plus loin : De regarder plus loin, de voir plus loin, et d’ĂȘtre trĂšs heureux de ce que vous ĂȘtes en train d’assembler.

Je sais maintenant qu’un Ă©go sĂ©parĂ© jugera. C’est sa fonction, de juger et de dire : “Eh bien, vous n’avez pas fait ce programme tout Ă  fait comme il faut. Vous n’avez pas dit ce que vous aviez prĂ©vu de dire. Vous n’ĂȘtes pas allĂ© jusqu’au bout”.

C’est cela l’Ă©go sĂ©parĂ©. Vous, en tant que la PrĂ©sence Je Suis que vous ĂȘtes, ĂȘtes toujours parfait.

Ce que vous ĂȘtes amenĂ© Ă  dire, Ă  penser, a une raison, un but derriĂšre lui. Et ne le jetez pas comme un dĂ©chet avant de l’avoir rĂ©ellement regardĂ© et d’avoir fait la Paix avec lui. Car chaque Message qui vous parvient, mĂȘme si vous ne voulez pas l’entendre, “et non, non, non, je n’Ă©coute pas”. Il continuera Ă  frapper Ă  votre porte jusqu’Ă  ce que vous l’ouvriez un peu et que vous vous disiez : “Y a-t-il un avantage lĂ -dedans ?”. Et il y en a toujours un : Un avantage qui vous est offert en cadeau.

Je dis ceci Ă  mon amie et enseignante bien-aimĂ©e, celle que vous connaissez sous le nom de Judith : “Si vous voulez bien vous taire un instant. Respirez. Prenez le souffle de la vie et dĂ©tendez-vous.” Parce que parfois, pas trop rĂ©cemment, l’esprit va s’enfuir. L’esprit veut savoir. Le mental veut tout comprendre. Et parfois, les piĂšces de la vie ne s’emboĂźtent pas tout Ă  fait comme vous le souhaiteriez. Vous vous direz alors : “Qu’est-ce qui ne va pas dans ma façon de manifester ? Je pensais pouvoir manifester X, Y et Z.” Donnez-lui du temps. Faites preuve de patience. Les choses se mettent en place.

En effet, avant de vous incarner, vous vous ĂȘtes tracĂ© un chemin. Et vous l’avez Ă©tabli de maniĂšre Ă  pouvoir en profiter – ĂȘtre dans la joie avec lui. Et de prendre parfois du recul et de dire : “Wow ! J’ai programmĂ© tout ce drame ?” ou “J’ai programmĂ© tous ces rires ? J’ai programmĂ© la rencontre de certaines choses ? C’est un drame pour moi. Et pour les autres. Quel est l’intĂ©rĂȘt de tout cela ?” Et lorsque vous posez la question, lorsque vous devenez silencieux, cela vient Ă  vous – parfois avec plus de force que vous ne l’attendiez ! Et parfois vous dites : ” Ahh, attendez une minute, donnez-moi cela en petits morceaux. ” J’ai entendu mon amie et enseignante bien-aimĂ©e, celle que vous connaissez sous le nom de Judith, dire : ” Attendez une seconde. Je n’ai pas besoin de tout le trop-plein avec tout.” Et c’est bien ainsi. Un morceau Ă  la fois, une respiration Ă  la fois.

Vous avez, Ă©coutez-moi bien, programmĂ© une vie – cette vie – pour ĂȘtre dans la joie, pour ĂȘtre dans le bonheur, pour ĂȘtre dans la dĂ©couverte, pour aller dans des endroits diffĂ©rents, pour interagir avec des personnes diffĂ©rentes, pour dire des choses dont vous vous demandez : “D’oĂč cela vient-il ? J’Ă©tais vraiment plus sage que je ne le pensais”.

Lorsque vous vous asseyez avec ce qui s’est passĂ© et que vous regardez les dons qui apparaissent, vous vous dites : “Oh vraiment ? “Oh, vraiment ?” Je vous ai tous entendu dire cela, d’une maniĂšre ou d’une autre : “Oh, vraiment ?” Et c’est une bonne chose. Parce que vous pouvez surprendre le moi limitĂ© de la sur-Ăąme intĂ©rieure de vous-mĂȘme. Et cela se produira. Ils viendront frapper Ă  la porte de votre Conscience jusqu’Ă  ce que vous preniez une profonde respiration et que vous disiez “Oh, d’accord. Il doit y avoir un cadeau dans tout cela. Il doit y avoir une vĂ©ritĂ© que je ne veux pas entendre ou que je ne crois pas pouvoir entendre.”

Et oui, vous vous ĂȘtes offert les cadeaux les plus merveilleux, des expĂ©riences pour aller dans des endroits, voyager et voir des parties du monde que vous n’avez jamais vues auparavant, Ă  ce qu’il semble.

– Ce n’est pas vrai, mais il semble que ce soit le cas – pour quitter des personnes dont vous vous dites : ” Je ne l’ai jamais rencontrĂ©e auparavant. ” Et oui, bien sĂ»r, vous l’avez rencontrĂ©. Chaque personne qui vient Ă  vous est un ami de cette vie ou d’une autre vie. Il n’y a pas de hasard. Vous appelez ceux qui ont la prochaine parcelle de sagesse Ă  partager avec vous. Et si vous ne la saisissez pas tout de suite, elle reviendra. “C’est trĂšs bien, parce que parfois je ne suis pas assez sage pour le saisir la premiĂšre fois. Et donc oui, j’ai aimĂ© la rĂ©pĂ©tition. C’est bon, Jeshua.”

Comme vous l’avez convenu, cela vous reviendra, de sorte que vous aurez une autre occasion d’en rechercher la richesse. Car chaque situation, chaque rencontre contient un cadeau pour vous. Et parfois, c’est assez Ă©vident. “Oh, j’ai vraiment aimĂ© cette personne. Nous nous amusons beaucoup ensemble. Nous sommes toujours en train de rire.” Mais parfois, vous vous dites : ” Je n’ai pas envie d’aller voir cette personne. Elle est toujours si morose. Tout est dĂ©primĂ©. Je n’aime pas son Ă©nergie.”

Eh bien, pensez-vous, et entendez-moi bien, vous ĂȘtes l’enseignant, dans certaines situations, pour venir bondir dans la relation qui semble ĂȘtre lourde, et dire : “HĂ©, allĂšge-toi !”. Peut-ĂȘtre dans ces mots, peut-ĂȘtre pas dans ces mots, mais d’ĂȘtre la prĂ©sence de la LumiĂšre partout oĂč vous allez. Car vos frĂšres et sƓurs sont en quĂȘte de LumiĂšre. Ils veulent savoir : “Qu’est-ce qui est bon dans la vie ?”

Ils ne le diront peut-ĂȘtre pas de cette façon. Mais il se peut qu’ils aient le sentiment que “j’ai fait quelques erreurs dans cette vie. J’ai pensĂ© X, Y et Z, mais non. Peut-ĂȘtre X. Pas Y. Certainement pas Z. Non, non.” Et pourtant, chaque rencontre est un cadeau. Ne vous empressez donc pas de l’exclure. Permettez-lui d’ĂȘtre ce qu’elle est. Et de dire : “D’accord, il doit y avoir quelque chose de plus profond.” Et c’est toujours le cas. Car c’est ainsi qu’on se l’approprie, qu’on se l’offre. Vous l’habillez ou l’abaissez. Et vous dites : “Je veux savoir pourquoi.” Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© pourquoi ? Bien sĂ»r, il n’y a personne sur cette terre qui n’ait jamais dit en substance : “Pourquoi suis-je ici ? Qu’est-ce que je suis censĂ© faire ? Je pensais que ce serait un terrain de jeu. Je pensais que je m’incarnerais et que je m’amuserais.

Et vous savez, cela a Ă©tĂ© parfois amusant. Mais la plupart du temps, c’Ă©tait une lutte”. Mais sachez que la vĂ©ritĂ© est lĂ . La vĂ©ritĂ©, c’est que chaque rencontre, chaque situation est un cadeau pour vous si vous la regardez avec un peu d’humour, un peu de LumiĂšre.

J’ai vu cela se produire avec mon amie et enseignante bien-aimĂ©e. “Oh, non, pas ça. Non !” Et puis il s’avĂšre qu’elle voit un autre cĂŽtĂ© de la mĂ©daille. “HĂ©, vous savez, c’Ă©tait vraiment amusant. Je suis vraiment contente d’avoir rencontrĂ© cette situation, cette personne, etc.” Regardez toutes les expĂ©riences, les situations que j’ai vĂ©cues.” Et oui, elle est arrivĂ©e au seuil de la sortie de la vie physique. Et oui, elle a choisi avec la plus grande voracitĂ© de continuer Ă  vivre la vie humaine. Elle est arrivĂ©e Ă  cette porte, Ă  ce seuil, et elle a dit : “Non, je veux rester ici !”. Et l’Ă©vidence qui s’est imposĂ©e aux experts, c’est qu’elle Ă©tait en route, qu’elle avait terminĂ©. Elle a dit : “J’ai encore des choses Ă  faire. J’ai plus d’amis avec lesquels je veux interagir. Il y a des amis que je n’ai pas encore rencontrĂ©s. Je veux les rencontrer. Il doit y avoir plus.”

Ceux d’entre vous qui entendent ce Message, et vous savez qui vous ĂȘtes, vous pouvez le prendre profondĂ©ment en vous et savoir que vraiment, vous ĂȘtes toujours aux commandes de votre vie : Vous savez combien de temps elle va durer, avec qui vous allez interagir, quels dons vous allez recevoir. Et si vous ne le voyez pas la premiĂšre fois, et vous en avez fait l’expĂ©rience, il reviendra et se rejouera pour que vous ayez la chance de le regarder d’une maniĂšre diffĂ©rente. Une façon de regarder quelque chose et de dire : “Oh, eh bien, il doit y avoir de l’Amour lĂ -dedans quelque part. Oh, vous voulez dire que je suis censĂ© donner de l’Amour ? Oh, je pensais que c’Ă©tait l’inverse.”

Et puis il y a ce Aha oĂč la LumiĂšre s’allume. “D’accord, je vais sourire Ă  travers ça.” Et tout le monde se demandera : “Pourquoi sourit-il ?” Parfois, ils viendront vous voir et vous diront : “Vous savez, les apparences ont l’air…”. . Comment pouvez-vous ĂȘtre heureux avec ça ?” Eh bien, tant qu’il y a du souffle dans le corps et que la vie continue, considĂ©rez que tout va bien. CĂ©lĂ©brez-les. Sachez qu’en vĂ©ritĂ©, chaque jour est un cadeau que vous vous faites Ă  vous-mĂȘme, mĂȘme si vous avez l’impression d’ĂȘtre en S-H-I-T. Et il y a des jours oĂč vous rencontrez soit des occurrences, soit peut-ĂȘtre une autre personne qui semble ĂȘtre vraiment dĂ©primĂ©e Ă  propos de quelque chose et vous ressentez l’Ă©nergie qui dit “Non, je ne veux pas de cette Ă©nergie.” Et pourtant, il y a une raison, un appel, pour vous d’ĂȘtre avec cette personne et d’ĂȘtre heureux de lui montrer que oui, il peut toujours y avoir un sourire sur le visage et un peu d’humour. Vous ĂȘtes trĂšs douĂ©s pour cela, pour apporter aux autres le sourire.

Vous tous qui ĂȘtes rassemblĂ©s cet aprĂšs-midi, vous ĂȘtes les guĂ©risseurs. Cela vous a Ă©tĂ© dit Ă  maintes reprises. Au dĂ©but, vous considĂ©riez qu’il s’agissait d’une guĂ©rison physique et oui, c’est souvent un sous-produit qui vient avec. Mais la guĂ©rison a Ă  voir avec la Conscience de soi, le SOI majuscule, et le fait de savoir qu’en vĂ©ritĂ© vous dansez dans la vie, sans avoir Ă  lutter, sans avoir toujours l’impression de monter. En effet, vous ĂȘtes parfois au sommet de la montagne. Vous ĂȘtes passĂ© par lĂ , vous connaissez ce sentiment oĂč la perspective que vous avez ressentie : ” Je peux voir pour toujours depuis cet endroit ! “. Vous l’avez fait physiquement et spirituellement : “Je peux voir – mĂȘme si c’est juste faiblement – oĂč ce chemin me mĂšne, oĂč cette vie me mĂšne. Et c’est bien !” Quelle surprise !

Vous avez orchestrĂ© – entendez-moi bien – vous avez orchestrĂ© cette vie comme un cadeau Ă  vous-mĂȘme. Et vous ĂȘtes encore en train de le dĂ©baller. Alors, dĂ©ballez, apprĂ©ciez, soyez dans l’anticipation de “Qu’est-ce que je peux vivre de plus ? Quel est le cadeau que je reçois ? Comment puis-je partager ce cadeau avec d’autres et les faire sourire, ou au moins leur donner un peu d’espoir pour qu’ils puissent se dire qu’il y a quelque chose Ă  espĂ©rer, car si vous avez de l’espoir, “il doit y avoir quelque chose qui me manque”. C’est pourquoi je veux ce que vous avez. Je veux avoir un sourire sur le visage”.

Et vous savez donner. Vous n’avez jamais eu Ă  donner Ă  quelqu’un d’autre. L’espoir que oui, il y a du soleil. Il n’y a pas que des coups de tonnerre et des Ă©clairs : Toutes les incidences qui semblent difficiles. Il peut y avoir du bon. Il peut y avoir votre ami qui vous sourit. Et vous verrez ce sourire et saurez que oui, “Ils voient ma LumiĂšre. Je ne la vois pas, mais eux la voient.” Et c’est le plus beau des cadeaux.

Vous tous qui ĂȘtes rassemblĂ©s cet aprĂšs-midi et les autres personnes avec lesquelles vous allez interagir, vous ressentez le don de la guĂ©rison parce que vous les voyez comme des ĂȘtres entiers. Peut-ĂȘtre pas sur le plan physique, mais sur le plan spirituel. Et vous savez que chaque vie a un but. Chaque vie est, comme vous le dĂ©couvrez et comme vous le vivez, c’est dans le don que vous prenez vie. C’est ce que vous ĂȘtes personnellement, en tant qu’individu, qui vous permet de donner. Et cela, en soi, est un miracle.

“Jeshua, vous voulez dire que j’ai quelque chose Ă  donner, quelque chose Ă  partager ?”. Bien sĂ»r. Vous avez tous le sourire. “Mais je n’ai pas envie de sourire.” Vous avez tous la possibilitĂ© d’avoir le livre de blagues, et de l’avoir dans votre poche. Et si tout est de la lourdeur, vous sortez le livre de blagues, et vous dites : “Vous avez entendu celle-lĂ  ?”, et ils vous rĂ©pondront : “Ne m’embĂȘtez pas”. Et vous direz : “Il y avait un homme qui marchait sur la route. .” Et il y a une leçon, aussi simple soit-elle, qui dit que la vie est belle. Parce que vous n’auriez pas – Ă©coutez bien ceci – vous n’auriez pas choisi la physicalitĂ©, la vie que vous vivez maintenant, si vous ne saviez pas qu’il y a une raison et un but derriĂšre tout cela. Vous l’auriez ignorĂ©e, elle ne vous aurait pas attirĂ©.

Mais au niveau de l’esprit, au niveau spirituel, vous avez su qu’il y avait une essence de bonheur en elle, de Joie de l’esprit. Et vous avez dit : “Je veux ressentir cela Ă  nouveau.” Parce qu’en vĂ©ritĂ©, vous avez eu des vies – ce n’est pas quelque chose de nouveau pour vous et votre systĂšme de croyances. Oui, vous avez eu d’autres vies, et vous avez eu des vies qui semblaient des plus dĂ©vastatrices.

Et pourtant, vous ĂȘtes lĂ , vous vivez encore, vous bougez, vous respirez, vous pensez, vous espĂ©rez que oui, l’esprit vaincra toute la dĂ©pression humaine. La dĂ©pression humaine est un acte. C’est le deuxiĂšme acte de la piĂšce. Dieu merci, c’est le deuxiĂšme, car il y a toujours un troisiĂšme acte.

C’est la prise de conscience finale qui dit : “HĂ©, vous savez, c’Ă©tait vraiment difficile de s’en sortir. Je ne pensais pas que j’allais m’en sortir. Je pensais que… . Mais voilĂ , je suis lĂ . Et le soleil brille, heureux de m’avoir avec lui. Il doit y avoir quelque chose de bien dans cette vie.” Et c’est le cas !

Vous avez un cadeau Ă  partager. Chacun d’entre vous, vous avez un cadeau que vous vous ĂȘtes appropriĂ© avant l’accouchement et vous avez dit : ” Je vais partager cela avec les autres, qu’ils le veuillent ou non. ” Parce qu’il y en aura qui entreront dans votre sphĂšre d’influence et qui diront : “Oh, elle est folle. Elle croit en la bontĂ© de la vie. Et regardez ce qui lui est arrivĂ©. Elle est orpheline. Elle a eu un accident de voiture. Il lui est arrivĂ© X, Y et Z. Si cela m’arrivait Ă  moi, je ne le ferais pas. Si cela m’arrivait Ă  moi…”. Et ils continuent Ă  dramatiser. Et pourtant, ils voient le sourire sur votre visage. Ils voient que vous ĂȘtes en bonne santĂ© dans cette vie. “Comment peut-elle ĂȘtre heureuse dans cette vie ? Regardez comme elle est pauvre. Elle n’a pas beaucoup d’argent. Regardez Ă  quel point elle est handicapĂ©e physiquement. Elle doit avoir des cannes pour pouvoir marcher. Et pourtant, elle est heureuse. Comment peut-elle ĂȘtre heureuse ? Et cela nous amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir, Ă  Ă©largir notre comprĂ©hension de la vie et des cadeaux qu’elle nous offre. Et parfois, le plus souvent, en fait, les cadeaux arrivent quand on s’y attend le moins. On se dit alors : “D’oĂč cela vient-il ? Hey, je vois les choses diffĂ©remment maintenant”. Avez-vous dĂ©jĂ  dit cela ? Bien sĂ»r que oui. Parce que maintenant, il y a un autre aspect que vous n’aviez pas pris en compte auparavant. Et maintenant, vous vous dites : “Oh, d’accord. Cela a un sens, cela a un but. C’est de cela qu’il s’agit !” Parfois, cela prend toute une vie. Parfois, il faut plus d’une vie. Faites preuve de patience. C’est une chose que j’ai rĂ©pĂ©tĂ©e Ă  maintes reprises Ă  l’une d’entre elles : Patience, trĂšs chers. Ayez de la patience.

C’est une qualitĂ© qui vous servira, Respirez. Soyez patient. Car, par essence, tout, tout ce que vous appelez la rĂ©alitĂ©, mĂȘme le “r” minuscule, contient le don de la joie. Il vous faudra peut-ĂȘtre vraiment le chercher. Vous devez peut-ĂȘtre mettre de cĂŽtĂ© de vieux enseignements et dire : “Oh, je vois cela diffĂ©remment. On m’a appris, mes parents l’ont dit, tous mes amis l’ont dit, que X, Y et Z sont mauvais. Et que je souffrirais de le croire.” “Je vois les choses diffĂ©remment maintenant”. Et c’est le dĂ©but de la Joie.

Parce qu’en vĂ©ritĂ©, lorsque vous ĂȘtes mis au monde, mĂȘme dans la physicalitĂ©, vous recevez un don. Et c’est le don de la Joie, une vie entiĂšre de possibilitĂ© de joie. Et parfois, vous l’avez trouvĂ©e. Parfois, elle vous est apparue en pleine figure, et vous avez dit : “HĂ©, je me sens si bien. Je suis content que ce soit arrivĂ©.” D’autres fois, vous vous dites : ” Je ne pense pas que je vois de la joie lĂ -dedans. ” Et pourtant, il y a toujours – entendez bien cela – une essence de joie dans chaque situation. MĂȘme s’il s’agit simplement de vous montrer Ă  la hauteur de l’occasion, de dire Ă  l’autre : “Ce n’est pas grave. Cela aussi passera.” Et vous savez, par votre propre expĂ©rience, que oui, vous pouvez ĂȘtre au plus profond du dĂ©sespoir, au plus profond de la pensĂ©e : “Il n’y a rien de bon dans le monde. Personne ne m’aimera. Rien ne va jamais s’arranger.” Et puis quelqu’un arrive et vous dit : “HĂ©, vous savez, je vous aime vraiment bien. Chaque fois que vous ouvrez la bouche, vous dites un morceau de, de sagesse qui m’Ă©lĂšve.” Et vous vous dites : “Hein ? D’oĂč ça vient ?” Et vous vous interrogez.

Mais c’est vous. Parce qu’il y a beaucoup plus en vous que ce que vous avez reconnu jusqu’Ă  prĂ©sent. Et vous dites : “Mais Jeshua j’ai 93 ans. Je pense que j’ai Ă©tĂ© lĂ , que j’ai fait cela, que j’ai tout vu. Et la plupart du temps, c’Ă©tait du gĂąchis.” Soyez patient. Dans votre 94e annĂ©e, vous allez prendre vie. “Quoi ?” Cela peut ĂȘtre, et sera, vrai, si vous le permettez.

Vous vous prĂ©senterez et vous direz : “La vie est belle. J’ai un ami ; je suis un ami.”

Lorsque vous passez de cette place de “j’ai” Ă  la place oĂč “je suis”, tout prend une nouvelle LumiĂšre. Vous ĂȘtes passĂ© par lĂ , vous avez ressenti cela. Personne ne s’Ă©chappe de la vie sans connaĂźtre la LumiĂšre qui peut ĂȘtre dans la vie. Personne ne s’Ă©chappe dans l’obscuritĂ© et n’y reste pour toujours. Entendez bien cela. Vous ĂȘtes la LumiĂšre. Vous apportez votre LumiĂšre dans toutes les situations. Et si c’est avec un sourire qui dit : ” Bon, je joue la comĂ©die ; je ne me sens pas vraiment aussi heureux. ” Jouez ! Apportez votre lumiĂšre. Permettez aux autres de ressentir l’Ă©lĂ©vation du sourire. Une petite histoire humoristique peut-ĂȘtre. Vous tous, entendez bien Moi. Je l’ai fait et ça marche.

Ayez une histoire que vous pouvez partager avec quelqu’un qui a l’impression qu’il n’y a rien de bon dans une vie. Pourquoi continuer Ă  respirer ? Il y a des personnes qui ont l’impression d’avoir Ă©tĂ© lĂ , d’avoir fait cela, d’avoir tout fait, et qu’il n’y a pas eu de joie. Et ils se demandent : “Pourquoi m’a-t-on dit avant l’incarnation qu’il y aurait de la joie et du bonheur ? Je ne l’ai tout simplement pas vu.” VoilĂ  votre indice. Vous ne l’avez pas vu. Et cela a Ă©tĂ© tout autour de vous, en opportunitĂ©, tout le temps. Si – nous l’avons dit Ă  maintes reprises – vous voulez le cadeau de l’Amour, faites-le. Si vous voulez le cadeau de l’amitiĂ©, offrez-le. Si vous voulez savoir que la vie est belle, vivez-la. Vivez-la en sachant que “Oui, je ne suis pas ici par accident et personne dans l’incarnation n’est ici par accident”. “Oh, oui, Jeshua, je ne savais pas ce que je demandais.” Eh bien, jouez le premier acte de toute la piĂšce. Prenez un rĂŽle. Sachez que vous ĂȘtes en train de jouer un rĂŽle. Et au bout d’un moment, cela deviendra une seconde nature. Puis une premiĂšre nature. Et vous direz : “Vous savez, c’est assez amusant. J’Ă©tais avec un groupe d’amis. Et j’ai dit quelque chose de drĂŽle. Je ne savais pas que c’Ă©tait drĂŽle. Mais ils ont tous commencĂ© Ă  rire. Et puis j’ai regardĂ© Ă  nouveau. Et j’ai compris oĂč ils voulaient en venir. Et oui, c’Ă©tait de l’humour. Et oui, , comment l’ai-je su ?” Acceptez-le. Soyez ouvert. Vivez la vie avec l’Amour de la vie. En vĂ©ritĂ©, c’est un cadeau que l’on se fait Ă  soi-mĂȘme. C’est un cadeau de courir dans les champs. C’est un cadeau de courir dans la premiĂšre vague de l’ocĂ©an. Savez-vous ce que vous ressentez ? Si ce n’est pas le cas, je vous suggĂšre d’essayer. Regardez ce vaste ocĂ©an, c’est comme, Oh, mon Dieu. Ensuite, mouillez vos orteils. Et puis peut-ĂȘtre jusqu’au genou. “Oh, mais Jeshua, ça va me faire tomber.” Et si c’est le cas, que se passera-t-il ? “Oh, je vais m’asseoir sur le sable et j’aurai du sable dans les fesses.” Est-ce que c’est grave ?

Ne vous prenez pas au sĂ©rieux ! Jouez comme l’enfant divin et saint que vous ĂȘtes.

Tout ce que vous crĂ©ez est lĂ  pour que vous en profitiez. Pour en tirer de la Joie ? Pour savoir Ă  quel point vous pouvez ĂȘtre crĂ©atif ? Et que vous ĂȘtes ? Et si vous en arrivez Ă  dire : “Non, non, c’est moi qui ai crĂ©Ă© tout ce dĂ©sordre. Je ne l’aime pas.” Le changer ? Comment le changer ? ” Je ne sais pas. Jeshua. C’est un problĂšme. Je ne sais pas comment le changer.” Vous mettez un sourire sur le visage. Et les autres se demanderont pourquoi il/elle sourit. “C’est un pauvre mendiant.

Ils sont dans la rue. Ils n’ont pas de toit au-dessus de leur tĂȘte. Ils ne savent pas d’oĂč viendra leur prochain repas. Comment peuvent-ils sourire ? Ils savent qu’en souriant, ils offrent un cadeau Ă  un autre. Et un autre voudra la compagnie de celui-lĂ . Le sourire, le toucher bienfaisant. Et il voudra rendre la pareille. Cela peut prendre un jour ou deux ou un peu plus de temps, mais c’est vous qui crĂ©ez le temps. Et vous pouvez l’accĂ©lĂ©rer en sachant que vous ĂȘtes celui qui crĂ©e. Étant de l’essence du CrĂ©ateur, le CrĂ©ateur divin, que vous ĂȘtes, prenez cela profondĂ©ment dans votre cƓur, dans votre connaissance de vous. Vous ĂȘtes le prolongement du CrĂ©ateur, avec un “C” majuscule, sinon vous n’auriez pas de vie. Si vous ĂȘtes le prolongement du CrĂ©ateur et que vous crĂ©ez votre vie au fur et Ă  mesure, changez-la ! Souriez et les autres viendront vers vous et se demanderont : “Pourquoi souriez-vous ? Qu’est-ce qui vous rend heureux ?” Et vous partagez avec eux. Vous partagez votre amitiĂ© avec eux. S’ils ont besoin d’un repas, vous les emmenez et vous leur achetez un repas ou vous prĂ©parez un repas chez vous pour eux. Ou s’ils cherchent un repas d’affirmation, en d’autres termes, “Oui, vous valez vraiment la peine.

Vous ĂȘtes un ĂȘtre Divin”. Vous ne le dites peut-ĂȘtre pas en ces termes, mais vous leur dites : “Vous avez des qualitĂ©s, des capacitĂ©s dont nous avons besoin”.

“Je n’ai rien, Jeshua.” Si, vous avez quelque chose. Et vous trouvez quelque chose Ă  leur complimenter pour les amener Ă  la Conscience. Vous avez fait cela de nombreuses fois. Vous l’avez tous fait Ă  maintes reprises. Peut-ĂȘtre pas avec autant de mots. Mais vous avez regardĂ© l’autre et vous avez souri. Et ils se sont demandĂ©s : “Pourquoi sourit-elle ? Il n’y a rien de bon ici.” Vous avez souri et vous leur avez dit quelque chose. Et vous leur avez posĂ© une question. “Pourquoi veut-elle savoir ce que je pense. Je n’en suis pas digne, mais elle pense que j’ai peut-ĂȘtre une rĂ©ponse.” Vous avez changĂ© la vie de quelqu’un Ă  ce moment-lĂ . C’est ce que vous avez fait. Vous avez dit : “Oh, eh bien, ce n’Ă©tait qu’une amie. Et elle avait juste besoin d’une petite affirmation que les choses allaient bien se passer.” Oui, elle en avait besoin. Oui, vous lui avez donnĂ© cette affirmation. Oui, vous l’avez regardĂ©e et vous l’avez vraiment vue, elle ou lui. Et vous avez vu l’essence de la possibilitĂ© – la probabilitĂ©. Et c’est de lĂ  qu’est nĂ©e la rĂ©alitĂ©.

Vous ĂȘtes tous les magiciens, ceux qui regardent un peu plus profondĂ©ment pour trouver l’essence, l’essence christique de chacun, la bontĂ©, qui ne demande qu’Ă  ĂȘtre partagĂ©e. Vous l’avez tous fait. Vous avez regardĂ© un ami qui semblait souffrir et ĂȘtre dĂ©primĂ©. Et vous avez dit, que ce soit conscient ou, bien souvent, non conscient, mais c’est juste sorti comme une vĂ©ritĂ©. Et vous avez soulignĂ© un aspect de la personne qu’elle n’avait peut-ĂȘtre pas reconnu ou dont elle n’avait pas tenu compte comme Ă©tant digne d’intĂ©rĂȘt. MĂȘme le sourire fait des merveilles. Vous l’avez constatĂ©. Des personnes entrent en votre prĂ©sence et se disent : “Je ne sais pas pourquoi je respire encore. Je ne sais pas pourquoi je suis encore lĂ .” Vous leur avez souri. Et ils ont fait une double prise, et ont pensĂ©, “Pourquoi est-ce qu’il me sourit ?” C’est peut-ĂȘtre ma fermeture Ă©clair qui est dĂ©faite ?” ou quelque chose d’humain. Ils vous sourient parce qu’ils reconnaissent le potentiel de la valeur. Elle est lĂ , peut-ĂȘtre mĂ©connue. Et pourtant, vous le reconnaissez. Vous vous approchez d’eux et commencez Ă  leur parler en souriant. Et ils se disent : “Elle doit penser qu’elle voit quelque chose que je ne vois pas”. “Pourquoi me parle-t-elle ? Je n’en vaux pas la peine. Mais je vais jouer comme si je l’Ă©tais.” Et vous les faites jouer, vous les faites entrer dans ce rĂŽle. Et “HĂ©, vous savez, c’est facile, ce rĂŽle me semble vraiment facile. J’aime l’espace d’ĂȘtre ami d’ĂȘtre ‘avoir un sourire sur le visage’ heureux. Peut-ĂȘtre que je le referai”. Ils se sont engagĂ©s dans une voie. Et vous leur avez dit : “Pourquoi n’essayez-vous pas celui-lĂ  ?” sans prononcer les mots. Parce que vous avez regardĂ© plus profondĂ©ment pour voir la valeur de l’essence de ces personnes. Toutes les personnes que vous rencontrez, quelle que soit leur apparence extĂ©rieure, ont l’essence du Christ. Sinon, ils n’auraient pas de corps. Ils n’auraient pas de naissance. La physicalitĂ©, dans son essence, est un miracle.

Vous savez, vos scientifiques ont fait des Ă©tudes Ă  ce sujet : combien d’Ɠufs une femme peut-elle produire au cours d’une vie ? Combien d’entre eux sont ensuite fĂ©condĂ©s jusqu’Ă  ce qu’il y ait une forme de vie ? Combien de ces formes vivantes naissent Ă  l’Ă©tat d’essence vivante, pour ĂȘtre sur deux pieds ? Ou s’il s’agit d’un animal de compagnie bien-aimĂ© sur quatre pieds, peu importe, pour faire l’expĂ©rience de la vie. C’est un miracle. Et pourtant, vous vous dites : “Oh, eh bien”.

Ce moment prĂ©sent, ce temps que nous passons ensemble est un temps d’UnitĂ©. C’est un temps de connaissance, cƓur Ă  cƓur, de l’essence de la bontĂ©. MĂȘme si, lorsque vous avez franchi la porte de cette piĂšce, vous vous ĂȘtes dit : “Eh bien, vous savez, je suis bon Ă  99 %. Mais il y a une partie de moi qui ne sait pas vraiment tout. Mais je fais bonne figure. Je fais comme si je pouvais savoir. Et si je ne sais pas, je dis “je sais comment trouver”, ce qui est une bonne façon de faire. Si vous ne savez pas de quoi il s’agit, je le dĂ©couvrirai pour vous. C’est prĂ©cieux. En d’autres termes, vous ne vous ĂȘtes pas arrĂȘtĂ©. Vous n’avez pas empruntĂ© le chemin et puis “Oh, je ne peux pas aller plus loin”. Vous avez permis l’ouverture pour vous-mĂȘme et pour les autres, pour voir que la vie est vraiment en cours, que ce soit avec la physicalitĂ© ou l’Esprit, vous ĂȘtes toujours en train de vivre. “ Je ne savais pas cela, Jeshua. Je pensais que lorsque la physicalitĂ© mourrait, c’Ă©tait la fin pour moi.” J’ai des nouvelles pour vous, vous avez jouĂ© plus que vous ne le savez, comme l’essence, le fantĂŽme, peut-ĂȘtre, qui est entrĂ© dans la maison comme une forte brise et a changĂ© tout dans la piĂšce, vous avez voulu connaĂźtre votre pouvoir. Vous avez donc jouĂ©. Continuez Ă  jouer. Cela fait du bien au corps. Et l’essence aussi.

Maintenant, mes bien-aimĂ©s, cela a Ă©tĂ© ma grande joie de vous rencontrer de cette façon pour pouvoir jouer avec les idĂ©es du mental et les amener Ă  l’endroit du cƓur qui sait que JE SUIS l’Amour, JE SUIS la Joie, JE SUIS l’amitiĂ©. JE SUIS. Et je me rĂ©jouis d’en faire l’expĂ©rience extĂ©rieure. Vivez chaque jour comme s’il s’agissait d’un cadeau. Car c’en est un.

Certains d’entre vous arriveront parfois Ă  l’endroit oĂč il y a la possibilitĂ© de continuer, comme vous l’appelez, de sortir de la physicalitĂ©. Et vous avez dit, comme mon ami et enseignant bien-aimĂ© l’a dit, ” Non, pas encore. J’ai encore d’autres choses Ă  faire pour amener dans la manifestation physique. Non !” Et votre parole est une loi. ” Wow, Jeshua, je ne savais pas que j’Ă©tais aussi puissant. ” Votre parole, votre dĂ©cision, votre connaissance de l’essence de la vie est puissante. C’est vous qui commandez. “Vraiment, je pensais que les petits morceaux de mal-ĂȘtre Ă  l’intĂ©rieur de mon corps Ă©taient aux commandes”. Non, c’est l’inverse : C’est vous qui ĂȘtes responsable d’eux. Et si vous ne voulez pas suivre ce qui semble ĂȘtre la dĂ©termination de cette voie, levez-vous. Vous ĂȘtes l’essence de Dieu, de la DĂ©esse, de Tout ce qui est. Vous ĂȘtes l’essence de Dieu, de la DĂ©esse, de Tout ce qui est, sinon vous ne le seriez pas. Prenez-le Ă  cƓur. Vivez la vie !

Qu’il en soit ainsi.

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Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com

Source : https://eraoflight.com

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