Canalisé par Foelia
Bienvenue ici, chers amis cocréateurs ! Déjà la quatrième entrevue avec Laina ! Et nous avons du pain sur la planche pour traiter un maximum des questions que vous nous avez envoyées. Pour ma part, je m’en réjouis énormément ! J’apprends beaucoup, dans un axe différent de mes habitudes. C’est très enthousiasmant pour moi, et je vous remercie donc pour votre participation active et précieuse.
Pour que la diffusion s’élargisse, n’oubliez pas de liker et de vous abonner à ma chaine. C’est un rôle important que chacun peut jouer dans ce monde, qui a ses propres règles du jeu.
Laina, je suis heureuse de te retrouver autour des questions de nos amis. Bienvenue à toi !
Merci Foelia. Je partage ta joie et je suis en pleine forme pour cet exercice !
Eh bien lançons-nous avec cette première question du jour, envoyée par Y. à ton intention :
Pouvons-nous demander que descende plus de Lumière sur Solter ? Je me sens de plus en plus prêt à l’accueillir et la rayonner, mais sommes-nous suffisamment à l’être ? Ou devons-nous tous être arrivés à un certain stade minimal ? À moins que seulement certains d’entre nous doivent l’être pour le collectif ? As-tu des pistes ?
D’abord merci Y. pour ta question ! C’est évident que vous pouvez demander plus de Lumière. En réalité, chaque fois que vous la demandez, vous vous autorisez vous-mêmes à en recevoir une dose supplémentaire. Chaque appel compte !
Ta question me laisse penser que tu t’en mets beaucoup sur le dos. Tu voudrais que le monde change, n’est-ce pas ? Et je te comprends. Mais lorsque, derrière tes mots, se cache l’objectif de faire changer le monde, il y aura toujours une forme de déception à la clé. C’est à chacun de vous de demander plus de Lumière et de la rayonner chaque jour. C’est un travail individuel, qui devrait s’effectuer sans autre but que le dépassement de soi-même. Du moins si on ne veut pas souffrir d’un certain idéal projeté sur le monde extérieur. Le résultat extérieur dépend de tellement de paramètres dont nous n’avons pas conscience ! Peut-être le monde va-t-il se transformer vers le beau, peut-être va-t-il imploser. Mettons-nous une fois pour toutes à l’aise avec chaque hypothèse. Si nous agissons pour éviter la fin du monde, nous nourrissons ce scénario. C’est de la métabolique subtile. Partons du fait que le monde n’ira jamais mieux ! Vraiment, jouons à ça ! Sachant qu’il va vers sa fin, cela change-t-il ton enthousiasme à aimer du mieux que tu peux à chaque instant ? C’est ça la clé. En réalité, nous n’avons pas besoin de moteur extérieur pour avancer en amour. C’est le moteur de la décision qu’il faut mettre en route, et ce n’est jamais une fois pour toutes. C’est à refaire le plus souvent possible.
Ne crois pas que je ne comprenne pas ta question. Il y a bien sûr des étapes qui sont franchies collectivement à chaque fois que l’énergie d’amour permet de faire tomber un voile. Je dis ça pour que vous puissiez laisser tomber un fardeau inutile : le chemin sera collectif, et il est motivant de savoir qu’on travaille pour le collectif, mais le but est de déterrer vos plus belles forces d’instant en instant. Enfin, c’est comme ça que je me le représente pour que ma joie reste intacte. J’oserais même vous conseiller de laisser tomber l’espoir et de lui préférer l’enthousiasme. Le second est bien actif, là où le premier est trop souvent passif.
Voilà donc la piste que je me donne à moi-même et que je vous partage en toute transparence.
Notez bien aussi que chacun de vous a sa propre feuille de route. Certains sont là pour voir ce qui va se passer. Et d’autres, certes moins nombreux, sont venus pour que les choses se passent. Si vous m’écoutez ici, c’est probablement parce que vous faites partie de ceux qui veulent faire avancer les choses dans le sens du beau, n’est-ce pas ? Alors je vous suggère de voir votre but dans le présent uniquement. Le futur désirable peut être projeté en avant pour s’assurer qu’on oeuvre dans la bonne direction, mais ce n’est qu’une ligne d’horizon qui reculera à chaque pas. Ce sont les pas du coeur qui vous musclent en amour. Qu’en pensez-vous ?
Personnellement, je crois bien sentir ce fardeau qu’on peut laisser tomber. Ce fardeau qui prend parfois la forme de l’espoir tourné vers l’extérieur. Mais ce n’est pas si simple à comprendre.
C’est pourtant limpide il me semble. Tout ce que vous projetez devant vous comme un but active vos émotions dès le moment où vous vous identifiez à ce but. Vous préparez le plaisir s’il se réalise et la déception s’il ne se réalise pas. On peut conserver toute cette énergie, qu’on peut même appeler stress, et l’orienter vers le bonheur du pas suivant. Cela ne change rien, extérieurement. Vous avancez tout autant, le stress en moins. C’est ça que je voulais aider Y. à lâcher.
Ok. En espérant que ton clin d’oeil lui parvienne !
Une autre question de M. :
Si Laina était dans notre dimension avec sa conscience actuelle de 5D, comment évoluerait-elle ici ? Et quel moyen utiliserait-elle pour continuer son évolution, ses activités et ses interactions avec les autres formes de vies dans cette densité ?
D’une certaine façon nous regardons toujours pour évoluer vers le haut et j’aimerais prendre le contre-pied en regardant cette fois-ci du haut, donc de la dimension de Laina, vers le bas, c’est-à-dire nous !
Tu comprends cette question Laina ?
Oui, je la comprends à ma manière. Si j’étais sur votre plan dense avec ma conscience 5D, je ferais exactement la même chose que Foelia : créer ma forme d’expression pour partager mon amour avec tout ce qui m’entoure. Vous devez bien comprendre que les dimensions de perception ne sont pas les plans de densités différentes. On peut tout à fait réveiller sa conscience là où vous êtes, pour percevoir cinq directions. C’est ce que vous faites à chaque fois que vous créez quelque chose par joie. Et vous le faites certainement au moins un peu, non ?
Et qu’on prenne les choses par le haut ou le bas, les deux parlent d’évolution. Je veux dire que nous sommes comme les arbres. Plus nous enfonçons nos racines dans le sol, plus nous avons la force de tendre nos branches et nos feuilles vers le ciel. Je pourrais certainement vous rejoindre en plongeant dans la densité et je serais confrontée, comme chacun de vous, aux traumatismes de ce monde, à ses conditionnements, ses habitudes. J’aurais à trouver en moi ma charge d’amour, à réveiller mon courage et ma détermination… et je repartirais avec une plus grande aptitude à déployer ces forces.
Il se fait que, pour le moment, j’ai choisi un autre rôle, mais qui m’enseigne tout autant : m’ingénier à trouver tous les canaux possibles pour atteindre Foelia, et maintenant, vous atteindre en plus grand nombre. Pour ça aussi, j’active de nouvelles forces à chaque instant. Je rencontre mes déceptions là où j’avais mal placé un espoir extérieur (clin d’oeil à Y.), je me relève, je fais le point, je rechoisis la joie et je trouve de nouveaux moyens pour la rendre plus rayonnante encore. Mon plan est plus fluide. Ma conscience 5D est ma demeure la plus régulière, là où vous avez plus de peine à la mettre à jour.
Tout ça pour dire que je ferais certainement la même chose que vous si j’étais à votre place ! Tout en étant unique et différente. Voilà.
Merci Laina ! C’est beau de t’entendre dans la simplicité de ton être.
Maintenant une question de S. :
Que sont nos rêves nocturnes et y a-t-il un intérêt à retenir ou analyser ce qu’on en capte en se réveillant ?
De ce que j’en sais, vos rêves nocturnes sont des aventures vécues sur d’autres plans, plus ou moins éloignés. Ce qui est particulier sur Solter, c’est que vous êtes presque toujours inconscients de ces voyages. Je veux dire que vous n’avez pas bâti de pont de conscience entre les plans subtils que vous visitez et votre conscience de veille. Il y a des gens qui aiment explorer tout ça. N’est-ce pas Foelia ?
Oui ! C’est vrai que je me suis toujours intéressée à ça, à exercer ma conscience pour faire le pont.
Après, ce qui est important, c’est de faire ce que vous aimez. Si vous vous prenez de passion pour l’analyse des rêves, eh bien foncez ! Vous découvrirez des choses et vivrez des expériences. L’intérêt qu’il y a à donner votre attention à vos rêves, c’est que ça permet de réveiller votre conscience sur les autres plans. Si vous écrivez vos rêves tous les jours, par exemple, vous finirez par vous réveiller au milieu de vos rêves, ce qui donnera un rêve lucide, parce que votre âme sera connectée à votre conscience de veille, tout en visitant un autre plan. C’est un bel outil pour visiter l’univers entier ! Vous êtes tous promis à fusionner votre conscience de cette manière. Tous, nous avons à retrouver notre mobilité à travers les plans de conscience tout en conservant la mémoire de notre parcours.
Merci Laina ! Question suivante ?
Volontiers !
C’est une autre question de S. :
Une théorie qui résonne très fort dans mon cœur postule que nos monuments historiques et antiques (églises, mausolées, arcs, temples, citadelles, mosquées, châteaux etc.) un peu partout sur la planète seraient d’anciens générateurs d’énergie libre (issue de l’éther capté, condensé et stocké pour être diffusée par la voie de l’eau, avec l’aide du son) et dont les anciens réseaux de canaux, réservoirs, déversoirs, aqueducs etc. seraient le réseau de distribution de cette énergie gratuite mise au service de tous à une époque antérieure.
Ma question porte sur la véracité de cette théorie et surtout sur la reconstruction possible de ce type de réseau énergétique, est-ce encore une voie d’avenir ou doit-on chercher d’autres types d’énergie (plasma, point zéro…). D’ailleurs, est-ce que le plasma et l’éther seraient la même chose ?
Oulàlà ! Ce n’est pas du tout mon champ d’expertise ! Foelia est bien plus qualifiée que moi là-dessus. Je suis psychologue et très peu scientifique. Et je n’ai qu’une vague connaissance de l’histoire solterienne. Veux-tu répondre, Foelia ?
Ok. Je n’ai pas de savoir sur ces questions, mais j’aime bien me les poser aussi. J’ai la ferme sensation qu’on a oublié, ou qu’on nous cache délibérément, bien des choses concernant notre histoire. Que les bâtiments produisent une énergie, ça me parait évident. Maintenant, peut-être pas tous une énergie convertible mécaniquement. En tout cas, certains membres de la flotte d’Ishtar proposent de chercher au niveau du son. Je crois qu’on va rapidement redécouvrir ce que nos ancêtres maitrisaient, et qu’on aura la chance d’aller voir encore plus loin.
Désolée de ne pas pouvoir en dire plus sur cette question, S. ! Il faudrait s’adresser à nos amis d’Ishtar qui ont ce genre de connaissances. Pour l’heure, je propose qu’on reste avec Laina.
Une dernière question de A. :
Ma question à Laina est la suivante : Comment apprendre petit à petit à reconnaitre les sources d’inspiration qui animent l’humaine nature incarnée ?
Ce que je peux formuler aussi ainsi : Comment nous reconnaitre individuellement, au-delà des plans et des dimensions afin de renforcer notre amitié, notre intimité et harmoniser notre complicité collective ?
Deux formulations, mais une même question.
Pour reconnaitre notre fraternité, il faut être capable de faire la paix en soi. Cela passe par un grand pardon, profond, avec tous les abus que vous avez subis et ceux qui vous les ont fait subir. Derrière ce pardon coule la source de toute inspiration. C’est même lui qui donne l’accès à l’inspiration. Si vous ne voyez plus d’ennemi dans votre histoire passée, vous parviendrez à percer le voile du jugement qui vous pousse à projeter sur l’autre vos vieilles rancoeurs. Passer ce mirage de haine, il reste la joie, et la joie est une source inépuisable d’inspiration.
Ce sont vos rancoeurs et vos culpabilités qui vous maintiennent le nez par terre, écrasés par le poids du jugement et maintenus dans des limites de perceptions très étroites.
Cette question est un peu la clé de voute de la porte du coeur. Si vous pardonnez en vous, vous commencerez à percevoir la beauté que vous portez, et celle que portent ceux qui vous entourent. Cela développe certes la complicité entre chaque membre d’un groupe, mais aussi l’état d’esprit de fraternité universelle avec toute la création.
C’est votre gros morceau. C’est la grosse étape que vous invite à franchir votre monde maintenant. Ce n’est pas une mince affaire et c’est pour ça que vous êtes là, pour apprendre de passer d’une vision limitée à trois dimensions à une vision non seulement pacifiée dans la quatrième dimension de votre coeur, mais aussi inspirée par la cinquième coordonnée qui ouvre les portes d’une action nouvelle, toujours créative, toujours joyeuse, toujours intense.
Voilà, cher A. ce que je peux répondre à ta question.
Merci Laina ! Merci pour ces merveilleux moments de partage, qui me touchent.
Il nous reste des questions, mais nous les traiterons lors de notre prochaine entrevue. Pour l’heure, je vous salue, chers amis cocréateurs, et vous souhaite autant d’aller-retours que possible dans votre cinquième dimension.
N’oubliez pas de partager ces mots s’ils vous touchent. Je vous dis à la semaine prochaine, même lieu, même heure !
Plein d’amour pour vous !
Votre dévouée Foelia.
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