Canalisé par Rob Loveland
Rob : Je pense que ce sera la Madeleine. Donc, je suis assis sur le banc dans mon paysage sacré, surplombant l’eau. Elle admire la vue.
Donc Marie, je ne sais pas vraiment de quoi parler. J’ai tiré la carte de l’espoir. [Je suis heureux] d’en parler, si vous avez quelque chose à partager. … J’essaie juste d’aller plus en profondeur et de me libérer davantage, de m’abandonner davantage.
Marie Madeleine : Je vous salue. C’est Marie Madeleine. Et oui, Rob, j’admire votre paysage ici. Vous disiez tout à l’heure à votre coéquipier que vous étiez autrefois un artiste. Je pense que vous l’êtes toujours. C’est une sacrée création !
L’idée de l’espoir, comme je pense que vous le savez, est de vivre à partir de ce lieu de connaissance absolue de qui vous êtes et de ce qu’est le Plan Divin, et de la façon dont vous vous intégrez dans ce Plan. Et oui, Rob, pour vous, c’est savoir en vous-même quelle sagesse vous avez à partager et à offrir. Que vous soyez un enseignant actif ou non au sens formel du terme n’a pas d’importance. Vous trouvez des moyens d’exprimer votre sagesse dans n’importe quelle situation, dans n’importe quelle interaction.
Et cette sagesse consiste à pouvoir exprimer aux autres qui ils sont, qui vous êtes tous, d’où vous venez, pourquoi vous êtes ici et où vous allez. Et le temps est proche…
Rob : Désolé, ce mot me fait rire.
Marie Madeleine : Le temps est proche où tant de choses seront révélées. C’est le moment de s’accrocher à ce que vous savez, à cette sagesse à l’intérieur de vous, être capable de discerner que ce que vous voyez dans le monde extérieur n’est pas vraiment ce qui se passe dans les coulisses. Un plan beaucoup plus vaste est à l’œuvre.
Alors, tenez-vous-en à ce que vous savez [et] attachez-vous à ce socle. Et, comme l’a dit la Mère, amusez-vous. Il n’y a aucune raison, quelles que soient les apparences extérieures, il n’y a aucune raison d’être morose, d’avoir peur.
Sachez que tout cela, tout ce qui se passe, fait partie du plan de la Mère, et que tout se déroule exactement comme il se doit. Ce n’est peut-être pas la manière que vous préférez, mais nous savons tous les deux que cela n’a pas d’importance. Lorsque vous vous engagez à servir tous les autres, ce que vous pensez, ce que vous voulez, ce que vous désirez, c’est simplement cela : être au service des autres.
Et oui, les idées qui vous sont venues hier soir, les technologies qui seront bientôt diffusées sur la planète pour l’amélioration de l’humanité, elles arrivent. Si vous souhaitez en faire partie et y contribuer, alors nous vous encourageons absolument à y mettre votre énergie, à y mettre vos ressources. Ce n’est qu’une autre forme de service.
Si c’est ce que vous désirez, faites-en une création. Faites-en une partie de votre avenir. Que vous le fassiez ou non n’a pas d’importance. Quoi que vous choisissiez de faire, vous le ferez, comme c’est votre façon naturelle d’être, vous exsuderez la sagesse qui est en vous, car elle ne peut rester immobile. Elle veut s’exprimer.
Soyez donc ce canal. Soyez cette bénédiction pour les autres.
Et je suggérerais, puisque vous y pensez aussi, que l’interaction que vous avez eue récemment avec votre chef au travail et que vous avez trouvée gênante, ne vous en préoccupe pas. Une fois de plus, par votre présence, vous exsudez la sagesse qui est en vous, car vous ne pouvez pas faire autrement.
Mais je suggérerais que, si cela vous dérange, vous preniez une part active à l’expression de ce sentiment, en aidant les autres. Mais comme nous le savons tous les deux, il s’agit simplement de quelque chose qui se produit, quelque chose pour vous enseigner, quelque chose comme un indicateur pour regarder en vous-même. Pourquoi cette interaction vous dérange-t-elle ? Il y a là quelque chose pour vous. Et le plus souvent, cela tire sur ces vieilles ficelles, cette notion de manque d’estime de soi, de jugement de soi. Lâchez cela.
Je crois que j’en ai assez dit pour l’instant. Je serais heureuse de répondre aux questions, si quelqu’un en a. Sinon, je vais simplement m’asseoir ici et profiter de la vue 🙂 .
Témoin : Quelque chose m’est venu à l’esprit lorsque vous avez dit que tout cela était le plan de la Mère – TOUT cela ! Tout ce qui se passe est le plan de la Mère, et une partie de mon esprit s’est dit : « Attendez une minute. Qu’en est-il de certaines de ces choses, vous savez, moins aimantes, plus violentes ? Qu’en est-il de la troisième dimension ? » Tout à l’heure, Mère Marie a parlé de la facilité avec laquelle vous êtes tous prêts à descendre votre énergie pour être avec nous, et j’entends de différentes sources que nous sortons de la troisième dimension. Mais la Troisième Dimension, sous une forme ou une autre, ou à un degré ou un autre, fera-t-elle encore partie des choses, et avons-nous besoin d’être aussi aimants et acceptants de la Troisième Dimension que vous l’êtes ?
Marie-Madeleine : Oui, en effet, la Troisième Dimension existera toujours. Vous serez simplement ancrés dans un état plus élevé, dans une dimension plus élevée, et mieux à même d’interagir avec les densités inférieures. Et toute la notion qu’il y a certains aspects de la réalité de la Troisième Dimension qui sont moins qu’aimants, c’est une caractéristique de ce qui s’est passé au cours des millénaires. Donc, bien que cela puisse sembler peu aimant, et en effet cela apparaît ainsi, c’est simplement le reflet de ce qui doit venir à la lumière. Tout cela doit être exprimé [vers l’extérieur/ouvert] afin d’être libéré, et tout le monde doit le voir pour ce qu’il est afin de le libérer.
Alors oui, c’est inconfortable, peut-être dans le processus, mais c’est nécessaire.
Témoin : On pourrait faire l’analogie avec un enfant de deux ou trois ans qui fait une crise de colère, c’est désagréable, mais c’est une étape naturelle de son développement.
Marie-Madeleine : En effet, c’est le cas, mais il faut aussi comprendre que la crise doit se produire pour permettre à l’énergie de l’enfant d’être libérée. C’est simplement la façon dont ils ont appris à l’exprimer. Encore une fois, cela peut être inconfortable, mais c’est nécessaire.
Témoin : Hmm. Il faut donc permettre et accepter l’amour.
Marie-Madeleine : C’est exact. Et comme je l’ai dit plus tôt, en exhalant votre propre sagesse, il serait très utile que vous considériez cela du point de vue de la Neutralité Divine, en restant en dehors de la mêlée, pour ainsi dire, et en rayonnant simplement l’amour, de sorte que tous les autres vous verront comme un exemple de quelqu’un qui ne s’engage pas dans le combat, pour ainsi dire, mais qui montre plutôt le chemin de la paix.
Témoin : Merci.
Marie-Madeleine : J’ai été ravie de vous rencontrer aujourd’hui. Je vais maintenant prendre congé. Au revoir.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://loveland-slc.com