Les Anges, canalisé par Julie Boerst
Quel que soit l’objet de votre attachement, vous êtes guidé en douceur pour vous en défaire. Vous pouvez ressentir de l’attachement par le biais d’une douleur émotionnelle ou physique. Il s’agit simplement d’un attachement, et vous êtes capable de trouver les pensées auxquelles vous êtes attaché. Lorsque vous apprenez à répondre de manière appropriée à la douleur, quelle qu’elle soit, il y a toujours une présence douce et puissante avec vous et tous les autres, qui vous guide régulièrement et vous aide dans la mesure du possible. Au fur et à mesure que vous vous enfoncez dans l’autorisation, vous voyez le reflet de cette présence tout autour de vous.
Les autres personnes qui font partie de votre vie vous aident à trouver les endroits où vous êtes attaché à des fardeaux perceptuels. Sans eux, vous ne sentiriez pas aussi clairement où vous êtes attaché à quelque chose qui semble séparé de vous. Pensez-y. En réalité, vous êtes entier et uni à tout. Ce n’est que lorsque vous percevez une séparation et que vous vous attachez à une surface que vous ressentez une quelconque douleur. Lorsque vous revenez au début de votre parcours, à la totalité que vous n’avez jamais quittée, il n’y a pas de fossé entre vous et ce que vous semblez regarder ou à quoi vous pensez. Dans votre plénitude actuelle, il n’y a pas de douleur.
Vous vous adaptez à un système d’exploitation mis à jour. Lorsque vous quittez une couche de souffrance, vous pouvez vous sentir déconcerté parce que vous avez interprété la souffrance comme étant à la fois votre stabilité et votre identité. Il est instructif de voir comment vous avez voulu la souffrance et comment vous semblez encore vouloir toutes les couches de souffrance auxquelles vous êtes encore attaché. Mais maintenant, vous êtes au milieu de tout cela. Vous pouvez maintenant voir comment vous en sortir. Il est maintenant tout à fait clair que lutter pour s’accrocher à la souffrance, c’est reculer. Vous avez maintenant en vue la véritable stabilité que vous avez toujours partagée avec tous. Et vous pouvez vous y fier.
La mesure dans laquelle vous n’aimez pas, repoussez ou blâmez quelqu’un ou quelque chose est la mesure dans laquelle vous repoussez l’effet de guérison de votre Soi partagé. Ce malaise qui consiste à se débattre, à croire qu’un autre soi est quelque chose d’autre que ce que vous êtes et avez toujours été, c’est de la douleur. Dites-vous ceci : Derrière cette frontière de douleur, je ne fais qu’un avec quelque chose. Je peux l’atteindre dans sa plénitude et me reposer avec elle.
Vous récupérez ainsi toutes les parties de votre moi que vous pensiez avoir rejetées. La douleur ne fait que tracer une ligne imaginaire à travers quelque chose qui est déjà entier et qui le sera pour toujours. Une fois que vous avez compris que la douleur n’a pas de sens, elle n’a pas besoin de se manifester pour vous rappeler ce que vous avez oublié. La douleur n’a jamais assuré votre sécurité ni celle de quiconque. C’est ce que vous voyez enfin.
Le degré de résistance qui semble céder chez ceux que vous appelez les autres est le degré de résistance qui cède en vous. Tout et tous sont des miroirs, et leurs apparences sont très facilement transformables. Vous n’avez pas à craindre ce changement facile d’apparence car il ne sert que ce qui est uni et bon en vous tous. L’apparence communique, et l’apparence n’est qu’un simple outil que l’Esprit peut utiliser. L’ego vous livrera de nombreuses pensées sur les apparences et leur signification, mais l’Esprit utilise simplement l’apparence de manière douce et efficace.
Tout est là pour être utilisé par ce que vous Êtes afin de montrer à chacun à quel point il est aimé, entier et en sécurité. Tout va bien et notre intégrité n’a jamais été endommagée.
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://lovesbeginning.com
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Avec tout mon Amour... Bernard