Dieu Père/Mère ~ Canalisé par Gloria Wendroff ~
Dieu a dit :
Lorsqu’il y a force, c’est votre volonté, pas la mienne. Lorsque vous vous forcez à faire quelque chose, c’est qu’il se passe quelque chose. La force, c’est le contrôle, et le contrôle n’est pas de Dieu.
Parfois, mes enfants ont soif, et ils perçoivent qu’ils doivent trouver de l’eau à un endroit et pas à un autre. Ils travaillent donc dur pour atteindre l’eau à partir de la source qu’ils ont désignée à l’avance. De l’eau de là, pas d’ici, disent-ils.
Je crois que c’est une bonne idée de trouver Dieu là où vous le trouvez.
Où que vous soyez, vous pouvez me trouver, car je suis là. Je suis certainement là, car vous êtes ici avec Moi. En vérité, il n’y a pas d’ici et d’ailleurs. Tout comme il n’y a pas d’hier et d’aujourd’hui.
Tout est un courant tourbillonnant.
Toute l’eau éclabousse partout. Vous ne pouvez pas l’attraper. Elle se déplace. L’eau que vous pouvez attraper dans un seau n’est pas la même que l’eau qui éclabousse. Vous pouvez capturer l’eau, mais vous avez bloqué la lumière du soleil en l’attrapant.
Laissez l’eau éclabousser où elle veut.
Ne l’endiguez pas.
Laissez la vie couler.
Ce n’est pas d’une errance sans but dont je parle. Ce n’est pas l’opinion publique.
Il s’agit de surfer sur la vague de Dieu.
On attrape la vie en ne l’attrapant pas.
Laissez-la vous attraper.
Laissez-la vous soulever.
La vie soulève.
C’est la profondeur de l’océan qui vous donne de la hauteur.
La profondeur de l’océan est toujours là pour vous soutenir.
Vous venez du fond de l’océan.
Vous n’êtes pas au sommet de l’eau.
Vous êtes porté par les vagues de l’eau, mais les vagues qui vous portent viennent de quelque part.
C’est tout ce que vous devez savoir.
Le courant de la vie vous transporte.
Laissez-vous porter.
Ne soyez pas si pointilleux.
Ne dictez pas ce que la vie doit être.
Trouvez ses bancs et ses canaux.
Trouvez le courant profond de la vie et laissez-vous porter.
Ne faites pas du sur-place.
Ne courez pas après l’horizon.
L’horizon viendra à votre vue.
Profitez de votre baignade dans l’eau.
Vous n’avez pas besoin d’en sortir.
Vous n’avez pas à vous mettre sur la pointe des pieds.
Vous n’avez pas à vous précipiter.
Écoutez les profondeurs de l’eau et ce qu’elles vous disent. Elle vous dira quand aller à l’est et quand aller à l’ouest.
L’eau est reliée aux étoiles et à la lune. La lune tire l’eau, mais l’eau fait signe à la lune.
Vous recherchez le Suprême.
Vous ne cherchez pas ce qui est banal.
Mais parfois, dans votre recherche du Suprême, vous passez à côté. Vous êtes tellement occupé à chercher. Vous êtes tellement occupé à chasser. Vous êtes tellement occupé à rester là où vous êtes, à hésiter à aller de l’avant, à vous accrocher à ce que vous avez été.
Soyez avec Moi maintenant.
Vous êtes la lune, et je vous appelle à moi.
Notre connexion est profonde.
Je ne vous éloigne pas de votre chemin. Je veux que vous suiviez votre chemin.
Je vous appelle à Moi. Cet appel est notre amour.
Ce désir ardent que vous ressentez est notre amour qui s’appelle lui-même.
Qui appelle ? Est-ce vous ou est-ce Moi ?
Quelle est la fin ? Il n’y a pas de fin. Quel est le premier et quel est le dernier ? Il n’y a ni premier ni dernier. Il y a l’Unité.
La séparation est fausse.
Nous sommes Un.
Je m’appelle moi-même.
Les vagues sur l’eau sont momentanées.
Les vagues se réjouissent d’elles-mêmes. Elles se réjouissent de leur existence même, et elles savent d’où elles viennent. Elles savent ce qu’elles sont et où elles retournent. Les vagues ne pensent pas à leur existence. Elles s’immergent dans les profondeurs de l’océan et remontent. Elles s’immergent et bondissent.
Lettre du Paradis n°21 Publiée le : 6 décembre 2000
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
Contribution volontaire
Avec tout mon Amour... Bernard
