Dieu Père/Mère ~ Canalisé par Gloria Wendroff ~
Dieu a dit :
Sans les limites que vous vous êtes fixées, vous avez l’impression de voler à l’aveugle. Et c’est exactement ce que vous devez faire. Vous ne pouvez que voler à l’aveugle. Tous les paramètres que vous fixez sont des interférences. Le fait est que vous volez à l’aveugle de toute façon. Vous notez ces petits points de repère et vous pensez que cela signifie que vous savez où vous allez. Vous ne savez même pas où vous avez été, mes enfants.
Vous volez à l’aveuglette, ou ce n’est pas voler. Voler en suivant les étoiles, c’est autre chose. Mais vous devez connaître la sagesse des étoiles pour pouvoir vous y fier.
Vous avez un système de guidage intérieur qui vient d’en haut. Il ne vient pas de la petitesse. Il vient de la grandeur. Il ne vient pas de petits repères, mais d’un vaste territoire sans repères. Vous devez avoir confiance. Quel autre choix avez-vous ?
Le vol auquel vous vous êtes inscrit ne comporte pas de petits rails auxquels vous pouvez vous accrocher. Il ne comporte pas de petits endroits où vous pouvez poser vos pieds. Pour voler, vous devez vous lancer.
Vous avez volé toute votre vie.
Toute votre vie est un vol vers la grandeur, sinon vous la fuyez.
Voler ou fuir.
Aller de l’avant ou reculer.
Résister ou accepter.
Retenir ou lâcher prise.
Il est temps de lâcher prise. Vous avez suffisamment retenu.
Et vous vous êtes accroché à un fantasme.
Lâchez prise sur le fantasme, et vous m’avez.
C’est tout ce qui reste.
Après le fantasme, il y a Dieu.
Tout ce que vous avez toujours eu, c’est Moi.
Vous pensiez simplement avoir quelque chose, mais ce que vous pensiez avoir n’existait pas. Vous pensiez avoir la peur et le danger. Quelle imagination vous avez !
Depuis toujours, vous m’avez eu, et je suis tout ce que vous avez eu.
Est-ce si grave ?
Est-ce que cela vous rend moins important d’avoir eu Dieu tout au long de votre vie ?
Ne pas avoir été conscient de ce que vous aviez signifie que vous n’avez pas été attentif.
Vous avez compté des futilités. Vous étiez tellement occupé à compter que vous avez oublié de lever les yeux et de voir ce qui est au-delà du comptage. Vous avez mesuré le mesurable et vous avez oublié de regarder l’incommensurable.
Je suis trop vaste pour être mesuré. Comment mesure-t-on l’infini ?
Vous avez essayé de mesurer la distance entre vous et moi, et je vous dis qu’il n’y a pas de distance à mesurer. La distance n’existe pas. Vous et moi existons. L’unité existe.
Jusqu’où pouvez-vous compter un ?
Que vous et moi ayons jamais été séparés est une illusion. Que nous devions reconnecter des morceaux pour former un tout est également une illusion.
Ici et maintenant, vous avez tout.
Vous n’êtes pas une écharde. Vous n’êtes pas un morceau déchiré. Vous êtes la Totalité. Seulement, vous l’avez oublié. Je vous le rappelle, et vous avez peur d’y croire, car vous craignez que ce ne soit pas vrai, et vous ne voulez pas être déçu une fois de plus.
Je n’ai jamais été déçu par vous. Je vous ai toujours considéré comme Mon précieux Moi. C’est maintenant ce que vous devez voir. Et voyez-le maintenant. Voyez Notre réunion et non une dissimulation imaginaire. Car à moins que vous ne vous ouvriez à Notre Unité, vous dissimulez.
Lettre du Paradis n° 32 Publiée le : 13 décembre 2000
Traduit et partagé par : Accueillir la Conscience Divine : https://consciencedivine.com
Source : https://rainbowwaveoflight.wordpress.com
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Avec tout mon Amour... Bernard
