Canalisé par Vania Rodrigues.
Chers enfants de cette belle planète ! JE SUIS HILARION !
Une fois de plus, je viens vous aider sur ce chemin du pardon. Cela semble être une éternité, cela semble être une très longue route et il sera très difficile d’atteindre la fin. Mais je vous le dis : ces sept tours vont bientôt passer. Pour vous, le temps passe parfois vite, parfois lentement, mais ce qui compte vraiment, c’est ce qui se passe pendant ce temps. Et vous avez besoin de vous observer, vous avez besoin de reconnaître en vous tout ce qui vous est montré afin de comprendre les attitudes à prendre.
Vous êtes dans une phase très facile, paisible, vous êtes extrêmement détendu dans ce tour, mais tous les cadeaux que vous recevez sont là, travaillant en chacun de vous. Ce ne sont pas seulement des cadeaux en tant que tels, ce sont des cadeaux qui agissent dans votre âme et donc dans votre corps physique. Le rayon vert est le rayon de la guérison, c’est le rayon qui ramène au centre tout ce qui est déséquilibré.
Mais un fait très intéressant est que vous voulez la guérison, vous la voulez tous. Mais vous voulez un remède miracle, cet élixir miracle que vous prendrez et vous serez guéri. Mais curieusement, après avoir pris l’élixir, la maladie revient au bout d’un moment. « Pourquoi ? Je n’ai pas été guéri, pourquoi est-ce que c’est revenu ? » Parce que l’élixir était miraculeux, il guérissait les symptômes que vous ressentiez, pas la maladie. Parce que le remède à toute maladie se trouve en vous, il réside dans le changement à opérer par chacun d’entre vous afin d’atteindre ce remède.
Les déséquilibres que vous provoquez dans votre corps entraînent des maladies. Vous prenez des médicaments, vous vous rétablissez ; si vous arrêtez, tout revient parce que vous alimentez le déséquilibre. Ainsi, le remède n’est pas dans le médicament, le remède est dans l’équilibre de vos attitudes, de vos pensées, de vos façons de vivre. Et chaque fois que vous vous rapprochez d’une conduite douce, calme, sereine, tranquille et surtout confiante dans l’instant à venir, sans anxiété, inquiétude ou nervosité, vous vous rapprochez de la guérison.
C’est le chemin. Il n’existe pas de thérapie holistique ou de remède de votre monde qui puisse apporter la guérison des maladies internes. Même les maladies extérieures pénètrent dans votre corps à cause de vos déséquilibres. Lorsque vous êtes en équilibre, vous n’avez pas de maladies externes car elles ne peuvent pas pénétrer ; elles pénètrent dans les corps déséquilibrés. Ne cherchez pas la guérison à l’extérieur de vous, elle est à l’intérieur. Dans le cadre de votre changement dans votre façon de vivre, de penser, de parler et de ressentir. C’est comme si le monde s’écroulait à côté de vous et que vous n’aviez pas peur du tout, parce que vous avez confiance qu’il est tombé de votre côté, mais il n’est pas tombé sur vous, donc tout va bien.
Observez vos marches. Qu’apportez-vous de bon ou de mauvais à vos corps et à vos esprits ? Qu’est-ce qui apporte la joie dans votre vie, qu’est-ce qui apporte l’ennui dans votre vie ? Cherchez toujours à apporter le positif dans vos vies, et ce qui apporte le négatif, cherchez à en tirer la force,
essayer de les regarder avec dédain, sans se soucier d’eux. Une assiette est tombée, cassée, que faire ? Se plaindre, crier, pleurer parce que l’assiette s’est cassée ? Non, il suffit de nettoyer le sol pour que personne d’autre ne soit blessé et de le jeter. « Ah mais je dois acheter une autre assiette ! » En avez-vous vraiment, vraiment besoin ? Ou bien vous avez un tas de plats en réserve pour vous ne savez même pas qui.
Commencez à voir votre vie d’une manière plus légère, sans tant de règles, sans tant d’étiquettes ridicules qui ont été créées au fil du temps. Dans quel but ? Vous laisser tel que vous êtes : plein de modes, plein de vices, plein de processus répétitifs, plein d’ennuis… Au nom de quoi ? Ah, au nom d’une étiquette, au nom d’un mode de vie. Quel bien cela vous fait-il ? Je vous assure, rien.
Vivre simplement, vivre hygiéniquement toujours, mais sans exagération. Vivez dans quelque chose d’harmonieux, pas dans quelque chose d’impeccable, où si quelqu’un le touche ou le déplacent, cela vous désespère. C’est vivre, au nom de quoi ? Réalisez alors que dans les plus petites choses vous vous déséquilibrez. Et quel est le résultat ? La maladie, de plus en plus la maladie.
Commencez à voir la vie d’une manière légère, sans ces étiquettes ridicules qui ont été créées. Vivre dans un environnement harmonieux, propre et agréable, mais sans exagération. Et certainement, avec le temps, vous apprendrez à regarder une chose déplacée et à ne pas y faire attention, à ne pas lui donner de valeur. Et alors vous pourrez dire : « J’ai atteint mon moment d’équilibre ». C’est ce que vous devez rechercher, l’équilibre.
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