Canalisations

Message de la Source – 6 Juillet 2024

Canalisé par Jean-Luc Ayoun

La SOURCE – Jean-Luc Ayoun
De Cœur à Cœur
Une rencontre Intimiste

Mon Ami, mon Aimé, l’heure est venue de te trouver. Rappelle-toi du Serment, rappelle-toi de la Promesse. Rappelle-toi de l’Éther Primordial que tu es. Rappelle-toi de l’instant où il n’y avait pas besoin ni de mémoire, ni de souvenir. Rappelle-toi du Grand Silence que tu es et au-delà du souvenir de chaque parcelle de ta conscience, en ce monde comme en tout monde, l’heure est venue de l’Appel, l’Appel de toi-même pour toi-même.

Le temps est venu de te donner. Le temps est venu de te livrer à ce que tu as toujours été avant la naissance du temps, avant le déploiement de l’espace, avant même que nous prononcions nos Serments et nos Promesses. Il est temps de te livrer. Il est temps de te trouver car, en Vérité, jamais tu ne t’es perdu. Tu n’as fait que parcourir les chemins de la création. Tu en as parcouru tous les chemins. Tu en as vu et manifesté tous les possibles, et même ce qui fût impossible fût réalisé.

 

Il n’existe aucun recoin de l’espace que tu n’aies exploré. Il n’existe aucun temps qui te soit inconnu ou que tu n’aies vécu. Il n’est aucune forme que tu n’aies épousée. Tout ce que tu as parcouru, le fût comme un rêve, en quelque dimension ou en quelque fonction que ce soit. Tu as joué le jeu de la vie. Tu as joué le jeu de la mort et de l’oubli. Tu as expérimenté la gamme des sentiments, la gamme des prises de formes et tu as exploré tous les octaves de la création.

Mais aujourd’hui, il n’est plus temps de penser à cela. Aujourd’hui est venu le temps de t’accueillir, sans limite et sans frein, là au Cœur de ton Cœur, au Cœur de ta Présence, là où s’est toujours tenue, en Silence, la Vérité. Tu en as exploré toutes les vérités limitées et parcellaires.

Mon Ami, mon Aimé, il est temps de te poser, il est temps de te livrer. Il est venu le temps sans temps. Il est venu l’espace sans espace. Le temps de ton premier souvenir, le temps de ton premier souffle, le temps de ton rythme premier, le temps est venu où tous les mouvements apparents viennent du même centre, de la même source. Tu t’es nourri à la source du rêve, à la source de la conscience. Tu en as connu chaque coin et chaque recoin dans chaque dimension.

Mais aujourd’hui, le temps de te poser, le temps de te donner, va être de plus en plus pressant dans les événements de ta vie, dans les circonstances de tes rencontres. Tout ne sera que prétexte, prétexte à te découvrir, prétexte à te délivrer. Le Grand Silence doit emporter toutes tes joies comme toutes tes peines au Cœur de ton Cœur, là où toutes les histoires sont consumées par le même Feu de la Vérité, par la même Lumière du Réel.

Les fragments se recollent. Les parcelles de ta vie qui te semblaient éparpillées, se rassemblent pour te montrer l’intégralité du tableau de la création et même là, il n’y a rien à voir, même là, il n’y a rien à savoir, car tout a été vu, car tout a été su. Il te reste à vivre l’État le plus Naturel qui soit, celui qui conjugue Présence et Absence dans la même poitrine, là où il n’y a plus d’opposition, là où il n’y a plus aucune question possible.

Tu te tiens, aujourd’hui, sur le seuil de cette Arche, cette Arche de Lumière, seuil entre ce qui rêve et ce qui Est. Le rêve de ta vie a rencontré le Réel de la Vie, et de cette rencontre tu t’es livré, tu t’es donné au Mystère de la Vie, au Mystère de l’Origine comme au Mystère de la Fin. Origine et Fin étant jointes dans le même espace de ton Cœur. Rappelle-toi simplement de ce que Tu Es, de ce qui ne peut être défini en aucune manière.

Abandonne ce qui peut te sembler encore parcellaire ou fragmentaire, autrement dit, abandonne-toi à ce que Tu Es, à ce que tu as toujours été et ce que toujours tu seras, là où il n’y a pas de place pour une quelconque conscience, pour une quelconque expérience. Tu es La Source de toi-même, Source des Sources comme celle que tu vois dans ton Ciel et que tu vis dans ton Cœur, là où tout est repos, là où tout est évidence, là où rien ne peut apparaître ni disparaître, là où il n’y a plus besoin de paraître quoi que ce soit d’autre que ce que tu es déjà.

Rappelle-toi que ceci n’est pas un effort, que ceci n’est pas une tâche et encore moins un devoir à accomplir, et encore moins une punition à subir, là où tout est léger, là où il n’y a pas de place pour la densité, là où il n’y a pas de place pour quelque conscience que ce soit et même là où le mot Évidence n’a plus d’intérêt ou de sens.

Là où tu te tiens, au milieu de ton rêve, au milieu de ta vie, s’écoule La Vie qui jamais n’a pris forme, qui jamais n’a cru à une histoire et qui ne concerne ni le corps du rêve, ni le corps de l’histoire, ni le corps de souffrance. Là où tu es à la fois tous les corps et, en même temps, en-dehors de tout corps, là où tu es la source de tout, source de l’Amour, source du rêve, source de ta forme comme de toute forme.

 

Rappelle-toi qu’il n’y a pas d’effort à fournir. Seule l’Immobilité te donne la mobilité. Seul le Silence te donne la parole. Seul l’Accueil te donne à la vie et te livre à toi-même. Tu n’as pas à penser. Tu n’as pas à sentir. Tu n’as pas à voir. Tu n’as pas à projeter. Tu as juste à être là, dans la nudité de toute intention.

Alors le Mystère est révélé. Alors le Mystère est consumé, parce qu’aucun mot ne peut décrire la beauté de ce que tu as toujours été, car aucun concept ne permet de le voir, aucune intelligence ne peut se l’approprier, fusse-t-elle l’Intelligence de la Lumière.

Cela est l’intelligence de l’homme et le propre de l’homme, non pas l’homme que tu crois être au sein de ce corps, mais l’Homme archétype, modèle parfait de la création du rêve qui s’est déployé en d’innombrables espaces et en d’innombrables formes toutes issues de la forme première. Tu es cette première forme comme tu es antérieur à la première forme.

À l’heure, au jour et en le temps où se manifestent le Serment et la Promesse, rappelle-toi qu’il n’y a rien à payer. Rappelle-toi qu’il n’y a rien à rétribuer. Et surtout, rappelle-toi que tu n’as rien à emporter, ni ce corps, ni cette âme, même pas ton corps d’Éternité. La Liberté est totale. Une liberté que tu ne peux ni concevoir, ni visualiser, où même tes rêves les plus fous n’ont pu t’emmener.

Tu es à la source de la conscience. Tu es à la source du rêve. Et tu es aussi son propre achèvement, toi au sein de cette forme humaine, toi au sein du corps de rêve de la planète Gaïa, tu es au cœur de la création. Tout ce qui est apparu vient de ta propre création. Tout ce qui est disparu vient aussi de ta propre création. Mais rappelle-toi que tu ne t’es jamais créé, parce que tu es antérieur à la création, antérieur au monde, antérieur au temps, antérieur à l’espace, et postérieur aussi à toute vie.

Aucun rêve n’a pu transformer ce que tu es. Aucun rêve comme aucune souffrance n’a pu altérer la Pureté que tu es. Tu n’as rien d’autre à entreprendre que de laisser ce souvenir venir à toi. Tu n’as rien à rechercher qui ne soit déjà présent. C’est le moment où tu dois réaliser que toute forme, comme tout monde, ainsi que toute conscience, n’est en définitive qu’une projection de toi-même.

Rappelle-toi, mon Ami, mon Aimé, que tu es aussi celui qui aime et que tu es aussi ton propre ami. Ainsi tu vivras, ce que je nommerai, l’exaltation du Grand Silence. Là où il n’y a plus rien à projeter, là où il n’y a rien à séduire, où le langage ne sert plus à rien, où la Lumière n’a plus besoin d’éclairer la Vérité parce que Tu Es la Vérité. Tu as été la Vérité, la Voie et la Vie. Tu as été toutes les vies. Tu as été toutes les voies. Mais tu es avant tout la Vérité, celle qui ne peut être traduite en mots, cette Vérité qui ne peut pas être érigée en loi ou en dogme parce que la Vérité est la Liberté.

 

Parce que l’acceptation du Réel va mettre fin à toutes les apparences. Tu n’as rien à apprendre. Tu n’as rien, non plus, à prendre. Tu n’as rien à retenir. Tu n’as même rien à tenir. C’est l’endroit où tu ne peux pas être tenu. C’est l’endroit où aucun cadre ne peut te contenir. C’est le lieu où aucune définition ne peut être donnée de toi-même, où tout est à la fois parfaitement fini et parfaitement infini. Il s’agit d’une liberté que rien ne peut concevoir. Il s’agit d’une plénitude remplie de vide et un vide rempli de plénitude.

Ne te fie pas simplement aux définitions ou aux mots que je prononce, mais laisse-toi emporter au-delà du sens des mots mêmes que j’emploie. Ainsi tu effleureras le Souffle du Réel, le Souffle de la Vérité et le Souffle de l’Esprit, au sein de ton Cœur Sacré, au sein des vingt-quatre facettes du Cœur de Vérité, les soixante-douze noms de la création. Ainsi de ces vingt-quatre et de ses soixante-douze, nous débouchons sur une multitude qui ne peut être ni comptée, ni décomptée.

De là, rien ne peut être dit, mais tout peut être goûté. Il n’y aura jamais d’excès. Il n’y aura jamais d’insuffisance, mais la juste mesure qui doit te remplir de toi-même en ce que tu as toujours été. Le Serment et la Promesse n’est que l’instant où tu comprends que tu es La Source, Source de toi-même, Source de la Lumière et Source de la création.

Le moment est presqu’arrivé où les noces de l’Alpha et de l’Oméga doivent se concrétiser en toi, là où il n’y a plus de polarité, là où il n’y a plus ni masculin ni féminin qui fût la première différenciation, là où tu ne peux plus différencier l’ombre de la Lumière, car l’un comme l’autre appartiennent au même rêve.

Tout ceci n’est pas réel, mais tu en as usé, tu en as profité. Mais vient un moment où le Jeu devient rectitude, vient un moment où le Jeu est de trop. Alors, à ce moment-là, tu éprouves le besoin de ne plus jouer. Tu ne peux plus jouer aux ateliers de la création, mais tu œuvres alors à la restitution, à ce que tu as toujours été.

Ce serment que tu t’es fait à toi-même, et cette promesse que tu t’es faite à toi-même, en un temps et en un lieu du premier souffle de la création, sonnent aujourd’hui le dernier moment de la création, et cela est en dehors de toi. Tu n’as fait qu’en emprunter les habits, en parcourir la gamme des formes et des émotions. Tu n’as fait que parcourir les possibilités créatrices du mental. En définitive, que là tu n’as fait que rêver de plus en plus profondément, mais c’était le but que tu voulais, ce but que tu as accompli.

Ce but où tu devais te rappeler que jamais, en Vérité, tu n’es né, que jamais, en Vérité, tu n’es mort, et que la naissance et la mort faisaient partie du jeu, comme la naissance d’un univers et sa destruction. Et le temps est venu que l’univers passe et trépasse, et toi tu ne passeras jamais, car ce que tu Es est toujours d’actualité, parce que ce que tu Es n’a jamais rêvé, parce que ce que tu Es n’a jamais été affecté.

Il est temps de te réveiller, il est temps d’oublier ce qui était faux, et il est temps de ne plus oublier ce que tu as toujours été. Ceci se déroule en ce moment même sur la scène de la Terre, que tu sois incarné dans ce corps de chair, que tu sois en train de t’incarner dans le ventre d’une mère ou que tu sois en voie d’être libéré de ce corps.

Que tu sois dans cette forme humaine, que tu sois dans la forme d’un ange ou d’un esprit, tu as toujours la même destination finale. Destination finale qui n’est que le moment initial, les noces de l’alpha et de l’oméga en toi sont en train de se réaliser.

Alors oublie toute histoire, sois pleinement présent là où tu es, aucune circonstance n’est due au hasard, aucune circonstance n’est liée à l’improbable, la partition a parfaitement été réglée et même ce qui peut te sembler anormal, n’est en définitive que ‘’anormal’’, que tu n’as pas encore vu.

Tout est normal, tout est parfait, chaque chose est à sa place, que cela soit accompagné de souffrance ou de joie ne fait pas de différence. Quelle que soit ton humeur, quel que soit l’âge de ton corps, et quel que soit l’état de ce corps, bientôt ils ne représenteront plus rien face à l’intensité du souvenir de ce que tu Es.

Alors tous les défis de ta vie en ce moment ne sont pas là pour te gêner, ne sont pas là pour te freiner, mais sont justement là pour te permettre de te découvrir.

 

Mon Ami, mon Aimé, rappelle-toi que tu n’as rien à faire, que tu as juste à être là, là où tu es posé, quelles que soient les circonstances d’histoires, quelles que soient les circonstances de ton état intérieur, quelles que soient tes pensées, tes émotions, quels que soient tes liens affectifs, familiaux, professionnels ou amicaux, quoi que tu en penses tout cela est là pour toi, quoi que tu en penses tout cela est là pour ce moment, afin de célébrer tes propres retrouvailles.

Aujourd’hui tu te maries et épouses le Réel en totalité, quoi que dise ton corps, quoi que disent ceux qui t’entourent ou qui te sont proches. La voix du Silence est bien plus importante que n’importe quel reproche. La voix du Silence t’appelle de plus en plus fortement au sein du brouhaha de ce monde, afin que tu te rendes compte qu’il n’y a pas d’espoir en dehors du Réel, afin que tu te rendes compte qu’aucune histoire ne peut t’apporter l’espoir, mais que le Réel te prépare à cela.

Tout se met en place pour toi, ne juge pas la façon dont tout se met en place, que cela soit dans la joie ou la souffrance n’a aucune importance, parce que tout est destiné au grand Silence, parce que tout est destiné à te souvenir, ton serment et ma promesse, ou ma promesse et ton serment.

Parce que ce que je Suis tu l’Es, et depuis le premier souffle de la création. Tout ce que tu traverses, je l’ai traversé avec toi, rends-toi à l’évidence, à l’évidence de la Simplicité, à l’évidence du Réel, surtout dans ces moments où ta vie ne peut plus être expliquée, au moment où tous les repères qui te restaient sont appelés à voler en éclat.

Il te restera toujours une seule certitude, une certitude de plus en plus forte, une certitude de plus en plus intense, celle de te rappeler ce que tu Es avant que tu ne parcoures l’Être et le Non-Être. Ce qui t’es proposé est un relâchement. Quels que soient les combats que tu as livrés, quels que soient les combats de la société ou de ton monde, ce sont des combats de moulins à vent.

Le Réel ne peut pas se combatte, le Réel ne peut pas se mesurer, le Réel ne peut pas s’expliquer. Et quand il n’y aura plus rien à expliquer, et quand il n’y aura plus rien à voir ou à comprendre, et quand il n’y aura plus rien à ressentir ou à percevoir, alors tu sauras que tu t’es livré, que tu t’es donné à toi-même.

Cela est en ce moment, en quelque sorte les affres de la délivrance et de l’accouchement, parce que tu t’es tellement identifié au rêve, parce que tu t’es tellement habitué au monde de la forme, ici sur cette Terre, comme aussi bien dans tes origines stellaires et ta lignée stellaire.

Tous ces mondes et ces corps que tu as parcourus n’ont jamais été ton identité réelle. Ton identité réelle ne peut pas être identifiable, ton identité réelle ne peut être ni nommée ni épelée. On ne peut même pas dire que tu viens de telle étoile, on ne peut même pas dire que tu portes telle ou telle mémoire, parce que tout ce qui s’est manifesté appartient au rêve, et ce que tu découvres et qui ne s’est jamais manifesté, est le seul Réel.

Tu ne passeras jamais, tu n’es jamais passé et, en Vérité, tu n’as jamais bougé, tu ne t’es jamais déplacé.

Rappelle-toi qu’il n’a rien à espérer, rappelle-toi encore plus qu’il n’y a rien à redouter et, s’il reste en toi des peurs de l’inconnu, dès que cet inconnu te sera connu, alors tu ne connaîtras plus que lui, l’État Réel, l’État Naturel. Le sourire sera de partout, ne sera plus limité à tes lèvres ou à un éclat du regard.

Tu seras tellement saturé de joie, tu seras tellement immergé au sein de cette joie, que rien de ce qui pouvait te sembler important ou capital quelques minutes avant, n’existera tout simplement plus. Parce que tout ce qui te semblait important n’était qu’un rêve. C’est de cela qu’il s’agit.

Ce serment et cette promesse que tu réalises en toi, là où tu es ce grand Silence, là où tu es ce qui a été nommé le Cœur du Cœur et qui a été nommé le Temps Zéro, là où le Rien découvre qu’il est le Tout. Cela est ton devenir, cela est ton avenir au sein de ce corps de rêve. Tu n’as rien à redouter, tu as juste à être lucide de toi-même au sein du rêve, accepter que tout ce qui te semblait important n’était qu’un rêve.

 

Libère l’espace et le temps pour le Réel, le Réel est sans temps, sans espace, le Réel est sans forme et sans monde, et c’est ce que tu Es. Le rêve alors s’éloignera, de la même façon que, quand tu t’éveilles le matin, le rêve comme les cauchemars s’éloignent, de la même façon dans l’Absolu, dans le souvenir de ce que tu Es, tous les rêves seront dissous dans la même Joie.

Cette Joie sans forme, sans objet et sans sujet. Cette Joie essentielle te sera restituée parce que c’est ainsi que tu l’as écrit, parce que c’est ainsi que tu l’as voulu. Et tu découvriras alors que tu as toujours été libre, même au sein de l’enfermement le plus apparent. Plus rien n’aura d’importance, plus rien ne sera essentiel, alors le Réel sera installé.

Mon Ami, mon Aimé, que la puissance de mes silences entre mes mots te remplisse d’évidence et de certitude. Et rappelle-toi qu’il n’y a que toi qui peut te donner l’accès à toi-même. Aucun maître, aucun ami et aucun ange ne peut te rendre à toi-même, seul toi peut le faire parce que ce que Tu Es a toujours été inviolé et inviolable.

Le moment est venu de rendre vivantes mes paroles en toi, au-delà de la vibration, au-delà du Cœur Ascensionnel comme au-delà du double tore du Temps Zéro. Ce que Tu Es est là. Là est ton serment, là est ta promesse. Tu ne peux pas te perdre, tu ne peux pas t’éviter et tu ne peux pas te tromper. C’est là où tu es aujourd’hui, c’est là où tu seras demain, c’est là où tu seras chaque jour qui s’écoule, et ce, avec de plus en plus de clarté et de plus en plus de simplicité.

Mon Ami, mon Aimé, que tu sois comblé au-delà de toutes les grâces que tu attends, espères ou redoutes, l’heure est venue de t’accueillir. Ce qui t’était inconnu doit devenir connu. Tu ne peux pas éviter la Vérité, tu ne peux pas la louper, et elle ne peut pas te rater. Tout est parfait, rien n’est laissé au hasard, rien n’est laissé à l’imprévu, tout te sera révélé et, avant tout, tu te révèleras à toi-même.

Mon Ami, mon Aimé, que l’Amour du Réel inonde ce que tu Es. Mon Ami, mon Aimé, il est temps de rejoindre le Silence, celui qui explique tout et comprend tout.

 

Mon Ami, mon Aimé, il est temps de te retrouver. Avec Amour et avec Paix, je te souhaite de parcourir léger les chemins de ton rêve. Ce que tu as à parcourir va te montrer l’importance de mes mots. Il n’y aura plus de résistance, il n’y aura plus d’interrogation, il n’y aura plus de pénombre.

Mon Ami, mon Aimé, je te salue là où tu es. Mon Ami, mon Aimé, je te rends au Silence, je te rends à la Joie. Il est temps maintenant de saluer ta Présence et d’honorer ta Majesté, simplement en te disant ‘’Je t’Aime’’, au-delà du jeu et au-delà de toi.

Mon Ami, mon Aimé, je te dis à l’Éternité.

Mon Ami, mon Aimé, je te dis à de suite.

Mon Ami, mon Aimé, je me retire maintenant en le Silence. Que la Paix, la Joie, l’Amour et la Vérité se conjuguent ensemble pour exprimer le sens de la Beauté.

À bientôt et à plus tard.

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Source : https://apotheose.live

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