Canalisations

Quand les êtres humains appellent comme des mendiants, personne n’entend

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron

La fréquence juste est l’infini de la joie, la joie gratuite. Ainsi s’établit ce sens de la fraternité. Et lorsque dans un cercle d’êtres incarnés dans un corps humain, la fraternité est tangible, toutes les fraternités sont attirées et se joignent, car la fraternité est le vivant.

Cela est votre collectif. Il n’est pas limité à une élite. Il est le droit naturel de chaque être qui choisit de s’harmoniser à la vie. Et la vie est l’infini de la joie.

 

Lorsque les êtres humains se croient petits et enfermés et appellent comme l’on supplie, personne n’entend. Quand on n’est pas sur le bon registre, la nature ne peut traduire le chant et le laisser résonner. Le registre de l’ouverture est le registre de la joie. Basez votre joie sur cela. La vie est fraternité. Elle est magnifique. De cette certitude, au sein de cette certitude, résonne l’infinie de la joie gratuitement parce que la joie est la fibre qui structure la vie. Dans cette fréquence, tous les êtres peuvent être invités.

Sacrée est l’incarnation. Il suffit d’en connaître les modes de fonctionnement, les modes de déploiement. Et si l’on veut parler du temps linéaire, l’heure peut être très proche où les écoles enseigneront cela, non des savoirs absurdes qui desservent la vie, mais les clefs des modes de fonctionnement, l’art de l’incarnation.

La base, vous le savez, est la pure présence. L’inconditionnel est le dynamisme car la vie est une danse, et sans mouvement tout se fige et se sclérose. La base est aussi la simplicité. Déjouer tous les masques qui veulent compliquer. Déjouer tous les masques qui voudraient faire croire à quelques drames ou histoires. La simplicité unie à la détermination d’être le pur reflet de la splendeur de la vie.

La clarté vigilante est ce jaillissement de l’amour dont l’intention est de servir la vie. Avec elle, vous déjouez toutes les habitudes stériles et toutes les fausses excuses pour ne pas laisser le jaillissement de la vie danser à travers votre incarnation. Cela n’implique que l’attention déterminée à être unie au jaillissement de la joie, l’énergie rassemblée à honorer toutes les parcelles de vie, observant une éthique et une hygiène sans faille. Car vous voyez, lorsque l’énergie est rassemblée, le cœur est le temple. Le temple ne peut qu’être empli de paroles, de sentiments, d’actes nobles, simples et purs.

Et peu importent les autres puisqu’ils n’existent pas. Il n’y a que l’Être qui crée sa création comme l’artiste face à sa toile crée pour la simple joie de créer, la simple joie de créer une création qui soit à l’image et à la ressemblance du-de la suprême Seigneur. Cela implique une éthique et une hygiène dans l’art de manier les pinceaux, de garder la toile vierge si ce n’est par ce que l’on souhaite inscrire. Et cela est la joie d’être offrande.

Lorsqu’on est mû par la passion, cela est la joie. Rien ni personne ne pourrait faire croire que cela est ardu. Il suffit de s’établir au registre juste. Il faut bien que l’humanité dépose la croyance dans la lutte ou le difficile. L’autodépassement nourri par le dynamisme entraîne la passion. Et s’anime le feu de l’amour et danse le feu de l’amour qui nourrit le dynamisme. Ainsi s’autodépasse l’Être dans la simplicité de la vie.

Dans cette fréquence, dans ce registre, la fraternité se rencontre, s’entraide, s’accompagne, s’honore et s’aime, sans masques, sans voiles. Il n’est aucune distance entre le monde des dieux et le plan terrestre. Il n’est aucune distance entre les retraites des maîtres et le plan terrestre. Les fréquences sont les lieux de rencontres si l’on peut dire.

Et le choix, comprenez-le, est gratuit de par la multidimensionnalité. Et bien que gratuit, le choix reste générateur de passion. Rassembler toutes les dimensions de soi dans l’ultime offrande. L’ultime offrande se traduit lorsque le corps s’embrase et que la structure matérielle est le feu de l’amour. Le sang alors est d’or. Les os sont nectar. Un tel corps ne connaît aucune limite. Tout est ouvert. Les planètes ne sont que les amis. Les fraternités sont bien réelles… Dans le cœur de la joie, la relation est très réelle.La fréquence juste est l’infini de la joie, la joie gratuite. Ainsi s’établit ce sens de la fraternité. Et lorsque dans un cercle d’êtres incarnés dans un corps humain, la fraternité est tangible, toutes les fraternités sont attirées et se joignent, car la fraternité est le vivant.

 

Cela est votre collectif. Il n’est pas limité à une élite. Il est le droit naturel de chaque être qui choisit de s’harmoniser à la vie. Et la vie est l’infini de la joie.

Lorsque les êtres humains se croient petits et enfermés et appellent comme l’on supplie, personne n’entend. Quand on n’est pas sur le bon registre, la nature ne peut traduire le chant et le laisser résonner. Le registre de l’ouverture est le registre de la joie. Basez votre joie sur cela. La vie est fraternité. Elle est magnifique. De cette certitude, au sein de cette certitude, résonne l’infinie de la joie gratuitement parce que la joie est la fibre qui structure la vie. Dans cette fréquence, tous les êtres peuvent être invités.

Sacrée est l’incarnation. Il suffit d’en connaître les modes de fonctionnement, les modes de déploiement. Et si l’on veut parler du temps linéaire, l’heure peut être très proche où les écoles enseigneront cela, non des savoirs absurdes qui desservent la vie, mais les clefs des modes de fonctionnement, l’art de l’incarnation.

La base, vous le savez, est la pure présence. L’inconditionnel est le dynamisme car la vie est une danse, et sans mouvement tout se fige et se sclérose. La base est aussi la simplicité. Déjouer tous les masques qui veulent compliquer. Déjouer tous les masques qui voudraient faire croire à quelques drames ou histoires. La simplicité unie à la détermination d’être le pur reflet de la splendeur de la vie.

La clarté vigilante est ce jaillissement de l’amour dont l’intention est de servir la vie. Avec elle, vous déjouez toutes les habitudes stériles et toutes les fausses excuses pour ne pas laisser le jaillissement de la vie danser à travers votre incarnation. Cela n’implique que l’attention déterminée à être unie au jaillissement de la joie, l’énergie rassemblée à honorer toutes les parcelles de vie, observant une éthique et une hygiène sans faille. Car vous voyez, lorsque l’énergie est rassemblée, le cœur est le temple. Le temple ne peut qu’être empli de paroles, de sentiments, d’actes nobles, simples et purs.

Et peu importent les autres puisqu’ils n’existent pas. Il n’y a que l’Être qui crée sa création comme l’artiste face à sa toile crée pour la simple joie de créer, la simple joie de créer une création qui soit à l’image et à la ressemblance du-de la suprême Seigneur. Cela implique une éthique et une hygiène dans l’art de manier les pinceaux, de garder la toile vierge si ce n’est par ce que l’on souhaite inscrire. Et cela est la joie d’être offrande.

Lorsqu’on est mû par la passion, cela est la joie. Rien ni personne ne pourrait faire croire que cela est ardu. Il suffit de s’établir au registre juste. Il faut bien que l’humanité dépose la croyance dans la lutte ou le difficile. L’autodépassement nourri par le dynamisme entraîne la passion. Et s’anime le feu de l’amour et danse le feu de l’amour qui nourrit le dynamisme. Ainsi s’autodépasse l’Être dans la simplicité de la vie.

Dans cette fréquence, dans ce registre, la fraternité se rencontre, s’entraide, s’accompagne, s’honore et s’aime, sans masques, sans voiles. Il n’est aucune distance entre le monde des dieux et le plan terrestre. Il n’est aucune distance entre les retraites des maîtres et le plan terrestre. Les fréquences sont les lieux de rencontres si l’on peut dire.

 

Et le choix, comprenez-le, est gratuit de par la multidimensionnalité. Et bien que gratuit, le choix reste générateur de passion. Rassembler toutes les dimensions de soi dans l’ultime offrande. L’ultime offrande se traduit lorsque le corps s’embrase et que la structure matérielle est le feu de l’amour. Le sang alors est d’or. Les os sont nectar. Un tel corps ne connaît aucune limite. Tout est ouvert. Les planètes ne sont que les amis. Les fraternités sont bien réelles… Dans le cœur de la joie, la relation est très réelle.

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Source : https://www.anandamath.org

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