Canalisations

Archange SANDALPHON – Levez Vous, Marchez ensemble

Canalisation publique du 3 octobre 2023
Par Sylvain Didelot
Discours et Questions /Réponses

Bonsoir à chacun d’entre vous, je suis l’Archange Sandalphon.

Je suis présent à vos côtés pour cet échange, cet échange d’énergie que nous avons avec vous à présent.
Dans chaque contact que nous avons ensemble, à travers divers canaux de ce monde, nous diffusons à la fois un message, une intention, peut-être quelques conseils parfois.
Mais avant tout, nous diffusons une énergie, une énergie qui peut être transportée par les mots, par la parole, par la voix.
Une énergie qui est présente afin que chacun, chacune reçoive ce qui lui est nécessaire, dans ce temps et dans ce monde.

Le rôle des Archanges est notamment d’aider à l’avancée planétaire, d’aider pour certains d’entre nous, à l’avancée de certaines régions du monde qui ne correspondent pas exactement à vos continents : ce sont parfois des régions plus petites, parfois des régions plus grandes qu’un continent.

Nous participons à l’élévation de conscience générale de cette planète, suite à votre demande, suite à votre supplique, devrais-je dire.
Sachez que cela est en train de se faire, sachez que votre monde est encore dans cette période trouble, qui va l’amener à une nouvelle essence, à porter de nouvelles consciences, de plus en plus éclairées de messages divins.

Vous allez recommencer, à nouveau, à prendre conscience de qui vous êtes, dans ce plan. A reprendre, non ce que certains appellent un pouvoir, mais un droit.
Celui d’être responsable de l’énergie de ce monde. Et j’ai bien prononcé le mot « responsable » de l’énergie de ce monde.

Je connais bien les humains, j’ai moi-même porté mon énergie dans des corps physiques, je sais comment fonctionne cette illusion qu’est la vôtre.
Et je sais aussi, que beaucoup d’entre vous ignorent cette notion de « responsabilité » que je viens d’évoquer.

Alors bien souvent, vous allez dire ou imaginer que ceux qui sont responsables des problèmes de ce monde ne sont pas vos proches, pas vous-mêmes : alors vous parlerez de gouvernements, cachés ou officiels, vous parlerez parfois de certaines conspirations et il en existe oui, mais beaucoup oublient leur responsabilité personnelle, celle de continuer à accorder du pouvoir à tout cela, à tous ceux-là aussi.
Aucun d’entre nous ne prêchera la révolution, même si cet événement est programmé dans certains peuples.

Ce que nous souhaitons, c’est que les consciences incarnées que vous êtes, s’élèvent encore et comprennent à quel point, en rassemblement, ensemble, vous pourriez changer ce monde en acceptant cette part de responsabilité.

Vous savez, parfois « laisser faire » est plus grave que « faire ».
Vous n’avez pas à laisser faire, vous n’avez pas à imaginer être victime d’un système.

Alors il arrive souvent que vous nous posiez cette question : « Comment puis-je faire pour participer à l’accélération de l’accroissement de l’énergie planétaire ? »

Levez-vous. Marchez ensemble. Montrez à ce monde que vous désirez la liberté, la joie, la paix et l’amour.
Ne pensez pas que ce sont là des valeurs désuètes appartenant à un passé utopique, ce n’est pas vrai.
Ce ne sont pas des valeurs désuètes : la paix, la joie, l’amour, la liberté, votre fraternité ne sont pas des valeurs désuètes. Mais au contraire, celles qui construisent ce monde, celles qui l’ont construit et qui l’ont maintenu très longtemps.

Aujourd’hui, des mouvements très grands ou très petits visent à diviser les personnalités, visent à supprimer votre histoire, visent à vous empêcher de vous rappeler que la division n’a jamais engendré autre chose que la peur et la guerre.
Ne vous séparez pas de vos frères et de vos sœurs.

Chacun, parfois, invente son propre parti politique j’allais dire, décidant que l’autre n’est pas dans son camp.
Il n’y a pas de camp. Il y a une seule humanité consciente, qui est en train de s’éveiller et de se lever.
Alors, pour agir pour elle, portez ses valeurs, affichez ce mot « Paix », portez-le sur vous, portez-le sur une pancarte, cela importe peu.

Auriez-vous honte de porter le mot « Amour » sur vous-même ?

Beaucoup sont fiers de porter la guerre, mais il faut porter la paix aujourd’hui, il faut porter le rassemblement.
Le monde est en train de se préparer à changer, à évoluer. Chacun d’entre vous le sait, le ressent.

Personne ne sait vraiment comment cela va se passer ou même quand cela va se passer, mais une chose est certaine : cela va se passer.

Vous n’avez plus à espérer retourner dans un passé merveilleux, vous avez à espérer à créer un futur différent avec de nouvelles merveilles, avec de nouvelles connaissances, avec même, vous le verrez, de nouvelles sciences et notamment une science qui fera un peu plus confiance à la Nature.
Cette Nature qui vous protège, souvenez-vous.

Vous avez traversé la peur, pour beaucoup, d’être condamnés par un virus. Mais Dieu ne rappelle que ceux qui sont appelés. Et la Nature est forte, puissante, elle contient tous les remèdes.
La Nature contient tous les remèdes, déjà présents pour vous. Donc si vous êtes associés en amour avec la Nature, vous n’avez pas de peur à avoir, parce que près de chez vous poussera une plante qui contiendra l’ennemi de votre ennemi intérieur, j’allais dire.

Je me souviens, en intégrant ce corps, de ce que c’est d’avoir un corps, de ce que c’est de voir ce corps souffrir parfois, faiblement ou de manière moins faible que cela, je me souviens.

Je me souviens m’être identifié à ce corps et je me souviens que cette identification faisait partie du problème.
C’est quand je m’identifiais à une Nature plus grande, c’est-à-dire au fait que si mon corps physique a un problème, alors j’étendais la définition de mon corps, jusqu’à dire que je suis aussi un élément de la Nature.
Et je comprenais qu’un élément de la Nature était déjà là pour moi. Je n’allais même pas chercher dans ces vies-là de plantes par instinct.
Les plantes qui pouvaient me guérir m’appelaient, je ne peux pas le dire autrement.
Je sentais ce qu’il me fallait pour être mieux, pour me sentir mieux.
Je sentais que ce n’était pas loin, je sentais que j’avais peu à chercher, peu à savoir en fait et qu’une connaissance plus grande même que le savoir allait venir à moi.

Alors quand j’avais un corps, je me soignais comme cela. Je retrouvais la Nature, je retrouvais ces espaces verts.
Je regardais autour de moi la plante qui semblait m’appeler, qui semblait briller en résonance avec ce que je ressentais. J’ai bien dit « avec ce que je ressentais », pas ce que « j’étais ».

Vous savez, l’une des grandes phrases de l’être humain c’est « je suis malade ».
Non, vous n’êtes pas malade. Vous ne pouvez pas être malade. L’essence même de notre nature divine ne peut pas être malade.
Ce qui est malade, c’est dans l’apparence, le corps physique, lui peut l’être.
Mais ne vous identifiez pas à lui, alors « traversez une maladie » éventuellement, « je traverse une maladie » mais ne dites pas « je suis de cela ».
Prenez ce recul-là.

Parce qu’aider l’humanité, c’est aussi s’associer à cette humanité et cessez de vous en croire séparés.

Créez une unité, une nouvelle unité de force et d’amour.
Portez un tee-shirt marqué « paix », « joie » ou « amour ». Portez cela en vous ou sur vous, peu importe. Voyez l’effet que cela aura sur les autres et sur vous-même.
Comprenez que chacun d’entre vous résonne à l’écho de cela.

Votre époque des zones astrales, des zones mentales et d’autres choses, produisent la peur. Là encore, la peur est le poison.
Mais vous n’êtes pas ce corps mental empoisonné par la peur non plus. Cela signifie qu’il y a des raisons d’amour, qu’il y a l’amour à l’extérieur de vous aussi, quand vous pensiez l’avoir perdu un peu à l’intérieur.
N’oubliez pas que vous êtes aussi extérieur.

Qu’est-ce que vous aimez autour de vous ? Pas forcément quelqu’un, cela peut être quelque chose. Repérez un objet que vous aimez : si vous l’aimez vraiment, laissez-moi vous dire ceci :  cet objet vous aime aussi.
Prenez-le, prenez-la, rechargez-vous.

Reprenez conscience d’être connectés à ce que vous aimez et à ce qui vous aime.

La Nature vous aime. Votre maison vous aime. Votre pays vous aime. Même si vous avez des impressions contraires, ne les écoutez pas.
Devenez conscients à nouveau. Vouloir aider à la conscience, c’est aussi être conscients. Donc, par opposition, cessez d’être inconscients.

Devenez conscients en permanence de qui vous êtes vraiment, de cette force unique qui traverse le monde de l’humanité, des humains et qui est en train de changer tout cela, de renverser tout cela.

Parfois, vous nous demandez aussi : « Je n’arrive pas à garder mon esprit calme ».
Chères Âmes, lorsque vous n’arrivez pas à garder votre esprit calme, c’est que vous êtes en train de lutter contre ce qui est.
Cessez de lutter, cessez pendant un instant avant de reprendre ce chemin de l’amour, de la paix, de la joie.
Cessez un instant de vouloir, quoi que cela soit.
Ne plus rien vouloir. Ne pas vouloir être guéris, ne pas vouloir être libres, ne même pas vouloir être heureux, ne même pas vouloir être compris, ne pas vouloir être accompagnés, ne rien vouloir.
Lâchez ce « je voudrais » ou « je veux », lâchez-le un peu, lâchez-le maintenant.

La paix est là, elle est déjà là, en vous. Quand vous lâchez l’idée de vouloir, au profit de l’idée d’être.

Ce qui se passe en ce moment se passe, pendant un instant de paix et avant de choisir la joie à nouveau, cessez de vouloir autre chose que ce qui est.

Vous voulez une volonté ? Prenez celle-là : « Je veux ce qui est, là, maintenant ».
Posez-vous, dans cet espace, libérez votre esprit, sentez comment à l’intérieur de vous, il existe de multiples résistances à ce qui est.

Tous ces « oui, mais », tous ces « comment », tous ces « pourquoi », lâchez- les, lâchez-les.
Vous pouvez les entendre mais ne vous accrochez pas à ces « pourquoi », à ces « comment », à ces « quand », à ces « qui », lâchez-les.

C’est là, vos peurs elles sont là, OK très bien. Laissez-les être là, ne les combattez pas.
Laissez-les être là. « Oui, mais elles me font du mal ». Non. Elles sont là. « Oui mais elles me font du mal », Non. Elles sont là.
Elles vous font du mal quand vous leur accordez de la force, quand vous vous opposez à elles.

Sandalphon, quand tu dis cela, j’ai l’impression d’être dans le déni.

« Non, non, je ne vous demande pas de renier l’effet que cela pourrait avoir dans votre vie, dans votre corps, mais peut-être de comprendre que cela n’a aucun effet sur qui vous êtes vraiment. »

Retourner en paix, c’est toucher qui vous êtes vraiment. Vous retournerez après dans l’apparence, vous pourrez alors agir vers la paix, vers l’amour et vers la joie.

Mais d’abord, posez effectivement ce « non-vouloir », maintenant.

Ce que je suis est immortel. Il ne peut rien m’arriver parce que je suis qui je suis, parce que ce que je crois être vrai n’est qu’une micro-définition de qui je suis.

Sentez-vous grands, touchez à votre grandeur, acceptez la présence divine en vous, elle est là. Elle ne juge pas, elle ne condamne pas et oui, elle ne cherche pas à changer ce qui est, elle cherche juste à vous le montrer, comme un exercice, comme un passage vers l’amour, tout est un passage vers l’amour.
Chacune de vos épreuves est un passage vers l’amour, vers ce chemin infini que vous avez décidé d’emprunter depuis si longtemps.

Vos âmes ne sont pas fatiguées, ce n’est pas vrai, ce n’est jamais vrai.
Vous êtes courageux, vraiment.
Je le répète, j’ai su ce qu’était d’avoir un corps, je sais à quel point cela peut limiter les possibilités de la conscience, de vous révéler vraiment ce que vous êtes, ce que nous sommes tous, d’un royaume à l’autre.

Mais je sais aussi à quel point, réussir depuis cet espace du corps, à accepter d’être, à accepter simplement de concevoir ce qu’est le grand que je suis.
C’est une aide précieuse. C’est obtenir, quoi qu’il arrive, cette conscience qu’une force plus grande que vous dirige vos pas et vos gestes, chacun de vos pas, chacun de vos gestes.
Que cette force, vous en faites partie, elle est elle-même ce qui vous définirait plus pleinement.
Cette force-là ne vous veut aucun mal, elle ne le peut pas, elle sait qui vous êtes vraiment.

Laissez les choses être ce qu’elles sont, ne résistez pas quelques temps et laissez cela quelques temps sur vous. Et après ouvrez les yeux et répétez : « Je suis pure joie, je suis pur amour, je suis pure conscience. »

Et pour intégrer cela à ce monde, nous allons dire : « Nous sommes pure joie, nous sommes pur amour, nous sommes pure conscience, nous sommes la paix ».

Le chemin de réalisation du monde est en cours. Votre propre route est en train de se tracer maintenant.

Pour beaucoup d’entre vous, beaucoup, vous ne savez même pas où vous serez dans deux ans. Vous croyez savoir où vous serez dans deux ans, mais moi je sais qu’en vérité, c’est juste une croyance.
Vous ne serez pas où vous croyez. Vous serez ailleurs. Pas forcément dans l’au-delà, mais ailleurs, pour diverses raisons.
Ce sont vos valeurs morales qui vont déterminer votre emplacement, pas vos valeurs financières.
Le monde vous alignera avec votre conscience, en lieu, en temps et en heure.
Vous serez là où est votre conscience. Si votre conscience est basse, vous serez dans des lieux de basse vibration, le temps de remonter votre énergie.
Si votre conscience est haute, vous serez dans des lieux de haute vibration afin d’éclairer ce monde.

Mais n’imaginez pas que tous vos métiers, tous vos acquis vont rester.
Dans un monde en transformation, acceptez aussi de vous transformer, sans peur.
Avoir peur de perdre quelque chose est illusoire, vous n’avez rien.

Vous n’avez rien que ce que vous êtes, cela c’est ce que vous avez.
Tout ce que vous pensiez posséder ou avoir, -si vous l’aimez vraiment-, ce que vous aimez vraiment ne se sépare jamais de vous. Mais vos habitudes peuvent se séparer de vous.

Je sais parler ici en « phrases énigmatiques » mais je vous le redis, le monde change. Le monde va évoluer, s’améliorer petit à petit, après encore quelques crises nécessaires et utiles.

En augmentant votre conscience, en dirigeant votre volonté vers la paix, l’amour et la joie, ensemble, vous allez construire ce nouveau monde.

Il est prêt, il est là, il se manifeste tranquillement, sans peur, sans haine.
Il se place devant vous, ce nouveau monde. Il est tellement sous vos yeux que certains ne le voient même pas, ils attendent encore que les autorités supérieures leur montrent. Mais vous n’avez qu’une autorité supérieure : vous-même, maître et disciple de ce que vous êtes vraiment.

Mon discours peut planer comme une vague nébuleuse sur chacun d’entre vous. Mais je le répète, mes propos, mes mots sont aussi un soin, un soin de l’âme diraient certains, de votre énergie, de votre structure.

Après vous avoir expliqué cela, et dans l’apparence de ce corps, que je libère un peu afin qu’il puisse lire, je souhaiterais répondre à certaines de vos questions.

Alors nous allons vous lire, vous entendre et essayer de vous aider à faire quelques pas avec nous, maintenant.

Sylvain :
« Je vais vous laisser poser quelques questions, mais je vois qu’il est là, il n’est pas là.
C’est cet état difficile dans lequel ils essaient de me mettre pour que j’arrive à vous lire et qu’ils me parlent en même temps.
Et vous avez vu, dès qu’ils me redonnent la main, j’ai du mal à respirer mais je vais essayer de garder cet état concentré entre deux ».
Nous sommes là.

Vous nous demandez « Comment se désidentifier de son corps ? »

De vos corps, de vos corps, vous avez beaucoup de corps.
Pour ceux qui souhaiteraient se désidentifier du corps physique, vous pouvez aussi vous désidentifier du corps mental, du corps causal, du corps astral, du corps atmique, du corps bouddhique, du corps monadique, il en existe tellement.

Se désidentifier n’est pas vraiment mon propos ici. Mon propos est de vous dire que vous n’êtes pas que ce ou ces corps.
Et c’est cela se désidentifier, c’est de cesser de croire que vous n’êtes que ce corps et vous voyez, essayez d’établir une proportion à l’intérieur de vous et posez-vous cette question, là, maintenant, tout de suite.

« A combien de pourcentage est-ce que je m’identifier à mon corps physique ? A 60 %, à 70 %, à 100 % ?»
Ne vous mentez pas. Beaucoup diront « Oh, je sais, je suis un être divin et je m’identifie à 90 % à un être divin ».
C’est faux. Sur cette Terre et dans cette incarnation, vous aurez vraiment du mal à vous identifier à plus de 50 % à autre chose que votre corps physique.
Cela va être difficile.
Mais déjà baissez l’identification, c’est-à-dire, cessez de croire uniquement que vous êtes le véhicule qui porte votre conscience.
S’identifier à la conscience.
Le corps est un véhicule, tous vos corps, sans exception, sont des véhicules. Des véhicules temporaires de la conscience.
Vous avez ce véhicule physique d’une temporalité de 90 ans en moyenne.
Mais ce n’est qu’un véhicule.
Vous voyez, quand vous achetez un véhicule sur votre Terre, une automobile ou autre chose : vous savez que vous n’allez pas forcément garder cette voiture pendant 90 ans. Vous savez qu’au bout de 15-20 ans, le véhicule probablement, aura quelques soucis qui feront que vous devrez en changer.

C’est pareil avec vos corps. C’est pareil avec chacun de vos corps. Chacun d’entre eux, à part les corps de pure information, a une date de péremption, une date limite.
Mais ce n’est qu’un corps, ce n’est qu’un véhicule. Vous en avez tellement eus, en fait.
Certains d’entre vous peut-être qui ont déjà eu beaucoup de véhicules automobiles, ont oublié même combien ils en ont eus, quel modèle ? quelles étaient les caractéristiques de ces véhicules ? Comment est-ce que vous le conduisiez ? Comment est-ce qu’il se comportait ?
C’est pareil avec votre corps physique : vous finirez par oublier comment il se comportait, comment il allait, pour ne retenir que les moments que vous avez passés avec lui. Et ce chemin, ce que vous appelez ici « désidentification » peut être fait dès maintenant dans l’amour, tranquillement.

Vous me demandez ensuite « Comment garder cet état de joie constamment ? »

La joie, voyez-vous, c’est difficile à entendre dans mon propos, mais la joie est un choix, pas la conséquence d’un acte de possession, il ne vous donnerait qu’une joie temporaire.
Je choisis, maintenant, d’être joyeux. Je choisis, maintenant, de me relier avec ce qui est joyeux.

C’est un souci pour votre corps physique, notamment pour ce corps-là et d’autres, mais vous avez une très fâcheuse tendance à vous relier à uniquement avec ce qui vous apporte des contraintes.
Vous adorez qu’on vous plaigne, vous adorez que l’on vous trouve des circonstances atténuantes, mais en faisant cela, vous ne vous associez pas au meilleur de vous.

Vous souhaitez quoi ? Être vu comme un être seul ? Être vu comme un être malade ? Être vu comme un être sans pouvoir ? Être vu comme petit ?

Vous êtes petits devant Dieu, mais vous êtes grands devant votre monde car ce monde, dont je parle, c’est celui que vous vous créez à vous-mêmes, à chaque instant.
Alors, associez-vous à ce qui crée la joie en vous, le plus souvent possible. Et c’est cela qui va vous faire garder cet état de joie.
N’écoutez pas les rabat-joie, ne laissez pas les nouvelles, les informations venir éteindre votre lumière. Ne laissez même pas vos proches éteindre votre lumière.
La joie, elle est toujours là. Quand vous la perdez, c’est que vous ne la regardez plus.

 « Comment ne pas se tromper avec l’orgueil ? »

L’orgueil ramène toujours à soi. On a quitté l’orgueil, quand on est dans l’humilité.
L’humilité, c’est de connaître sa place avec les autres. Et si vous voyez votre place avec les autres, si vous cessez de vous voir plus grand que l’autre, alors vous n’êtes pas dans l’orgueil.
Si vous accordez à chacun le même pouvoir, alors vous n’êtes pas dans l’orgueil.
Pas les mêmes capacités, vous êtes tous différents mais la même possibilité, le même potentiel d’aide commune. Vous n’aurez pas tous les mêmes comportements ou les mêmes facilités mais chacun d’entre vous a sa place dans ce monde, chacun d’entre vous.
Et cette place vous poussera hors de l’orgueil, ensemble. Ensemble.

 « Comment suivre son chemin, tout en étant aveugle ? »

Vous êtes aveugles, et vous le dites vous-mêmes dans une expression « il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ».
Car on peut voir avec le cœur, car on peut entendre la source de lumière, on peut ressentir les odeurs de ce monde, on peut goûter à l’énergie de la vie.
Que vous soyez aveugle physiquement ou mentalement, vous avez le droit de faire confiance à vos autres sens. Vous avez le droit de reconnaître cette possibilité en vous. Cette possibilité aussi de visualisation intérieure, sous une forme ou sous une autre. Cette possibilité existe, elle est bien présente. Ne l’ignorez pas. Ne l’ignorez jamais.

Bien souvent, sur votre Terre, vous allez choisir un chemin, sans jamais savoir si c’est le bon. Alors vous êtes là, à nous demander « Est-ce que je suis sur le bon chemin ? »
Mais nous le répétons, encore et encore : « As-tu accès à la joie ? As-tu accès à la paix ? As-tu accès à l’amour ? Y as-tu accès ? »
Cela ne signifie pas que vous l’ayez mais que vous ayez « accès à ». Tant que vous n’êtes pas coupés de cela, alors vous êtes sur l’une de vos routes, vous êtes sur l’un de vos chemins.
Reprenez confiance, reprenez foi. C’est très difficile de quitter le chemin correct pour une incarnation. Ce serait ignorer la puissance et la force qu’ont vos guides pour vous replacer sur vos décisions, d’avant la naissance.

Si vous n’avez plus confiance en vous en tant qu’être humain, gardez quand même confiance en vous en tant que conscience, ayant pris des décisions, même si vous ne les comprenez pas dans l’incarnation.
Croyez-moi, vous êtes grands, immensément grands dans votre énergie.
Restez humbles tout de même, mais vous êtes grands.

« Peut-on être bloqué dans son évolution, dans sa réalisation, par une relation avec une autre personne ? »

C’est souvent vous qui aurez posé sur votre chemin cette personne, ce blocage comme vous dites. C’est souvent vous-même, votre pure conscience, votre conscience supérieure et votre conscience personnelle qui auraient posé sur votre chemin, cela, celui-ci, cet obstacle, cette épreuve, cette personne, qui sait ?
Pour que vous soyez capables d’aimer dans cette situation-là, pour que vous soyez capables de paix dans cette situation-là, pour que vous soyez capables de joie dans cette situation-là, qui semble vous bloquer.

Cessez de vous croire bloqués, car quand vous comprendrez que vous avez choisi, avec le plus grand amour qui soit, ce chemin, cette épreuve, vous commencerez à sentir le dégagement, vous commencerez à sentir la solution.
Peut-être aurez-vous peur de la solution, mais vous la sentirez.

Je le répète, ces épreuves sont là pour que vous voyiez, même dans cette situation, ce qu’il y a de mieux.
Dans tous les enfermements, il y a cette lueur à aller chercher, cette quête de bien-être que l’autre ne peut pas vous prendre.
On ne vous prend pas votre bien-être, vous l’avez donné. Reprenez-le. Rechoisissez-le ce bien-être. Reprenez des activités qui vous parlent. Vivez votre vie et laissez faire la vie car lorsque la joie et la paix reviendront dans votre expérience, alors ce blocage n’en sera plus.

Vous nous demandez l’avenir des mondes minéral, animal, végétal.

Ces mondes sont déjà en train d’évoluer. Beaucoup d’espèces animales ont choisi de vivre une transition dans des dimensions supérieures, beaucoup de végétaux aussi. Mais de nouvelles espèces, de nouveaux arbres, de nouveaux minéraux même, voient le jour.
Ils permettront à cette planète d’évoluer dans une dimension et une énergie différente, qu’elle est en train d’atteindre, qu’elle a déjà atteint, sur laquelle elle s’harmonise en vérité actuellement, pendant quelques années.
Une harmonisation que vous allez trouver forte, mais une harmonisation tout de même.
Et pour cela, ces éléments minéraux, végétaux et animaux changent, évoluent.
Si vous saviez à quel point ils vous attirent à l’Amour tous ces éléments ! Mais ils évoluent bien sûr.

« Notre responsabilité, quelle est-elle vraiment ? »

 De comprendre que vous avez le pouvoir que vous avez donné aux autres. C’est cela votre responsabilité. Votre responsabilité, c’est de reprendre les rênes de votre vie, de ne plus vous laisser faire seul et d’agir ensemble.
Cela, c’est votre responsabilité, celle d’entrer dans ce « nous », de quitter le « je » pour aller dans le « nous ».
Nous le répétons dans ces petits groupes, dans ces divisions, tout est fait pour dire « ah ben tant que tout va bien pour nous », et ce « nous », vous le définissez souvent très faiblement comme étant votre famille, vos amis, vos proches, votre caste.
Mais étendez ce « nous » à plus grand que cela, cela c’est votre responsabilité.
Votre responsabilité, en d’autres mots, c’est : qui est-ce que je place dans le mot « nous » ? C’est qui « nous » ?
Parce qu’il vous faut étendre cette définition-là, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de « nous » mais « un » : cela est votre responsabilité.

Cela n’est pas écrit dans votre plan personnel. Mais ce travail, cette œuvre, se fait à travers vous maintenant, de recherche d’unité.
Alors vous avez créé beaucoup de circonstances vous permettant de créer cette unité, mais votre responsabilité est de la créer.
Vous vous êtes créés beaucoup d’opportunités pour cela : saisissez-les, maintenant ou plus tard, mais ne restez pas là, à juste observer ce monde.
Manifestez le monde que vous souhaitez, de la manière qui vous semble la plus adéquate dans votre vie.

 « Comment ne plus vouloir, si nous sommes cocréateurs de notre vie ? »

Si vous m’avez écouté chère amie, vous aurez compris que je ne vous ai pas demandé de cesser de vouloir à tout jamais, mais de faire une pause de temps en temps, dans cette notion de volonté.
De temps en temps, vous arrêter. Et de temps en temps, cesser de vouloir effectivement.
Sinon vous êtes comme quelqu’un qui court dans la forêt, ayant peur d’un loup imaginaire et ne s’arrêtant jamais, pour voir s’il existerait un chemin lui permettant de quitter cette forêt très dense et qui lui semble dangereuse.

Il faut de temps en temps s’arrêter, donc de temps en temps, il faut s’arrêter de vouloir, pour se repositionner dans son être et dans sa capacité à choisir à nouveau.
Choisir une nouvelle volonté, peut-être un nouveau désir sans doute, mais choisir à nouveau. Parce que c’est cela que je vous propose en cessant de vouloir.
C’est de poser une pause, de poser un acte, un arrêt. De rechoisir à nouveau une destination, de vous repositionner sur une trame plus favorable pour vous. Mais vous ne pourrez pas le faire si vous ne vous arrêtez pas, si vous continuez à lutter sans cesse contre ce qui est.
On doit d’abord s’arrêter, se poser, pour repartir ensuite.

Je sais que sur cette Terre, l’état idéal serait de ne jamais rien vouloir et de vivre entièrement le moment présent mais je sais aussi que dans un monde duel, cela n’est pas possible.
Mais faire des pauses, s’arrêter dans sa volonté, cela est possible.

Essayez ce chemin, n’écoutez pas mon discours, essayez ce chemin.
Vous y trouverez la paix chère amie et vous y trouverez des joies très simples et merveilleuses, c’est ma promesse.

 « Comment peut-on ressentir sa présence divine ? »

Laissez-moi vous poser la question inverse, chère amie : « Comment ne pas ressentir sa présence divine ? »
La réponse est simple : il faut avoir peur.
Il faut ne plus croire en un monde meilleur, il faut se sentir extrêmement faible, parfois même arrogant, c’’est l’inverse.

Voilà ce qui vous empêcherait de ressentir votre présence divine. Mais en dehors de ces états-là, quand vous quittez la peur, quand vous quittez l’arrogance, l’orgueil, vous la sentirez cette présence divine.
N’en doutez pas.
C’est pourquoi je préfère vous poser la question à l’inverse : « Comment peut-on ne pas ressentir sa présence divine bien sûr ? »

Vous évoquez beaucoup de sujets sur lesquels nous pourrions avoir beaucoup de discours mais j’aimerais terminer mon discours du jour en vous parlant de la prière, de ces appels que vous nous faites.

Nous vous aidons et nous vous assistons. Nous sommes là pour, à travers vos instincts, à travers vos pensées, vous donner d’autres solutions, d’autres voies, d’autres pistes à ce qui semble être devant vous, être des problèmes ou des difficultés.
Alors lorsque vous faites une prière, quand vous nous demandez de vous aider, bien sûr nous le faisons.

Mais s’il vous plaît, n’attendez pas de réponse logique, n’attendez pas que la solution soit celle que vous espérez, mais peut-être une autre.
N’attendez pas que le moyen soit celui que vous espérez, mais peut-être un autre.
N’attendez pas que le sauveur soit celui que vous espérez, mais peut-être un autre, là aussi.

Accordez-nous la possibilité de répondre différemment à votre question, par rapport à ce qui est placé dans vos espoirs.
Car notre vision est plus large, notre vision est agrandie par rapport à votre expérience.
Laissez-nous l’occasion de vous montrer un autre chemin, une autre piste.
Là aussi, posez votre volonté que cela se passe ainsi ou comme cela.
Posez un peu cette volonté là aussi.
Et laissez nous vous montrer une volonté plus forte et plus juste, celle qui vous fera progresser sur votre chemin de conscience.
La prière est un acte d’appel à l’aide, pas un acte pour faire à votre place, mais une aide, une sorte d’indice, vous venant sur votre prochain pas, à votre prochaine destination.
Et nous sommes présents pour cela.

Je suis Sandalphon et j’ai confiance dans le développement de votre planète Terre, je sais ses changements actuels, son adaptation à cette nouvelle énergie. L’humanité devra aussi s’adapter à cette énergie.

Les gens qui ont du pouvoir perdront leur pouvoir, ayez confiance en cela.
Mais les gens qui croient en un pouvoir plus grand et plus juste, dans le « nous », dans ce « on », dans cette « unité », eux vont apparaître tranquillement et tout ira bien.

Vous êtes bénis de la Source, car vous êtes issus de la Source.

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